[ltr]Ré-cognition :
Ce mardi 05 décembre, j’ai revu le fond même de ce texte dont m’est venu ce matin, une vision différente de celle que j’ai entrevue hier, comme étant peut-être une monumentale bévue, avec ce questionnement, le Samsara est-il un lieu?
A vous toutes et tous,
Bonjour,[/ltr]
[ltr]De quoi parle t'on lorsque l'on expose ce qu'est le Samsara ?
La plupart du temps lorsque l'on évoque le Samsara l'on pense aux six classes d'êtres décrites par le Bouddha, dont notre monde humain n'en est sans doute qu'un, parmi une multitude d'autres mondes constitués d’êtres humanoïdes.
Par contre il est difficile de connaître précisément sa nature (du Samsara), car tant que nous restons focalisé sur l'unique point de vue que nous offres nos cinq sens, que nous croyons être la réalité, nous demeurons figé.
Selon le Bouddha, être figé dans l'illusion et la croyance basée sur nos cinq sens plus un sixième, la conscience, que ce qui nous entoure comprenant notre corps, n’est que l'unique réalité.
C'est là qu'intervient l'esprit. Cet esprit ce décompose en une palette de concepts multiples, je, moi, l'égo, qui nous suggère toutes, que nous sommes une personne existante et séparée de l'environnement et des autres qui nous entoure.
Mais cette croyance n'est qu'une réalité de surface, un vernis, dont l'origine est a rechercher à la source du point d'origine englobant tout.
C'est à partir de là que le bouddhisme offre une perspective originale et difficile à cerner pour le non initié, car dépassant de beaucoup le plan spirituel d'autres croyances, par l'attaque plutôt scientifique de sa démarche.
Le bouddhisme nous dit que la base de tout, est une base neutre incréée et non née duquel se déploie sans jamais la quitter, deux énergies, que j'appellerais forces, l'auto-puissance dynamique et la lumineuse sagesse auto-connaissante. Pour ma part mon intuition me dit qu'il s'agit en fait d'une seule énergie que je nomme, le dédoublé reflet unique.
A partir de l'auto-puissance dynamique se déploie trois sphères, niveaux de consciences, fréquences vibratoires, qui de la plus subtile a la plus grossière sont : le Dharmakaya, le Sambhogakaya et le Nirmanakaya.
A partir de la lumineuse sagesse auto-connaissante se déploie la multitude infinie des consciences et celles-ci selon le bouddhisme, se subdivisent dès l'origine, en deux catégories.
Les consciences qui ont reconnus être non séparées de la lumineuse sagesse auto-connaissante et qui sont dès leur déploiement, toujours demeurées éveillées, et l'ensemble des autres, fourvoyées par l'ignorance, les a conduit aux distinctions sujet et objet.
Ensuites ces consciences fourvoyées se sont vues comme séparées en moi, je, égo. Créant finalement du karma, celui-ci se décomposant en trois potentialités distincts : neutre, négative, positive.
Le fourvoiement se subdivise en ignorance, désir et colère, qui sont appelés les trois poisons et formant l'ensemble des pensées, celles-ci sont toutes composées des trois poisons à des niveaux différents, dont découlent tous les karmas.
Ces karmas en fonction de leur intensité, développent six classes d'êtres composant le Samsara, trois mondes dit supérieurs, qui en ordre descendant sont : les dieux, les titans, les êtres humains et trois mondes inférieurs, les animaux, les fantômes affamés et les enfers chauds et froids.
Pour ma part, les trois plans Dharmakaya, Sambhogakaya et Nirmanakaya, sont dès leur origine, des plans éveillés et sont également non séparés par les paramètres de temps, gravité et espace, mais tout au contraire, selon l’intuition, se situent au même endroit, à des niveaux de fréquences vibratoires et dans des dimensions différentes. De plus, toujours sur la base des enseignements et de l'intuition venu de ma pratique, ces trois plans demeurent dès l'origine, dans la base neutre incréée et non née elle-même, bien que s'y étant déployé.
