...La plus simple qui soi a appliquer.
Une existence humaine est extrêmement courte comparée aux existences
célestes des devas et des Brahmas. Cent ans dans le plan humain
équivaut à une heure et demie dans le plan céleste du Paranimmita
Vasavatti. Bien que très courte, la vie humaine est celle qui offre les
meilleures opportunités pour l’atteinte de Nibbana.
Lorsque l’on a obtenu une vie humaine – ce qui est difficile à
obtenir - il est important de faire bon usage de cette précieuse
opportunité. La meilleure façon de le faire, c’est de pratiquer la
méditation Vipassana. Par le simple fait de pratiquer Vipassana, nous
allons nous débarrasser des impuretés comme lobha - le désir – dosa -
la colère - et moha - l’ignorance - qui nous ont entraînés dans les
plans misérables où la souffrance domine. D’autre part, nous
réaliserons la perfection de la concentration et de la sagesse, et
pourrons alors expérimenter nibbana. Voilà pourquoi, lorsqu’on se
trouve dans le plan humain et que l’on veut en tirer le meilleur
profit, il faut pratiquer la méditation Vipassana.
Pratiquer la méditation Vipassana, c’est noter les rupa Dhammas :
composés matériels, et les nama Dhammas : facteurs mentaux qui se
manifestent dans les khandas : les agrégats, afin de réaliser leur
véritable nature : le changement. Il y a quatre Dhammas :
Noter kaya, c’est noter pour prendre conscience de tous les
comportements du corps et d’en réaliser la véritable nature : la
marche, la posture debout, la posture assise, le mouvement qui consiste
à passer à la posture debout, le mouvement qui consiste à se pencher ou
à étendre les bras ou les jambes.
Au début, il n’est pas possible de noter tous les comportements du
corps car l’esprit est agité. Le méditant commence donc par pratiquer
en posture assise pour calmer son esprit. Lorsqu’il aura réalisé la
tranquillité mentale par la méditation en posture assise, il sera en
mesure de noter tous les comportements du corps, à chaque instant.
méditation assise
Pour la méditation assise, il est conseillé de se trouver une
posture confortable dans laquelle on puisse tenir longtemps : soit en
tailleur, jambes croisées, soit sur les genoux, jambes repliées. La
colonne vertébrale doit être maintenue bien droite de même que la tête
; on porte l’attention sur l’abdomen puis sur le gonflement progressif
du ventre au moment où l’air est inspiré, l faut noter «lever ». Il
faut abandonner dans la mesure du possible l’apparence extérieure de
l’abdomen, et réaliser à l’intérieur de l’abdomen, la sensation
croissante de rigidité. Lorsque l’air est expulsé, c’est l’abaissement
progressif de l’abdomen il faut observer, en s’efforçant de réaliser la
sensation de relâchement progressif et noter «baisser ».
méditation en marche
En ce qui concerne la marche, il y a trois façons de noter :
Faire une note à chaque pas
Faire deux notes à chaque pas
Faire trois notes à chaque pas
Une note à chaque pas
L’esprit se concentre sur le mouvement qu’effectue le pied gauche en
notant « gauche » puis sur le mouvement qu’effectue le pied droit en
notant « droit ». Il ne faut pas ralentir l’allure ; elle doit être
naturelle, ni trop rapide, ni trop lente. L’esprit qui note doit
essayer de ne pas s’attacher à la forme extérieure, à l’apparence
physique de la jambe, c’est le mouvement, la sensation de progression
vers l’avant qui doit être perçue en maintenant l’observation pendant
toute la durée du processus.
Deux notes à chaque pas
L’esprit se concentre sur les mouvements d’élévation et
d’abaissement du pied. Ces deux mouvements doivent être effectués de
façon très lente. Lorsqu’il observe son pied qui s’élève, le méditant
doit s’efforcer de se concentrer sur le mouvement d’élévation qu’il
observe très attentivement et pendant toute la durée du processus. Il
doit voir les étapes successives de ce mouvement et ressentir les
sensations qui l’accompagnent.
Lorsque son pied s’abaisse, il doit observer le mouvement
d’abaissement du pied, du début à la fin et doit ressentir les
sensations associées à ce mouvement vers le bas.
Trois notes à chaque pas
L’esprit se focalise sur trois mouvements : l’élévation, l’avancement et l’abaissement du pied.
