Un article intéressant sur le livre :
« L’homme qui voulait être heureux« , vous raconte comment l’auteur a décidé de vivre sa nouvelle vie : « le fruit de ses décisions de ses choix et de sa volonté ».
La vraie aventure commence pour lui, au moment il décide de rendre visite au sage Samtyang qui vivait à Bali et qui avait « soigné » des personnes importantes, comme par exemple le premier ministre du Japon.
En regardant le modeste personnage qui allait influencer sa vie, habillé avec des vêtements très sobres, l’auteur c’est dit au début de cette rencontre, qu’il était en train de faire erreur sur la personne.
Dans ce petit village à quelques kilomètres d’Ubud au centre de l’île, le sage l’a accueilli avec beaucoup de luminosité dans son regard en lui parlant avec douceur dans un très bon anglais.
Dès la première séance avec le sage, l’auteur du livre apprend la mauvaise nouvelle : il était quelqu’un de malheureux.
Alors qu’il était en parfaite santé, « le patient » qui avait le symptôme d’un mal être général, explique à la demande de son guérisseur, pourquoi il n’était pas heureux : il était empêché de vivre en couple. Il ne pouvait pas plaire à une femme en sachant que son corps était trop maigre. Mais son vrai souci n’était pas son corps. Le vrai problème se trouvait, dans sa tête.
Notre héros apprend qu’il n’avait pas à se soucier de son physique, mais plutôt de ce que lui croit de sa perception, par les femmes. En vérité le succès qu’il pouvait avoir auprès de l’autre sexe, avait peu de rapport avec son apparence physique.
Généralement les gens lorsqu’ils rencontrent une personne qui pourrait les aimer, ils se focalisent plutôt sur leurs défauts en pensant qu’ils ne peuvent pas plaire. En fait ils ont parfaitement raison : en se voyant moches, les autres les voient moches aussi.
Vous imaginez bien la réponse de notre « malheureux » lorsque le sage lui a demandé : « comment les femmes le voient ? ». Je vous laisse deviner.
Nicole Kidman entièrement nue !En posant la question : « avez-vous vu le film : Eyes wide shut de Stanley Kubrick ? » et en faisant un arrêt sur image dans la scène où Nicole Kidman était entièrement nue, le sage donne des explications à son patient, concernant la beauté imparfaite de cette actrice considérée en 2006 par le magazine britannique Eve, parmi les cinq plus belles femmes au monde.
Comment expliquer cette statistique ? Nicole Kidman est probablement convaincue d’être superbe et que les hommes la désirent tous, que les femmes sont toutes jalouses et qu’elles l’admirent. Probablement qu’elle se voit comme l’une des plus belles femmes au monde.
Pendant cette première séance avec le sage, une expérience consistait en s’imaginant que le « patient » se trouvait très beau et qu’il était convaincu d’avoir un énorme impact sur les femmes, tout en décrivant sa posture : une démarche assurée détendue avec la tête droite en regardant devant avec un léger sourire sur le visage, cool et sûr de lui à la fois.
Comment les femmes pouvaient le voir dans cette situation ? Les femmes ne peuvent qu’aimer ce qui émane de sa personne.
Cet effet se produit de la même façon, chez quelqu’un qui prend la parole en public. Tout dépend de comment s’imagine celui qui parle. Son succès auprès de son public, dépend ce qu’il croit de lui-même.
La question qui se pose est : comment se fait-il que quelqu’un se met à croire des choses sur soit; qu’elles soient positives ou négatives ?
Plusieurs explications très claires sont données en ce moment de l’histoire, par le sage. Je vais vous laisser les découvrir vous-même, en lisant ce livre que j’ai lu avec beaucoup de plaisir pendant un week-end.
Une autre expérience mentionnée par le sage pendant cette première entrevue, concerne un test effectué dans une université américaine, sur un groupe d’élèves du même âge et qui avaient le même résultat, au niveau du test de leur Q.I. Ils étaient considérés donc, ayant un niveau d’intelligence égal.