Quant est- il maintenant du Samsara ? Premièrement selon l'intuition, celui-ci est l'écho voilé de l'éveil et se trouve à l'intérieur du plan éveillé du Nirmanakaya, qui est le plan le plus grossier des trois ci-dessus nommés.
Le Dharmakaya, le plus subtile, est le plan de l'essence, peut-être l'éther. Le Sambhogakaya est le plan de la nature, la lumière et le Nirmanakaya est le plan de l'énergie, où la lumière se fige, se gèle, devenant matière.
Ce matin à mon réveil, l'intuition m'est apparu telle une évidence, le Samsara n'a aucune dimension, aucune substantialité ce n'est ni de la matière, ni de la lumière, ni de l’éther, ce serait juste un voile plus ou moins lèger, presque clair, ou plus ou moins épais et opaque, recouvrant nos consciences et ainsi, tout notre environnement comprenant l’ensemble des consciences, dont nous même.
Le Samsara est l’illusion voilée au coeur même de l'illusion éveillée qu’est tout notre environnement comprenant les Bouddhas, le Nirmanakaya.
A partir de cela, je peux imaginer qu'existe un pont entre le bouddhisme et les tribus Amazoniennes pratiquant le chamanisme (voir youtube : Romuald Leterrier « PAN sur la conscience », Namur, le 21.11.2015), expliquant que dans nos rêves s'élèveraient des ré-cognitions venant de notre futur.
Dans le bouddhisme, l'on dit que le futur n'existe pas, mais ce n'est peut-être pas tout à fait exact. Je développe.
Voyez cette conscience voilée qui redécouvre l'éveil et devient un bouddha, un être éveillé.
Premier constat, l'ensemble des consciences n'obtiennent pas cet éveil, j'en conclu que les consciences ne sont pas les reflets d'une supra-conscience qui les englobes toutes, un Dieu créateur unique, mais devenant éveillée cette conscience demeure par contre en même temps lumineuse sagesse auto-connaissante, base neutre incréée et non née, tout en conservant sa mobilité et son indépendance, sans se résorber, ni dans la lumineuse sagesse, ni dans la base.
Second constat, lorsque sur cette planète un être humain atteint l'éveil, si lui-même peut voir l'ensemble des mondes, des consciences et même notre monde sous sa structure éveillée, ainsi que l’ensemble des karmas de l’ensemble des êtres, etc, malgré son éveil, les éléments constituant cette planète, ce monde, ne change pas, ni les êtres / consciences, qui y évoluent.
Peut-être que cela est du au fait comme je l’ai exprimé ci-dessus que l’ensemble de notre environnement, comprenant l’ensemble des consciences y compris nous même, sommes déjà dans l’éveil, ce qui nous manque est juste la levée du voile qui obstrue notre conscience et nous sépare de cet éveil, c’est ce que l’on nommerait alors, le Samsara.[/ltr]
[ltr]Cette conception ce soutient d’elle-même, par le fait que certains Maîtres reconnus comme des bouddhas vivants, disent avoir pensé que le monde se modifierait matériellement lorsqu’ils atteindront cet éveil, alors que dans les faits, ce n’est pas le cas. De plus, cette conception n’empêcherait nullement l’éventail des six mondes qu’à décrit le Bouddha, partant qu'en dehors des mondes humanoïdes et des animaux, les autres mondes sont uniquement des mondes d'esprit.
Dans le bouddhisme l'on nomme au moins deux niveaux de karmas. Le karma d'une conscience, qui est le karma individuel de cette conscience (voilée), qui s’inclu dans le karma d'un groupe de consciences, celui-ci devenant alors, un karma collectif. Une conscience éveillée est supposée n’avoir plus de karma, ce qui la délie des liens au Samsara.
Sur cette base, l'on constate qu'une conscience devenant bouddha, va continuer a évoluer dans un environnement conditionné par un karma collectif, sans en être corporellement affecté, mis à part que ce bouddha peut-être tué dans le plan voilé.[/ltr]
[ltr]
Ainsi, il devient superflu de parler être dans le Samsara, mais pas, comme étant l’écho voilé de l’éveil.