Lorsqu’il observe son pied qui s’élève, le méditant doit essayer de
maintenir son attention de façon très précise pendant toute la durée du
processus et voir le mouvement d’élévation se produire étape par étape.
Lorsque son pied s’avance, le méditant observe le début du mouvement
d’avancement et maintient son attention jusqu’à la fin. Il observe le
plus attentivement possible la succession des petits mouvements vers
l’avant et les sensations.
Lorsque son pied s’abaisse et prend appui sur le sol, le méditant
observe attentivement le processus d’abaissement, du début à la fin. Il
observe avec un maximum de précision les étapes successives
d’abaissement de son pied et les sensations.
Activités quotidiennes
Lorsqu’il désire s’asseoir, le méditant doit noter le désir de
s’asseoir qui est présent dans son esprit et passe ensuite à la posture
assise très lentement. Il essaye de ne pas se focaliser sur la forme
extérieure de son corps mais de se concentrer le plus attentivement
possible sur le mouvement graduel du corps qui s’abaisse. Il doit
maintenir son attention du début à la fin du processus et essayer de
ressentir la sensation de lourdeur qui s’intensifie au fur et à mesure
que son corps descend.
Lorsqu’il désire se lever, le méditant doit d’abord noter le désir
de se lever, et ensuite seulement, il passe à la station debout, très
lentement. Il essaie de se focaliser sur le mouvement graduel de
redressement, tel qu’il se produit étape par étape. Il doit maintenir
son attention très vigilante pendant toute la durée du processus, du
début à la fin et ressentir la sensation d’allègement qui accompagne ce
mouvement vers le haut
Lorsqu’il mange, le méditant doit noter sans interruption de la façon suivante :
Lorsqu’il regarde la nourriture. Il note « voir»
Lorsque sa fourchette touche la nourriture, il note « toucher»
Lorsqu’il porte la nourriture à la bouche, il note « porter »
Lorsqu’il incline la tête pour prendre la nourriture, il note « incliner »
Lorsqu’il ouvre la bouche, il note « ouvrir »
Lorsqu’il dépose la nourriture dans la bouche, il note « déposer »
Lorsqu’il redresse la tête, il note « redresser »
Lorsqu’il mâche les aliments, il note « mâcher »
Lorsqu’il identifie le goût, il note « goûter »
Lorsqu’il avale, il note « avaler »
Il n’est pas aisé de noter tous ces détails au début, mais à force d’entraînement, le méditant sera en mesure de tout noter.
les processus mentaux
En ce qui concerne les processus mentaux, lorsqu’une pensée surgit,
le méditant doit en prendre conscience et noter « penser, penser ».
Lorsque sa concentration et sa sagesse seront devenues fortes, il lui
suffira de noter une seule fois pour que la pensée disparaisse et cesse
d’exister. Voyant ainsi la rapide disparition des pensées, le méditant
réalise que ces processus mentaux ne sont pas permanents, : ils sont
anicca. Ces disparitions se succèdent si rapidement qu’elles sont
ressenties comme une grande souffrance : c’est dukkha, la souffrance.
Il n’y a pas moyen d’y échapper : c’est anatta, la nature
incontrôlable. Le méditant voit très clairement les trois
caractéristiques de l’existence.
Le sotapanna
Le sotapanna qui a réalisé nibbana n’a aucune crainte au moment de
la mort en ce qui concerne une renaissance éventuelle dans les enfers,
dans le monde animal, dans le monde des petas ou celui des asuras. La
ronde des existences ne sera plus une source d’inquiétude pour lui. Il
ne reprendra naissance que dans des plans meilleurs que celui qu’il
connaît actuellement. Il se peut même qu’il oublie la méditation
Vipassana tant il est heureux. Il ne pourra cependant oublier que
pendant sept vies au maximum, au cours de la septième et dernière
existence, il sera plein de regrets, se remettra à pratiquer Vipassana,
deviendra un arahant et entrera au nibbana.
Voilà pourquoi lorsque l’on a obtenu la chose la plus difficile à
obtenir, une existence dans le plan humain, il faut faire le meilleur
usage de son précieux temps et pratiquer la méditation Vipassana.
source : http://vipassanasangha.free.fr
Une existence humaine est extrêmement courte comparée aux existences
célestes des devas et des Brahmas. Cent ans dans le plan humain
équivaut à une heure et demie dans le plan céleste du Paranimmita
Vasavatti. Bien que très courte, la vie humaine est celle qui offre les
meilleures opportunités pour l’atteinte de Nibbana.