Le groupe avait été séparé en deux. Un enseignant qui a pris en charge le premier groupe a été informé que les enfants de sa classe, ont une intelligence supérieure. La deuxième partie a été confiée à un autre enseignant à qui on avait expliqué que ces enfants cette fois-ci, sont moins intelligents que la moyenne. Après une année de cours les chercheurs ont fait passer de nouveau le test de Q.I. à tous les enfants. Devinez quoi ? Les enfants du premier groupe avaient des résultats nettement supérieurs à ceux des enfants du deuxième groupe.
Je profite pour m’adresser aux lecteurs qui ont lu cet article jusqu’ici : que pensez-vous de cette expérience ? Quelle est votre conclusion ?
Personnellement je donne raison à Laurent Gounelle qui précise que faire des expériences de ce genre avec des enfants, c’est vraiment quelque chose de discutable.
En se posant la question du prix de la séance et pour que les choses soient claires, le patient demande au sage combien il lui doit pour son temps. Le marché a été conclu à condition que le patient ne garde pas que pour lui, ce qu’il allait découvrir.
Pendant la deuxième séance nous apprenons quelque chose d’autre de très intéressant de la part du sage, qui explique que les humains sont très attachés à tout ce qu’ils croient et qu’ils ne cherchent pas la vérité. En cherchant l’équilibre, les êtres humains cherchent à se bâtir un monde qui correspond plus ou moins, à leurs croyances.
Un détail très intéressant et très important à retenir lorsque le patient pose la question : « pourquoi on ne se rend pas compte que ce que l’on croit n’est pas la réalité ? » Voici la réponse donnée par le sage : « ce que nous croyons devient notre réalité« .
Par exemple si vous fermez les yeux et si vous bouchez vos oreilles et que vous essayez de décrire précisément la réalité qui se trouve autour de vous, pensez-vous que vous pouvez tout décrire ? Il s’agit d’une multitude d’informations concernant le plan visuel, la lumière ambiante, les ombres le ciel, les nuages le soleil, les objets, les sons. Que répondez-vous à cette question ?
Par exemple, prenez en considération le corps d’une personne se trouvant devant vous, qui vous envoie des milliers d’informations relatives à sa posture, à ces mouvements au regard et aux expressions du visage. Il y a beaucoup de choses qui changent d’une seconde à l’autre en sachant que cela ne concerne que les informations visuelles. Il y a aussi d’autres informations, comme la température et le toucher par exemple.
Pensez-vous être capable de transmettre toutes ces informations ? Est-ce que votre cerveau n’est-il pas en train de faire un tri, en captant certaines informations et pas d’autres ?
Ce qui est très intéressant c’est que le tri n’est pas le même d’une personne à l’autre. Il n’est pas du hasard, il est propre à chacun et dépend notamment des croyances et de la vision de chacun, sur le monde en général.
Vos croyances dirigent pratiquement votre vie. Vous avez développé des croyances sur vous-même, sur les autres et sur les relations avec les autres. Vous avez vos propres croyances concernant le monde qui vous entoure. Ces croyances sont différentes d’une personne à une autre et elles ne représentent pas la réalité. Ce qui est très important à retenir, c’est qu’il faut comprendre les effets des croyances qui peuvent être positif ou limitants.
À l’occasion de cette deuxième séance le patient reçoit deux missions :
- Il doit d’abord rêver tout en restant éveillé. Dans son rêve il doit se trouver dans un monde où tout est possible.
- Ensuite il doit faire des études concernant les recherches scientifiques qui ont été menées aux États-Unis sur les effets de placebo.
C’est parce que « ce n’est pas en écoutant quelqu’un que l’on évolue« .
Dans le monde où tout est possible, l’auteur du livre est un professeur qui change de métier. Il se réalise dans un nouveau domaine artistique, en faisant de sa passion qui était la photographie, son métier. Ces photos décoderaient les émotions des gens en racontant leurs histoires. Son studio à succès aurait une certaine notoriété. Ces tarifs raisonnables permettraient au large public de s’offrir ses service et son salaire d’enseignant allait être triplé. Sa nouvelle maison pour laquelle il avait dessiné les plans et qu’il allait construire, avait un jardin dans lequel il pouvait lire le week-end allongé dans un transat à l’ombre d’un tilleul. Bien sûr il vivrait avec une femme qu’il aimait. Dans son salon où le feu brûlait dans la cheminée, il interpréterait au piano, de nocturnes de Chopin pour ses invités.