Avec cette nouvelle manière d’appréhender le Samsara comme n’étant pas un lieu, mais un voile bridant les consciences fourvoyées, l’éveil serait partout, seules les consciences voilées n’y aurait pas accès avant la purification des énergies accumulées bonnes et mauvaises conditionnant par le karma, leur existence présente et celles futures. Le Samsara n’aurait d’existence qu’à partir du déploiement des consciences fourvoyées.
Cela validant le propos du Bouddha, que tout n’est qu’illusion et le fait que rien ne se soit déployé hors de la base neutre incréée et non née.
Le Samsara serait alors uniquement le fourvoiement de la nature de l’esprit, rigpa, avili en esprit mondain (sem) dont il est dit être, marigpa.
A partir de là, pourquoi serait-il impensable de déduire / prédire l'avenir, partant qu'un certain nombre d'éléments dépendent du karma collectif. Ainsi, la planète Terre, n'a t'elle pas le même aspect depuis des millions d'années, même si dans le bouddhisme il est dit que tout est en perpétuel changements et soumis à l’impermance, aujourd'hui encore l'on redécouvre des vestiges de civilisations disparues depuis des milliers d'années, tout comme sur Terre il nous est toujours possible d’admirer des monuments existant depuis des milliers d'années, même si un jour également ceux-ci sont amenés à disparaître de l’illusion.
Le futur est en partie, selon l’intuition, déjà encrée dans le présent, autant que dans le passé dont il n’est que le prolongement. D’après moi, la part inconnue dont est composé le futur, n'est pas hasard, mais libre arbitre. En cela, contrairement à certaines croyances, tout n'est donc pas inscrit, par contre, comme l'exprime si bien le bouddhisme, tout demeure à sa juste place, démontrant que rien n'existe, tel que le hasard. C'est pour cela que l’on dit dans le bouddhisme que ce monde est parfait, dans le sens ou rien ne pourrait être à une meilleure place, que celle qu'elle occupe dans l’instant.
Nous bouddhistes avons peut-être, une vision réductrice sur ce qu’est : passé, présent et futur.
Si je prends ce texte que je suis entrain d'écrire. Une partie de celui-ci fait déjà partie du passé, et dans quelques micro-secondes, sur la tablette électronique numérique sur lequel j’écris ce texte, démontre que le futur n’est que du passé en devenir, le temps étant toujours en mouvements, rend l’instant présent quasi inexistant, notre présent passe chaque instant dans le passé où dans le futur, l’instant présent n’existerait-il donc pas ? A mon avis cela démontre que le temps qui n’a pas plus de réelle existence, que les flux d’énergies nommés karma.
Le présent est soit un concept insaisissable, soit n'existe que l'instant présent, à moins que passé, présent est futur, comme l'attestent certains chamans Amazoniens, mathématiciens quantiques, astrophysiciens et ethno-biologistes de renoms, sont trois moments, néanmoins non-existant du déploiement d’un perpétuel futur, déjà potentiellement inscrit dans le passé, hormis la pondérable du libre arbitre, qui constituerait le seul indicateur attestant l’existence du présent.[/ltr]
[ltr]
Ainsi le postulat bouddhiste du karma et le développement de l'ensemble de sa cosmogonie, pourrait bien trouver son accord et son écho, avec les sciences dures du XXI ème siècles, autant qu'avec les chamans Amazoniens et leur pré-cognition, que les civilisations d'autres cultes et sciences ailleurs dans notre monde, ou extraterrestre comme la civilisation Ummite, comprenant ses propres multiples paramètres vectoriels supplémentaires tel qu’ils l’affirment, que notre univers serait en réalité un multi-vers constitué de vingt-quatre dimensions.
Par contre les Ummites soutiennent que chacun avons une âme individuelle et font référence à une supra-conscience collective englobant tout ou nous ferions qu’un, tout en attestant comme vrai, l’existence du hasard. Comme quoi l’on peut être de très savants extraterrestres, tout en demeurant encré dans des concepts erronés. La maîtrise de technologies de pointes, n’est pas une garantie d’éveil, ni ne les places de facto, hors du Samsara, bien au contraire.
A vous toutes et tous.
