A vous toutes et tous,
Bonjour,
Une fois n'est pas coutume je débute un sujet et vous transmets des pistes et la compréhension actuelle que j'ai de celui-ci:
Comment dépasser notre mental :
Quels sont les attitudes et déjà les éléments qui vont me permettre de dépasser le mental.
Pour ma part je ne suis en possession d’aucune recette, je m’interroge dans une attitude de partage, dans le but que nous y réfléchissions ensemble, une émulsion qui nous permettra peut-être ou pas, de définir un protocole pour le bénéfice de tous.
Tout d’abord j’ai l’impression qu’être au-delà du mental, ne nous coupe en rien des émotions, des ressentis que nous pouvons exprimer aux autres, ni n’arrête non plus nécessairement le flot des pensées.
J’en arrive à penser que nous avons des vues fausses sur ce qu’est ou ce que devrait être ce dépassement du mental.
Pour moi le mental ne s’arrête pas, il est transformé lorsque l’on réalise que nous ne sommes pas des individus séparés les uns des autres, mais que toutes les consciences ne sont que les infinis reflets de l’unité, qui elle est diversité.
A mon avis c’est à partir de ce point précis ou nous accédons à la reconnaissance par dévoilement, que nous ne sommes pas une/des entité(s) individuée(s) indépendante(s), mais facette de l’unité, qu’il y a une profonde mutation du mental, car à ce moment précis, nous ne pouvons plus faire comme si.
Il me semble, comme le dit d’ailleurs les Maîtres, que tout va dépendre de notre aptitude à reconnaître part la méditation, que nous ne sommes pas des individus existant dans un monde dur uniquement composé de matière et pas uniquement de ne plus suivre les pensées ou arriver à ne pas nous laisser entraîner par nos émotions.
C’est à partir de la méditation que s’opère le dévoilement et que ce déconstruit notre carapace égocentrique et notre JE. C’est également à travers nos ressentis durant la méditation que l’on constate que notre carapace est craquelée de nombreuses failles, ce qui entre autre, nous permet de constater que les pensées ne forment pas un flot continu, mais discontinu et que lorsque nous demeurons quelques instants dans une de ces failles sans pensées, ni le monde, ni nos capacités cognitives, ni notre vie s’efface et disparaît, mais bien au contraire, tout notre environnement devient très spacieux, ouvert et cristallin.
Ce sont ces failles qui vont nous permettre d’une part, de voir que nous n’avons pas besoin des pensées pour exister, et d’autre part, lorsque l’esprit pensant s’arrête, se produit une ouverture que certains nomment vacuité, mais qui en fait serait plutôt comme le nomme les Maîtres, la cristallinité.
Pour moi c’est un premier pas, mais il faut transformer l’essai, comment s’y prendre ?
Ca m’a demandé du temps pour arriver à ce point, c’est long et « je » n’ai pas fini, en fait je commence seulement.
Je sais bien que l’expérience des uns sert rarement aux autres, c’est tout de même pour cela que j’entre dans le jeu de cette danse.
C’est à partir de ce point que tout ce joue à partir de notre pratique de la méditation non duelle sans objet, shiné, lhatong, puis s’ouvre une sphère de vacuité, puis un dévoilement et un autre.
Pour certains la finalité s’est accéder à l’obtention du grand sceau (Mahamoudra) de l’école Kargyupas, où suivant les enseignements et préceptes de l’école Nigmapas dont je fais partie, ce sera plutôt la pratique de la Vue dzogchen et l’accès à cette cristallinité.
Dernièrement j’ai posé sur le site larbredesrefuges, un certain nombre de textes définissant cela. Je résume :
Pour moi d’une part, absolument tout est rigpa, cette puissance dynamique lumineuse sagesse auto-connaissant, d’autre part, les trois kayas que sont, Dharmakaya, Shambogakaya et Nirmanakaya, les trois demeurent dans l’Eveil du premier instant de leur apparition et à jamais.
Dharmakaya en tant que source incréée et source du jaillissement de la puissance dynamique lumineuse sagesse auto-connaissant, Shambogakaya en tant qu’émergence de consciences ayant dans l’instant réalisé et intégré la vrai Nature de l’Esprit en demeurant dans l’Eveil.
Puis le Nirmanakaya ne s’est également jamais départi de sa Nature Eveillée, pourtant le Nirmanakaya abrite en son sein, l’ensemble des consciences qui se sont reconnues séparées, à cause du simple fourvoiement de l’écho voilé de rigpa, qui les ont installées dans un processus créant l’apparition de sujets et d’objets, de moi, je et autres, d’actions, de réactions, l’ensemble s’est développé en karmas de plus en plus élaborés qui ont conduit au développement du Samsara et des différents mondes qui le compose.