Voici ce qu’il a trouvé parmi les résultats les plus incroyables, concernant les recherches scientifiques sur le placebo :
Il a été administré à des malades, un placebo présenté comme de la chimiothérapie. Le résultat : 33 % d’entre eux avaient intégralement perdu leurs cheveux. En croyant qu’ils avaient avalé un médicament dont on connaît très bien son effet secondaire c’est-à-dire la perte des cheveux, ces malades ont effectivement perdu leurs cheveux.
C’est en ce moment que l’auteur se pose la question suivante : « pourquoi ne pas s’intéresser davantage aux moyens de guérir les malades par la voie psychologique ?«
Lors de son prochain rendez-vous avec le sage, celui-ci n’était pas présent. Samtyang lui avait laissé un mot pour notre patient. Deux missions :
- « Écrivez les obstacles qui vous empêchent d’avoir une vie heureuse ».
- « Accéder au sommet du mont Skouwo ».
Lors de leur prochaine entrevue, pour finir le chapitre sur la santé, le sage précise à son patient que les gens qui croient en Dieu et qui pratiquent leur religion de façon régulière ont une espérance de vie de 29 % supérieure à celle des autres.
C’était aussi l’occasion pour l’auteur du livre, d’avouer qu’il n’a pas donné suite à la demande de la part de son guérisseur, de faire l’ascension du mont Skouwo.
Apparemment, l’obstacle principal qui empêchait l’auteur du livre de vivre la vie de ses rêves, c’était qu’il n’avait pas de chance. D’après le sage, chaque personne rencontre dans sa vie un grand nombre d’occasions. Sauf que tout le monde n’est pas capable de le voir. La preuve :
Une expérience qui a eu lieu en Europe, a été menée sur des personnes qui s’estimaient chanceuses et à la fois sur d’autres qui pensaient le contraire. Toutes ces personnes devaient compter les nombres de photos dans un journal.
Un texte qui apparaissait de façon très claire dans ce journal quelque part au milieu, indiquait qu’il n’était pas nécessaire de compter les photos, car leur nombre était 57. Les personnes qui se considéraient chanceux avais cessé de continuer la lecture, à partir du moment où ils ont lu le texte leur indiquant clairement, le nombre de photos dans le journal. Tandis que les autres personnes ont continué de lire le journal jusqu’à la fin. À la demande adressée à ceux qui ne se considéraient pas chanceux : « pourquoi vous n’avez pas arrêté de lire, en voyant le texte qui vous indiquait clairement, le nombre de photos dans le journal ? « , ces derniers avaient répondu : « quel texte ? ». En effet, ils n’avaient pas vu cette information.
Concernant les occasions qui se sont peut-être déjà présenté dans la vie de notre personnage principal, peut-être qu’il ne les avait pas vus.
Sur la liste des obstacles qui s’opposaient à la création de son propre studio de photographies de mariage, il y avait aussi la peur de ne pas être capable de réaliser ce projet qui l’attirait beaucoup. Son ressenti ne lui permettait pas de savoir, s’il s’agissait de la réalité ou d’une « croyance limitante » en ce qui concerne ses capacités.
Pouvez-vous vraiment vous permettre de ne pas faire comme les bébés ?Une de choses à retenir grâce à ce livre, c’est que lorsque vous êtes en attente de réponses qui n’arrivent pas, vous avez tendance à croire que vous n’êtes pas doué(e). Si vous rêvez de réaliser un projet, posez-vous la question : « comment je compte m’y prendre ? ». Tant que vous ne répondez pas à cette question, vous continuerez à penser que vous n’êtes pas capable. Pour trouver la réponse, il vous faut détailler votre projet et éviter de le voir comme quelque chose d’intégral.
Je reprends les conseils de Samtyang qui fait appel à l’image d’un petit enfant, en train d’apprendre à marcher. D’après les statistiques, avant de pouvoir faire ses premiers pas, un bébé tombe environ deux mille fois. Si tous les bébés devaient renoncer à apprendre à marcher (comme les adultes qui renoncent à leurs projets), imaginez de quelle façon les gens allaient se déplacer.