Lorsque l’on a obtenu une vie humaine – ce qui est difficile à
obtenir - il est important de faire bon usage de cette précieuse
opportunité. La meilleure façon de le faire, c’est de pratiquer la
méditation Vipassana. Par le simple fait de pratiquer Vipassana, nous
allons nous débarrasser des impuretés comme lobha - le désir – dosa -
la colère - et moha - l’ignorance - qui nous ont entraînés dans les
plans misérables où la souffrance domine. D’autre part, nous
réaliserons la perfection de la concentration et de la sagesse, et
pourrons alors expérimenter nibbana. Voilà pourquoi, lorsqu’on se
trouve dans le plan humain et que l’on veut en tirer le meilleur
profit, il faut pratiquer la méditation Vipassana.
Pratiquer la méditation Vipassana, c’est noter les rupa Dhammas :
composés matériels, et les nama Dhammas : facteurs mentaux qui se
manifestent dans les khandas : les agrégats, afin de réaliser leur
véritable nature : le changement. Il y a quatre Dhammas :
- Kayanupassana satipatthana : la contemplation des phénomènes physiques
- Vedananupassana satipatthana : la contemplation des trois types de sensations : vedana
- Cittanupassana satipatthana : la contemplation des processus mentaux
- Dhammanupassana satipatthana : la contemplation des phénomènes qui
n’appartiennent à aucune des trois catégories précédentes et regroupés
sous l’appellation « objets mentaux ».
Noter kaya, c’est noter pour prendre conscience de tous les
comportements du corps et d’en réaliser la véritable nature : la
marche, la posture debout, la posture assise, le mouvement qui consiste
à passer à la posture debout, le mouvement qui consiste à se pencher ou
à étendre les bras ou les jambes.
Au début, il n’est pas possible de noter tous les comportements du
corps car l’esprit est agité. Le méditant commence donc par pratiquer
en posture assise pour calmer son esprit. Lorsqu’il aura réalisé la
tranquillité mentale par la méditation en posture assise, il sera en
mesure de noter tous les comportements du corps, à chaque instant.
méditation assise
Pour la méditation assise, il est conseillé de se trouver une
posture confortable dans laquelle on puisse tenir longtemps : soit en
tailleur, jambes croisées, soit sur les genoux, jambes repliées. La
colonne vertébrale doit être maintenue bien droite de même que la tête
; on porte l’attention sur l’abdomen puis sur le gonflement progressif
du ventre au moment où l’air est inspiré, l faut noter «lever ». Il
faut abandonner dans la mesure du possible l’apparence extérieure de
l’abdomen, et réaliser à l’intérieur de l’abdomen, la sensation
croissante de rigidité. Lorsque l’air est expulsé, c’est l’abaissement
progressif de l’abdomen il faut observer, en s’efforçant de réaliser la
sensation de relâchement progressif et noter «baisser ».
méditation en marche
En ce qui concerne la marche, il y a trois façons de noter :
Faire une note à chaque pas
Faire deux notes à chaque pas
Faire trois notes à chaque pas
Une note à chaque pas
L’esprit se concentre sur le mouvement qu’effectue le pied gauche en
notant « gauche » puis sur le mouvement qu’effectue le pied droit en
notant « droit ». Il ne faut pas ralentir l’allure ; elle doit être
naturelle, ni trop rapide, ni trop lente. L’esprit qui note doit
essayer de ne pas s’attacher à la forme extérieure, à l’apparence
physique de la jambe, c’est le mouvement, la sensation de progression
vers l’avant qui doit être perçue en maintenant l’observation pendant
toute la durée du processus.
Deux notes à chaque pas
L’esprit se concentre sur les mouvements d’élévation et
d’abaissement du pied. Ces deux mouvements doivent être effectués de
façon très lente. Lorsqu’il observe son pied qui s’élève, le méditant
doit s’efforcer de se concentrer sur le mouvement d’élévation qu’il
observe très attentivement et pendant toute la durée du processus. Il
doit voir les étapes successives de ce mouvement et ressentir les
sensations qui l’accompagnent.
Lorsque son pied s’abaisse, il doit observer le mouvement
d’abaissement du pied, du début à la fin et doit ressentir les
sensations associées à ce mouvement vers le bas.
