L'auteur :
Journaliste et membre du Conseil d’Administration de la Conférence mondiale des religions pour la paix, Monsieur Gantois était le fondateur du magazine de l’UBF « Actualités Bouddhistes » qu’il a animé avec Monsieur Jacques Martin jusqu’en 2003. Il est décédé le 5 mars 2013.
(si quelqu'un a une photo de lui sur le web... j'aime bien donner un visage aux textes).
La compassion a une place fondamentale dans le Dharma. Elle est associée à l’amour, et tous deux se concrétisent dans le don, première vertu transcendante (paramita), à partir de laquelle pourront s’élever les autres vertus et la sagesse.
D’abord quelques définitions : l’amour, cest le souhait que tous les êtres soient heureux ; la compassion, cest celui qu’ils soient délivrés de la souffrance. Il y a trois sortes de dons, de valeur croissante : le don d’argent, de nourriture, de biens matériels ; le don de la protection, prendre en charge, moralement et matériellement, les êtres en leur donnant de soi-même ; le don du Dharma, moyen pour eux de se libérer non pas d’une souffrance momentanée, dans cette existence, mais d’éradiquer définitivement toute possibilité de souffrance. La sagesse, c’est la compréhension vécue, la certitude expérimentale de l’absence d’existence propre des êtres et des phénomènes. Mais il faut de la sagesse pour dispenser le don suprême, celui du Dharma, car on ne peut donner que ce que l’on possède.
Ainsi, le premier pas vers l’éveil est-il le don, c'est-à-dire la compassion en action, dont l’intensité et la profondeur s’accroissent avec les autres vertus et avec la sagesse, en lien dialectique.
Le don permet de cultiver le détachement envers ses propres biens et sa propre personne, d’attaquer l’gnorance fondamentale, la croyance en un ego stable, permanent, éternel, base de toutes nos souffrances. Poussé au bout, selon la vision de sagesse, le don n’existe pas (il est dénué d’existence propre), non plus que le donateur ni le bénéficiaire. Cest une simple énergie positive qui circule, elle aussi dénuée dexistence propre, mais moyen habile pour aller vers l’éveil.
La compassion est la grande motivation du bodhisattva, le chevalier courageux de l’éveil. Mais comme elle n’est pas qu’un truc, qu’un moyen habile, elle doit être pratiquée simplement, modestement, comme la seule attitude adaptée à notre situation, la nôtre et celle d’autrui. En ce sens, le bodhisattva vénère également et reconnaît comme frère en spiritualité tous les grands compatissants, quelle que soit leur voie religieuse.
La compassion exige l’attention à autrui et génère la pratique de l’éthique, de la patience, de l’effort soutenu et de la concentration méditative.
Ainsi, au Tibet ancien, où les voyageurs étaient souvent détroussés par des pillards, les religieux leur offraient-ils leurs biens pour éviter à ceux-ci les conséquences douloureuses de leur mauvaise action, s’interdisant du même coup de récupérer ces biens si les pillards venaient à être arrêtés.
Ainsi, le Bouddha Sakyamouni, dans le récit de ses existences antérieures (Jatakas) explique-t-il ses progrès spirituels par une accumulation de mérite due à sa générosité dans les différents modes de renaissance.
Générosité et sagesse se confortent mutuellement. Le développement du don amène à en pratiquer les formes les plus élevées, au point que le bodhisattva oublie sa propre quête vers l’éveil, faisant passer le salut des autres avant le sien. Il n’enseigne pas le Dharma à qui n’en ferait pas la requête car ce ne serait alors qu’une opinion parmi d'autres, de peu de valeur. Il permet à autrui de le découvrir lui-même, en faisant un avec cet enseignement, comme le Bouddha. Son but est l’éveil des êtres et son moyen, la compassion universelle.
On dit qu’un être qui aurait parfait l’accumulation de vertu, au premier rang desquelles le don, compassion en action, mais qui n’aurait pas de sagesse, serait comme un aveugle, incapable daller à l’éveil quil ne distinguerait pas. Un être ayant parfait la sagesse, mais n’ayant pas de compassion, serait comme un paralytique : il verrait l’éveil mais serait incapable dy parvenir. En réalité, il n’est pas de compassion parfaite sans sagesse ni de sagesse parfaite sans compassion.