Êtes-vous capable de faire des sacrifices pour réaliser votre projet ?Dans ce passage du livre, le sage démontre à son visiteur que pour réaliser son rêve, il doit savoir faire des choix. Ne pas savoir renoncer parfois au confort, empêche de choisir. Et ne pas choisir, c’est l’équivalent de ne pas pouvoir vivre la vie de son rêve.
Ces questions s’adressent à vous maintenant, si vous avez lu jusqu’iciAvez-vous un rêve à réaliser ? Êtes-vous capable de faire un effort pour atteindre vos objectives ? Mentionnez en laissant un commentaire, quel est le sacrifice que vous avez du mal à faire parmi les suivants, pour changer votre vie :
- Passer plus de temps à lire de livres de développement personnel
- Ne plus regarder la télévision
- Ne pas partir en vacance
- Faire des heures supplémentaires
- Apprendre une langue étrangère
- Arrêter de fumer
- Arrêter de consommer de l’alcool
- Se former plus et s’amuser moins
- Être discipliné
- Être organisé
- D’autres (Ça peut être utile de partager votre expérience personnelle concernant ces « barrières » pour apporter de la valeur, aux personnes qui nous lisent. Vous pouvez en spécifier éventuellement vous aussi, en laissant votre commentaire, à la fin de l’article).

Choisir le chemin qui vous dirige vers la réussite d’un projet qui vous tient à cœur, ça peut être parfois un vrai parcours du combattant. C’est comme faire l’ascension d’une montagne. Tant que vous n’empruntez pas ce chemin, vous ne pouvez pas vous rendre compte de l’énergie nécessaire que vous devez fournir pour arriver à votre « destination ». Mais à l’arrivée votre satisfaction sera directement proportionnelle avec vos efforts. Et plus vos efforts seront grands, plus votre ressenti de bonheur, va durer dans le temps.
C’était un message très clair envoyé subtilement à son « patient », qui n’avait pas respecté sa deuxième mission : l’ascension du mont Skouwo, avant le passage à la prochaine étape.
Comment accorder de l’importance, au choix, à l’effort et au sacrifice
Première mission : Projection en pensées dans quelques mois, en s’imaginant ayant déjà toutes les compétences nécessaire à l’accomplissement du projet (dans le cas de notre héros, il s’agissait de se mettre dans la peau d’un photographe).
Deuxième mission : Se débarrasser de la peur de demander et d’aller vers le gens, en obtenant cinq « NON », cinq refus de la part de personnes inconnues. (A votre avis, es une tâche facile à réaliser ?)
C’était un mercredi. Et à la fin de la semaine, le samedi, notre héros devait reprendre l’avion pour rentrer chez lui car, c’était la fin de ses vacances. Le sage fut surpris de l’entendre car, il avait prévu trois ou quatre séances supplémentaires et nécessaires à son « patient ». L’unique possibilité donc pour finir « le traitement », c’était de changer le billet d’avion et de rentrer le dimanche. Ce choix étant très difficile à prendre car, le type de billet d’avion qu’il avait acheté, ne lui permettait pas ce changement, sans régler une somme d’argent importante.
C’est le moment dans cette histoire ou notre voyageur s’est rendu compte de l’importance du temps.
Concernant la collection de « NON » de notre ami « le malheureux », voici l’épisode dans lequel « une blonde à forte poitrine » et grosse, mangeait une glace succulente.
Dans ce passage, le héros s’invite tout simplement, à goûter la glace de sa « victime », qui avec ses yeux très pétillants, le traite de « coquin » et en s’approchant de lui tout en léchant sa glace, elle lui répond : « oui mon mignon ».
Le lendemain il avait avoué cette mission n’a pas été vraiment facile. Le sage au visage très calme, avec l’attitude de quelqu’un qui n’a pas de désirs particuliers, lui avait expliqué que suivant le mécanisme de croyances que notre héros était en train d’assimiler, c’était exactement au moment où sa peur du rejet se manifestait chez lui, qu’il était réellement rejeté.
L’analyse du résultat de la première mission mentionnée plus haut, était de faire comprendre au « patient » qu’il devait rester « lui-même » tout en évitant de prendre en considération, l’opinion des autres, comme par exemple celle de ses parentes qui voulaient que leur fils soit un enseignant ou un scientifique.