Bien à vous.
tindzin - Dakar, le lundi 04 et mardi 05 décembre 2017[/ltr]
Ce mardi 05 décembre, j’ai revu le fond même de ce texte dont m’est venu ce matin, une vision différente de celle que j’ai entrevue hier, comme étant peut-être une monumentale bévue, avec ce questionnement, le Samsara est-il un lieu?
A vous toutes et tous,
Bonjour,[/ltr]
[ltr]De quoi parle t'on lorsque l'on expose ce qu'est le Samsara ?
La plupart du temps lorsque l'on évoque le Samsara l'on pense aux six classes d'êtres décrites par le Bouddha, dont notre monde humain n'en est sans doute qu'un, parmi une multitude d'autres mondes constitués d’êtres humanoïdes.
Par contre il est difficile de connaître précisément sa nature (du Samsara), car tant que nous restons focalisé sur l'unique point de vue que nous offres nos cinq sens, que nous croyons être la réalité, nous demeurons figé.
Selon le Bouddha, être figé dans l'illusion et la croyance basée sur nos cinq sens plus un sixième, la conscience, que ce qui nous entoure comprenant notre corps, n’est que l'unique réalité.
C'est là qu'intervient l'esprit. Cet esprit ce décompose en une palette de concepts multiples, je, moi, l'égo, qui nous suggère toutes, que nous sommes une personne existante et séparée de l'environnement et des autres qui nous entoure.
Mais cette croyance n'est qu'une réalité de surface, un vernis, dont l'origine est a rechercher à la source du point d'origine englobant tout.
C'est à partir de là que le bouddhisme offre une perspective originale et difficile à cerner pour le non initié, car dépassant de beaucoup le plan spirituel d'autres croyances, par l'attaque plutôt scientifique de sa démarche.
Le bouddhisme nous dit que la base de tout, est une base neutre incréée et non née duquel se déploie sans jamais la quitter, deux énergies, que j'appellerais forces, l'auto-puissance dynamique et la lumineuse sagesse auto-connaissante. Pour ma part mon intuition me dit qu'il s'agit en fait d'une seule énergie que je nomme, le dédoublé reflet unique.
A partir de l'auto-puissance dynamique se déploie trois sphères, niveaux de consciences, fréquences vibratoires, qui de la plus subtile a la plus grossière sont : le Dharmakaya, le Sambhogakaya et le Nirmanakaya.
A partir de la lumineuse sagesse auto-connaissante se déploie la multitude infinie des consciences et celles-ci selon le bouddhisme, se subdivisent dès l'origine, en deux catégories.
Les consciences qui ont reconnus être non séparées de la lumineuse sagesse auto-connaissante et qui sont dès leur déploiement, toujours demeurées éveillées, et l'ensemble des autres, fourvoyées par l'ignorance, les a conduit aux distinctions sujet et objet.
Ensuites ces consciences fourvoyées se sont vues comme séparées en moi, je, égo. Créant finalement du karma, celui-ci se décomposant en trois potentialités distincts : neutre, négative, positive.
Le fourvoiement se subdivise en ignorance, désir et colère, qui sont appelés les trois poisons et formant l'ensemble des pensées, celles-ci sont toutes composées des trois poisons à des niveaux différents, dont découlent tous les karmas.
Ces karmas en fonction de leur intensité, développent six classes d'êtres composant le Samsara, trois mondes dit supérieurs, qui en ordre descendant sont : les dieux, les titans, les êtres humains et trois mondes inférieurs, les animaux, les fantômes affamés et les enfers chauds et froids.
Pour ma part, les trois plans Dharmakaya, Sambhogakaya et Nirmanakaya, sont dès leur origine, des plans éveillés et sont également non séparés par les paramètres de temps, gravité et espace, mais tout au contraire, selon l’intuition, se situent au même endroit, à des niveaux de fréquences vibratoires et dans des dimensions différentes. De plus, toujours sur la base des enseignements et de l'intuition venu de ma pratique, ces trois plans demeurent dès l'origine, dans la base neutre incréée et non née elle-même, bien que s'y étant déployé.
Quant est- il maintenant du Samsara ? Premièrement selon l'intuition, celui-ci est l'écho voilé de l'éveil et se trouve à l'intérieur du plan éveillé du Nirmanakaya, qui est le plan le plus grossier des trois ci-dessus nommés.