Trois notes à chaque pas
L’esprit se focalise sur trois mouvements : l’élévation, l’avancement et l’abaissement du pied.
Lorsqu’il observe son pied qui s’élève, le méditant doit essayer de
maintenir son attention de façon très précise pendant toute la durée du
processus et voir le mouvement d’élévation se produire étape par étape.
Lorsque son pied s’avance, le méditant observe le début du mouvement
d’avancement et maintient son attention jusqu’à la fin. Il observe le
plus attentivement possible la succession des petits mouvements vers
l’avant et les sensations.
Lorsque son pied s’abaisse et prend appui sur le sol, le méditant
observe attentivement le processus d’abaissement, du début à la fin. Il
observe avec un maximum de précision les étapes successives
d’abaissement de son pied et les sensations.
Activités quotidiennes
Lorsqu’il désire s’asseoir, le méditant doit noter le désir de
s’asseoir qui est présent dans son esprit et passe ensuite à la posture
assise très lentement. Il essaye de ne pas se focaliser sur la forme
extérieure de son corps mais de se concentrer le plus attentivement
possible sur le mouvement graduel du corps qui s’abaisse. Il doit
maintenir son attention du début à la fin du processus et essayer de
ressentir la sensation de lourdeur qui s’intensifie au fur et à mesure
que son corps descend.
Lorsqu’il désire se lever, le méditant doit d’abord noter le désir
de se lever, et ensuite seulement, il passe à la station debout, très
lentement. Il essaie de se focaliser sur le mouvement graduel de
redressement, tel qu’il se produit étape par étape. Il doit maintenir
son attention très vigilante pendant toute la durée du processus, du
début à la fin et ressentir la sensation d’allègement qui accompagne ce
mouvement vers le haut
Lorsqu’il mange, le méditant doit noter sans interruption de la façon suivante :
Lorsqu’il regarde la nourriture. Il note « voir»
Lorsque sa fourchette touche la nourriture, il note « toucher»
Lorsqu’il porte la nourriture à la bouche, il note « porter »
Lorsqu’il incline la tête pour prendre la nourriture, il note « incliner »
Lorsqu’il ouvre la bouche, il note « ouvrir »
Lorsqu’il dépose la nourriture dans la bouche, il note « déposer »
Lorsqu’il redresse la tête, il note « redresser »
Lorsqu’il mâche les aliments, il note « mâcher »
Lorsqu’il identifie le goût, il note « goûter »
Lorsqu’il avale, il note « avaler »
Il n’est pas aisé de noter tous ces détails au début, mais à force d’entraînement, le méditant sera en mesure de tout noter.
les processus mentaux
En ce qui concerne les processus mentaux, lorsqu’une pensée surgit,
le méditant doit en prendre conscience et noter « penser, penser ».
Lorsque sa concentration et sa sagesse seront devenues fortes, il lui
suffira de noter une seule fois pour que la pensée disparaisse et cesse
d’exister. Voyant ainsi la rapide disparition des pensées, le méditant
réalise que ces processus mentaux ne sont pas permanents, : ils sont
anicca. Ces disparitions se succèdent si rapidement qu’elles sont
ressenties comme une grande souffrance : c’est dukkha, la souffrance.
Il n’y a pas moyen d’y échapper : c’est anatta, la nature
incontrôlable. Le méditant voit très clairement les trois
caractéristiques de l’existence.
Le sotapanna
Le sotapanna qui a réalisé nibbana n’a aucune crainte au moment de
la mort en ce qui concerne une renaissance éventuelle dans les enfers,
dans le monde animal, dans le monde des petas ou celui des asuras. La
ronde des existences ne sera plus une source d’inquiétude pour lui. Il
ne reprendra naissance que dans des plans meilleurs que celui qu’il
connaît actuellement. Il se peut même qu’il oublie la méditation
Vipassana tant il est heureux. Il ne pourra cependant oublier que
pendant sept vies au maximum, au cours de la septième et dernière
existence, il sera plein de regrets, se remettra à pratiquer Vipassana,
deviendra un arahant et entrera au nibbana.
Voilà pourquoi lorsque l’on a obtenu la chose la plus difficile à
obtenir, une existence dans le plan humain, il faut faire le meilleur
usage de son précieux temps et pratiquer la méditation Vipassana.
source : http://vipassanasangha.free.fr
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Ven 29 Déc 2023, 23:15 par petit_caillou
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