Lorsqu’on parle à quelqu’un d’un projet, on peut s’attendre à trois types de réactions :
Concernant les réactions négatives, le conseil du sage est d’éviter les personnes susceptibles d’apporter le découragement. Certes, parfois les gens pensent pouvoir protéger, en donnant leur avis. C’est pourquoi il faut surtout demander conseils aux experts.
Ce qui est très positif, c’est d’avoir dans son entourage de personnes qui croient en vous.
Un obstacle très important qui empêchait le sujet principal du livre d’être heureux, c’était le fait que l’argent le répugnait, en oubliant que celui-ci à l’origine a été inventé pour permettre l’échange entre les humains. L’argent ce n’est pas quelque chose de mal, mais plutôt son absence. Son image, d’après l’explication du sage et directement liée à deux aspect :
À retenir !
Donner le meilleur de soi-même dans une activité passionnante et qui en même temps permet de gagner de l’argent, représente une des clés du bonheur. Pour se sentir heureux il est très utile de mettre en œuvre les compétences acquises dans le domaine de sa passion, tout en se lançant des nouveaux défis pour stimuler la concentration et pour obtenir le meilleur de soi-même.
Pour savoir si vous faites des choses qui sont en harmonie avec vous et qui peuvent vous permettre de réussir dans votre vie, vous devez vous imaginer que vous allez mourir ce soir et que vous le savez depuis une semaine. La question qui se pose est : parmi toutes vos activités de cette dernière semaine, quelles sont celles qui vous avez envie de garder ?
En reprenant la question du sage et m’adressant à vous qui lisez cette chronique, je vous invite à répondre à cette question, en laissant votre commentaire, à la fin de cet article. Vous pouvez répondre si vous le souhaitez, sous forme de pourcentage. Que feriez-vous si vous constatiez que par exemple 70% de vos agissements de votre dernière semaine, sont des activités que vous ne conserviez pas ? Sachez qu’il y a quand même une bonne nouvelle dans tout ça : même si parfois c’est difficile de prendre une décision, n’oubliez pas que le choix existe au final !
En évoluant dans votre vie, en vous débarrassant de vos croyances limitantes et en vous donnant ainsi de plus en plus le choix, vous obtenez au final votre liberté. Lorsque vous choisissez des actions qui respectent vos valeurs, vous devenez précieux pour les autres et votre vie devient facile. Vous n’avez plus besoin de lutter pour avancer.
En parlant du choix et en sachant que nous sommes à ce niveau presque à la fin du livre, le héros ne peut pas bénéficier d’un nouveau conseil de la part du sage, concernant la décision de changer ou pas son billet d’avion, pour bénéficier ainsi d’un « apprentissage majeur ». Le prix du changement du jour de retour à la fin de ses vacances, était presque équivalent au prix initial du billet d’avion.
Le choix difficile de payer 600$ lui appartenait, en sachant que son compte bancaire était déjà « dans le rouge » et qu’en même temps s’il ne changeait pas son billet d’avion, il était en train de rater une dernière leçon, peut-être la plus importante dans sa quête vers une nouvelle vie.
Le rendez-vous avec le sage, était prévu samedi après-midi. En se posant des questions concernant le fameux « apprentissage » et en étant motivé pour profiter au maximum de cette dernière rencontre, le héros rejoint l’habitation du maître Samtyang.
À votre avis (et vous pouvez toujours le donner en laissant votre commentaire à la fin de cet article), quel était le ressenti de Laurent Gounelle l’auteur du livre « L’homme qui voulait être heureux », lorsqu’il venait d’apprendre que le sage n’était pas présent à son domicile pour le dernier rendez-vous avec son patient, et qu’il allait revenir seulement le lendemain, tout en sachant qu’il n’avait pas oublié ?
Bien sûr, tout est décrit dans les dernières pages du livre, ainsi que le mot que le maître Samtyang avait laissé à notre héros et qui expliquait l’absence du sage pour cette dernière rencontre, si importante pour Laurent Gounelle.
Article rédigé par Sorin Busuioc.
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