Le Dharmakaya, le plus subtile, est le plan de l'essence, peut-être l'éther. Le Sambhogakaya est le plan de la nature, la lumière et le Nirmanakaya est le plan de l'énergie, où la lumière se fige, se gèle, devenant matière.
Ce matin à mon réveil, l'intuition m'est apparu telle une évidence, le Samsara n'a aucune dimension, aucune substantialité ce n'est ni de la matière, ni de la lumière, ni de l’éther, ce serait juste un voile plus ou moins lèger, presque clair, ou plus ou moins épais et opaque, recouvrant nos consciences et ainsi, tout notre environnement comprenant l’ensemble des consciences, dont nous même.
Le Samsara est l’illusion voilée au coeur même de l'illusion éveillée qu’est tout notre environnement comprenant les Bouddhas, le Nirmanakaya.
A partir de cela, je peux imaginer qu'existe un pont entre le bouddhisme et les tribus Amazoniennes pratiquant le chamanisme (voir youtube : Romuald Leterrier « PAN sur la conscience », Namur, le 21.11.2015), expliquant que dans nos rêves s'élèveraient des ré-cognitions venant de notre futur.
Dans le bouddhisme, l'on dit que le futur n'existe pas, mais ce n'est peut-être pas tout à fait exact. Je développe.
Voyez cette conscience voilée qui redécouvre l'éveil et devient un bouddha, un être éveillé.
Premier constat, l'ensemble des consciences n'obtiennent pas cet éveil, j'en conclu que les consciences ne sont pas les reflets d'une supra-conscience qui les englobes toutes, un Dieu créateur unique, mais devenant éveillée cette conscience demeure par contre en même temps lumineuse sagesse auto-connaissante, base neutre incréée et non née, tout en conservant sa mobilité et son indépendance, sans se résorber, ni dans la lumineuse sagesse, ni dans la base.
Second constat, lorsque sur cette planète un être humain atteint l'éveil, si lui-même peut voir l'ensemble des mondes, des consciences et même notre monde sous sa structure éveillée, ainsi que l’ensemble des karmas de l’ensemble des êtres, etc, malgré son éveil, les éléments constituant cette planète, ce monde, ne change pas, ni les êtres / consciences, qui y évoluent.
Peut-être que cela est du au fait comme je l’ai exprimé ci-dessus que l’ensemble de notre environnement, comprenant l’ensemble des consciences y compris nous même, sommes déjà dans l’éveil, ce qui nous manque est juste la levée du voile qui obstrue notre conscience et nous sépare de cet éveil, c’est ce que l’on nommerait alors, le Samsara.[/ltr]
[ltr]Cette conception ce soutient d’elle-même, par le fait que certains Maîtres reconnus comme des bouddhas vivants, disent avoir pensé que le monde se modifierait matériellement lorsqu’ils atteindront cet éveil, alors que dans les faits, ce n’est pas le cas. De plus, cette conception n’empêcherait nullement l’éventail des six mondes qu’à décrit le Bouddha, partant qu'en dehors des mondes humanoïdes et des animaux, les autres mondes sont uniquement des mondes d'esprit.
Dans le bouddhisme l'on nomme au moins deux niveaux de karmas. Le karma d'une conscience, qui est le karma individuel de cette conscience (voilée), qui s’inclu dans le karma d'un groupe de consciences, celui-ci devenant alors, un karma collectif. Une conscience éveillée est supposée n’avoir plus de karma, ce qui la délie des liens au Samsara.
Sur cette base, l'on constate qu'une conscience devenant bouddha, va continuer a évoluer dans un environnement conditionné par un karma collectif, sans en être corporellement affecté, mis à part que ce bouddha peut-être tué dans le plan voilé.[/ltr]
[ltr]
Ainsi, il devient superflu de parler être dans le Samsara, mais pas, comme étant l’écho voilé de l’éveil.