J’en reviens à mon prime questionnement, comment je vais faire à travers la méditation, pour m’extraire du mental ?
Je ne vais pas vous dire que j’ai la solution, néanmoins par la pratique, un dévoilement intéressant s’est produit, celui-là même qui me permet me semble t’il aujourd’hui, de pouvoir fonctionner par moments, sur un plan différent que celui où se produit le mode pensé de l’esprit.
Il me semble que s’est ouvert un autre canal qui fait que j’arrive plus fréquemment, de ne plus me définir comme entité individuée et séparée des autres.
Mon premier ressenti fut l’établissement que Dharmakaya, Shambogakaya et Nirmanakaya, ne sont pas disséminé dans l’univers ou les multi-univers, mais bien qu’étant associé à des fréquences vibratoires spécifiques (ils ne se mélangent pas), tout en ce développent simultanément dans le même, ou à partir du même espace, où nous nous trouvons tous. Ils n’existent donc pas par eux-mêmes ailleurs.
Mon second ressenti est que l’espace temps n’a pas d’existence au-delà des vues fausses dans lesquelles nous sommes encrés dans le Samsara, dont les six catégories d’êtres. Cet espace-temps et donc une définition relative et non absolue de la réalité de cet univers.
Ces ressentis me sont naturellement apparus lorsque le dévoilement opérait à partir de la mise en œuvre de la pratique de la méditation de la Vue de Treckchö.
Le troisième m’a dévoilé l’origine du karma et m’informe que lorsque je suis dans la perception de ne pas être une entité séparée existante pour et par elle-même, la production de karmas cesse. Pourtant je vais continuer de ressentir les effets des karmas déjà accumulés, bons, mauvais ou neutres.
Le quatrième amène au dévoilement que le karma et donc le samsara, ne sont qu’échos voilés de rigpa, et que c’est ce fourvoiement, cette confusion qui nous a placé dans la posture de nous percevoir comme entités séparées, individuées et existantes, les unes par rapport aux autres, cela ne signifie pourtant pas que le monde que nous habitons n’a aucune existence, puisque nous le percevons y compris les autres et nous-même.
La preuve que le karma n’est que l’écho voilé de la réalité qu’est rigpa, la puissance dynamique lumineuse sagesse auto-connaissant, est que ce qui nous incite à développer une recherche spirituelle, n’est pas du à notre karma, mais à la force d’attraction de rigpa, par la graine d’éveil que chacun à dans son cœur physique, c’est cela qui pousse à pratiquer le dévoilement.
Quelle est donc cette force d’attraction qui nous pousse à découvrir par le dévoilement la réalité ultime.
A mon sens, ce n’est pas quelque chose de l’ordre du destin où prédéterminé par l’aboutissement d’un karma particulier, mais plus l’élan d’une énergie en relation avec le libre arbitre (rigpa voilé), soit alors, c’est rigpa lui-même.
Lorsque c’est rigpa lui-même, ce n’est plus en relation avec le karma, car c’est de rigpa que s’élève le fourvoiement et le développement du karma et du Samsara.
Mon intuition, mon ressenti me dit, lorsque l’on demeure dans la Vue de rigpa, rien ne s’arrête ni ne s’efface, notre présente existence continue et bien que nous aurons a affronter l’entier du karma que nous avons déjà produit, en demeurant stable dans la Vue de rigpa, toute production karmique cesse et il est même possible, que l’ensemble restant de notre dette karmique soit effacée, car à ce point, la Vue se déploie sans retour possible en arrière, sur la base du libre arbitre altruiste qui, comme dit ci-dessus, n’est autre que rigpa.
A ce point, l’on peut commencer à nous imprégner et à intégrer ce dévoilement, qui nous laisse apparaître que ce JE que nous avions pris pour vrai, solide, réel, existant, n’a qu’une existence relative en fait totalement inexistant au niveau absolu, ce qui ne signifie pas que rien ne peux apparaître, alors que les consciences se connaissant comme facettes de l’unité, continueront sans fin, éveillées.
Actuellement notre JE, ce JE, n’a pas intégré n’être qu’une facette, éclat de l’unité, qui elle-même, n'est que multitudes de diversités.
L’ensemble des trois kayas provient de la puissance dynamique lumineuse sagesse auto-connaissant, Rigpa.
Voilà ce que mes ressentis me disent de cultiver, sans rien rejeter.
Il me semble que c’est ainsi que l’on arrive à demeurer au-delà du mental.
Qu’en pensez-vous ?
A vous toutes et tous, bien à vous. Salutations.
tindzin
Bonjour,
Une fois n'est pas coutume je débute un sujet et vous transmets des pistes et la compréhension actuelle que j'ai de celui-ci:
Comment dépasser notre mental :
Quels sont les attitudes et déjà les éléments qui vont me permettre de dépasser le mental.
Pour ma part je ne suis en possession d’aucune recette, je m’interroge dans une attitude de partage, dans le but que nous y réfléchissions ensemble, une émulsion qui nous permettra peut-être ou pas, de définir un protocole pour le bénéfice de tous.
Tout d’abord j’ai l’impression qu’être au-delà du mental, ne nous coupe en rien des émotions, des ressentis que nous pouvons exprimer aux autres, ni n’arrête non plus nécessairement le flot des pensées.
J’en arrive à penser que nous avons des vues fausses sur ce qu’est ou ce que devrait être ce dépassement du mental.
Pour moi le mental ne s’arrête pas, il est transformé lorsque l’on réalise que nous ne sommes pas des individus séparés les uns des autres, mais que toutes les consciences ne sont que les infinis reflets de l’unité, qui elle est diversité.
A mon avis c’est à partir de ce point précis ou nous accédons à la reconnaissance par dévoilement, que nous ne sommes pas une/des entité(s) individuée(s) indépendante(s), mais facette de l’unité, qu’il y a une profonde mutation du mental, car à ce moment précis, nous ne pouvons plus faire comme si.
Il me semble, comme le dit d’ailleurs les Maîtres, que tout va dépendre de notre aptitude à reconnaître part la méditation, que nous ne sommes pas des individus existant dans un monde dur uniquement composé de matière et pas uniquement de ne plus suivre les pensées ou arriver à ne pas nous laisser entraîner par nos émotions.
C’est à partir de la méditation que s’opère le dévoilement et que ce déconstruit notre carapace égocentrique et notre JE. C’est également à travers nos ressentis durant la méditation que l’on constate que notre carapace est craquelée de nombreuses failles, ce qui entre autre, nous permet de constater que les pensées ne forment pas un flot continu, mais discontinu et que lorsque nous demeurons quelques instants dans une de ces failles sans pensées, ni le monde, ni nos capacités cognitives, ni notre vie s’efface et disparaît, mais bien au contraire, tout notre environnement devient très spacieux, ouvert et cristallin.
Ce sont ces failles qui vont nous permettre d’une part, de voir que nous n’avons pas besoin des pensées pour exister, et d’autre part, lorsque l’esprit pensant s’arrête, se produit une ouverture que certains nomment vacuité, mais qui en fait serait plutôt comme le nomme les Maîtres, la cristallinité.
Pour moi c’est un premier pas, mais il faut transformer l’essai, comment s’y prendre ?
Ca m’a demandé du temps pour arriver à ce point, c’est long et « je » n’ai pas fini, en fait je commence seulement.
Je sais bien que l’expérience des uns sert rarement aux autres, c’est tout de même pour cela que j’entre dans le jeu de cette danse.
C’est à partir de ce point que tout ce joue à partir de notre pratique de la méditation non duelle sans objet, shiné, lhatong, puis s’ouvre une sphère de vacuité, puis un dévoilement et un autre.
Pour certains la finalité s’est accéder à l’obtention du grand sceau (Mahamoudra) de l’école Kargyupas, où suivant les enseignements et préceptes de l’école Nigmapas dont je fais partie, ce sera plutôt la pratique de la Vue dzogchen et l’accès à cette cristallinité.
Dernièrement j’ai posé sur le site larbredesrefuges, un certain nombre de textes définissant cela. Je résume :
Pour moi d’une part, absolument tout est rigpa, cette puissance dynamique lumineuse sagesse auto-connaissant, d’autre part, les trois kayas que sont, Dharmakaya, Shambogakaya et Nirmanakaya, les trois demeurent dans l’Eveil du premier instant de leur apparition et à jamais.
Dharmakaya en tant que source incréée et source du jaillissement de la puissance dynamique lumineuse sagesse auto-connaissant, Shambogakaya en tant qu’émergence de consciences ayant dans l’instant réalisé et intégré la vrai Nature de l’Esprit en demeurant dans l’Eveil.
Puis le Nirmanakaya ne s’est également jamais départi de sa Nature Eveillée, pourtant le Nirmanakaya abrite en son sein, l’ensemble des consciences qui se sont reconnues séparées, à cause du simple fourvoiement de l’écho voilé de rigpa, qui les ont installées dans un processus créant l’apparition de sujets et d’objets, de moi, je et autres, d’actions, de réactions, l’ensemble s’est développé en karmas de plus en plus élaborés qui ont conduit au développement du Samsara et des différents mondes qui le compose.