Avec cette nouvelle manière d’appréhender le Samsara comme n’étant pas un lieu, mais un voile bridant les consciences fourvoyées, l’éveil serait partout, seules les consciences voilées n’y aurait pas accès avant la purification des énergies accumulées bonnes et mauvaises conditionnant par le karma, leur existence présente et celles futures. Le Samsara n’aurait d’existence qu’à partir du déploiement des consciences fourvoyées.
Cela validant le propos du Bouddha, que tout n’est qu’illusion et le fait que rien ne se soit déployé hors de la base neutre incréée et non née.
Le Samsara serait alors uniquement le fourvoiement de la nature de l’esprit, rigpa, avili en esprit mondain (sem) dont il est dit être, marigpa.
A partir de là, pourquoi serait-il impensable de déduire / prédire l'avenir, partant qu'un certain nombre d'éléments dépendent du karma collectif. Ainsi, la planète Terre, n'a t'elle pas le même aspect depuis des millions d'années, même si dans le bouddhisme il est dit que tout est en perpétuel changements et soumis à l’impermance, aujourd'hui encore l'on redécouvre des vestiges de civilisations disparues depuis des milliers d'années, tout comme sur Terre il nous est toujours possible d’admirer des monuments existant depuis des milliers d'années, même si un jour également ceux-ci sont amenés à disparaître de l’illusion.
Le futur est en partie, selon l’intuition, déjà encrée dans le présent, autant que dans le passé dont il n’est que le prolongement. D’après moi, la part inconnue dont est composé le futur, n'est pas hasard, mais libre arbitre. En cela, contrairement à certaines croyances, tout n'est donc pas inscrit, par contre, comme l'exprime si bien le bouddhisme, tout demeure à sa juste place, démontrant que rien n'existe, tel que le hasard. C'est pour cela que l’on dit dans le bouddhisme que ce monde est parfait, dans le sens ou rien ne pourrait être à une meilleure place, que celle qu'elle occupe dans l’instant.
Nous bouddhistes avons peut-être, une vision réductrice sur ce qu’est : passé, présent et futur.
Si je prends ce texte que je suis entrain d'écrire. Une partie de celui-ci fait déjà partie du passé, et dans quelques micro-secondes, sur la tablette électronique numérique sur lequel j’écris ce texte, démontre que le futur n’est que du passé en devenir, le temps étant toujours en mouvements, rend l’instant présent quasi inexistant, notre présent passe chaque instant dans le passé où dans le futur, l’instant présent n’existerait-il donc pas ? A mon avis cela démontre que le temps qui n’a pas plus de réelle existence, que les flux d’énergies nommés karma.
Le présent est soit un concept insaisissable, soit n'existe que l'instant présent, à moins que passé, présent est futur, comme l'attestent certains chamans Amazoniens, mathématiciens quantiques, astrophysiciens et ethno-biologistes de renoms, sont trois moments, néanmoins non-existant du déploiement d’un perpétuel futur, déjà potentiellement inscrit dans le passé, hormis la pondérable du libre arbitre, qui constituerait le seul indicateur attestant l’existence du présent.[/ltr]
[ltr]
Ainsi le postulat bouddhiste du karma et le développement de l'ensemble de sa cosmogonie, pourrait bien trouver son accord et son écho, avec les sciences dures du XXI ème siècles, autant qu'avec les chamans Amazoniens et leur pré-cognition, que les civilisations d'autres cultes et sciences ailleurs dans notre monde, ou extraterrestre comme la civilisation Ummite, comprenant ses propres multiples paramètres vectoriels supplémentaires tel qu’ils l’affirment, que notre univers serait en réalité un multi-vers constitué de vingt-quatre dimensions.
Par contre les Ummites soutiennent que chacun avons une âme individuelle et font référence à une supra-conscience collective englobant tout ou nous ferions qu’un, tout en attestant comme vrai, l’existence du hasard. Comme quoi l’on peut être de très savants extraterrestres, tout en demeurant encré dans des concepts erronés. La maîtrise de technologies de pointes, n’est pas une garantie d’éveil, ni ne les places de facto, hors du Samsara, bien au contraire.
A vous toutes et tous.
Bien à vous.
tindzin - Dakar, le lundi 04 et mardi 05 décembre 2017[/ltr]
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