J’en reviens à mon prime questionnement, comment je vais faire à travers la méditation, pour m’extraire du mental ?
Je ne vais pas vous dire que j’ai la solution, néanmoins par la pratique, un dévoilement intéressant s’est produit, celui-là même qui me permet me semble t’il aujourd’hui, de pouvoir fonctionner par moments, sur un plan différent que celui où se produit le mode pensé de l’esprit.
Il me semble que s’est ouvert un autre canal qui fait que j’arrive plus fréquemment, de ne plus me définir comme entité individuée et séparée des autres.
Mon premier ressenti fut l’établissement que Dharmakaya, Shambogakaya et Nirmanakaya, ne sont pas disséminé dans l’univers ou les multi-univers, mais bien qu’étant associé à des fréquences vibratoires spécifiques (ils ne se mélangent pas), tout en ce développent simultanément dans le même, ou à partir du même espace, où nous nous trouvons tous. Ils n’existent donc pas par eux-mêmes ailleurs.
Mon second ressenti est que l’espace temps n’a pas d’existence au-delà des vues fausses dans lesquelles nous sommes encrés dans le Samsara, dont les six catégories d’êtres. Cet espace-temps et donc une définition relative et non absolue de la réalité de cet univers.
Ces ressentis me sont naturellement apparus lorsque le dévoilement opérait à partir de la mise en œuvre de la pratique de la méditation de la Vue de Treckchö.
Le troisième m’a dévoilé l’origine du karma et m’informe que lorsque je suis dans la perception de ne pas être une entité séparée existante pour et par elle-même, la production de karmas cesse. Pourtant je vais continuer de ressentir les effets des karmas déjà accumulés, bons, mauvais ou neutres.
Le quatrième amène au dévoilement que le karma et donc le samsara, ne sont qu’échos voilés de rigpa, et que c’est ce fourvoiement, cette confusion qui nous a placé dans la posture de nous percevoir comme entités séparées, individuées et existantes, les unes par rapport aux autres, cela ne signifie pourtant pas que le monde que nous habitons n’a aucune existence, puisque nous le percevons y compris les autres et nous-même.
La preuve que le karma n’est que l’écho voilé de la réalité qu’est rigpa, la puissance dynamique lumineuse sagesse auto-connaissant, est que ce qui nous incite à développer une recherche spirituelle, n’est pas du à notre karma, mais à la force d’attraction de rigpa, par la graine d’éveil que chacun à dans son cœur physique, c’est cela qui pousse à pratiquer le dévoilement.
Quelle est donc cette force d’attraction qui nous pousse à découvrir par le dévoilement la réalité ultime.
A mon sens, ce n’est pas quelque chose de l’ordre du destin où prédéterminé par l’aboutissement d’un karma particulier, mais plus l’élan d’une énergie en relation avec le libre arbitre (rigpa voilé), soit alors, c’est rigpa lui-même.
Lorsque c’est rigpa lui-même, ce n’est plus en relation avec le karma, car c’est de rigpa que s’élève le fourvoiement et le développement du karma et du Samsara.
Mon intuition, mon ressenti me dit, lorsque l’on demeure dans la Vue de rigpa, rien ne s’arrête ni ne s’efface, notre présente existence continue et bien que nous aurons a affronter l’entier du karma que nous avons déjà produit, en demeurant stable dans la Vue de rigpa, toute production karmique cesse et il est même possible, que l’ensemble restant de notre dette karmique soit effacée, car à ce point, la Vue se déploie sans retour possible en arrière, sur la base du libre arbitre altruiste qui, comme dit ci-dessus, n’est autre que rigpa.
A ce point, l’on peut commencer à nous imprégner et à intégrer ce dévoilement, qui nous laisse apparaître que ce JE que nous avions pris pour vrai, solide, réel, existant, n’a qu’une existence relative en fait totalement inexistant au niveau absolu, ce qui ne signifie pas que rien ne peux apparaître, alors que les consciences se connaissant comme facettes de l’unité, continueront sans fin, éveillées.
Actuellement notre JE, ce JE, n’a pas intégré n’être qu’une facette, éclat de l’unité, qui elle-même, n'est que multitudes de diversités.
L’ensemble des trois kayas provient de la puissance dynamique lumineuse sagesse auto-connaissant, Rigpa.
Voilà ce que mes ressentis me disent de cultiver, sans rien rejeter.
Il me semble que c’est ainsi que l’on arrive à demeurer au-delà du mental.
Qu’en pensez-vous ?
A vous toutes et tous, bien à vous. Salutations.
tindzin
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