Les Écritures et l’histoire du bouddhisme regorgent de récits de dons, de l’expression de la compassion universelle. Celle-ci est le grand moteur vers l’éveil. On l’appelle la bodhicitta, l’aspiration à l'éveil de tous les êtres. Pour un bodhisattva, il n’est de but plus sublime. Il n’en est même aucun autre qui vaille. Aussi je vous dédie pour conclure les quatre vœux incommensurables de l’amour, de la compassion, de la joie et de l’équanimité des bodhisattvas :
puissent tous les êtres posséder le bonheur et les causes du bonheur !
puissent tous les êtres être séparés de la souffrance et des causes de la souffrance !
puissent tous les êtres ne jamais quitter la sainte félicité dépourvue de toute souffrance !
puissent tous les êtres résider en la grande équanimité dépourvue de tout attachement et de toute aversion !
Septembre 2000
Site : buddhaline
Journaliste et membre du Conseil d’Administration de la Conférence mondiale des religions pour la paix, Monsieur Gantois était le fondateur du magazine de l’UBF « Actualités Bouddhistes » qu’il a animé avec Monsieur Jacques Martin jusqu’en 2003. Il est décédé le 5 mars 2013.
(si quelqu'un a une photo de lui sur le web... j'aime bien donner un visage aux textes).
"Apprenez par vous-même" a dit le Bouddha. Dans une religion qui est un chemin d’expérience, comment comprendre une notion telle que la foi ? La vision bouddhiste renouvelle également notre compréhension de la compassion.
Par Jean-François GantoisDans le bouddhisme, la foi n’est ni un don de Dieu, il n’en connaît point, ni une révélation. Les textes parlent de confiance sereine et de science intérieure. Une confiance fondée sur une expérience spirituelle réussie, une confiance en les enseignements et en le Bouddha, qui sont indifférenciés : le Dharma (les enseignements) est le Bouddha, le Bouddha est le Dharma. Et cette confiance est sans cesse confortée par la validité de l’expérience. Et cette science intérieure qui est connaissance vécue permet, ultimement, d’éviter toute erreur et d’aller à la certitude.
Le bouddhisme n’exige aucune croyance inconditionnelle, aucune dévotion absolue, c’est pourquoi le Noble Sentier octuple ne débute pas par la foi mais par la vue correcte, qui n’est pas une simple compréhension théorique mais plutôt une constatation, une habileté à voir les choses telles quelles sont.
La foi n’a donc rien dune croyance ni d’une adhésion à un système de croyances.
Le Bouddha a dit : Ne vous laissez pas guider par les discours, les traditions, ou l'ouï-dire ; ne vous laissez pas guider par l'autorité des textes religieux, eux-mêmes objets de manipulations ; ne vous laissez pas guider par la seule logique ou dialectique, ni par la considération des apparences, ni par le plaisir de philosopher, ni par la vraisemblance ni par l'autorité des maîtres et des supérieurs. Apprenez par vous-mêmes à reconnaître ce qui est mauvais, faux et méchant et, l’ayant observé et approfondi, ayant compris quil génère négativité et souffrance, abandonnez-le. Apprenez par vous-mêmes à reconnaître ce qui est utile, méritoire bon et, l’ayant observé et approfondi, ayant compris qu'il génère bénéfice et félicité, acceptez-le et suivez-le.
Dans ce soutra, le Bouddha désigne cinq facteurs constituant la base d’une croyance : la foi aveugle, l'inclination, la tradition, la considération des apparences et la spéculation sur les opinions. Il explique que la véracité d'une chose ne peut être prouvée par l’un ou l’autre de ces cinq facteurs.
La bakhti, la vénération envers le maître, n’est pas non plus une foi aveugle, mais la reconnaissance envers celui qui nous offre ce qui est le plus précieux : le moyen de se libérer et d’aider tous les êtres à se libérer de la souffrance dont la cause première est l’ignorance. Cette vénération repose aussi sur l’expérience.
Le Bouddha a parlé de ce qu’il avait compris lui-même correctement par son expérience. Les Ecritures mentionnent ayant compris par lui-même... par ses propres connaissances spécifiques... ou encore, le Bouddha déclare : « Je sais... jai vu... jai compris, » etc. ou « Se sont élevées en moi la vision, la connaissance, la sagesse, la science, la lumière... autant de synonymes de compréhension vécue.
On peut aussi dire que les hommes de foi sont ceux qui ont mené loin l’expérience spirituelle, la compréhension vécue, c'est-à-dire les bodhisattvas, ou l’ont mené à terme : les bouddhas.
Le bouddhisme n’exige aucune croyance inconditionnelle, aucune dévotion absolue, c’est pourquoi le Noble Sentier octuple ne débute pas par la foi mais par la vue correcte, qui n’est pas une simple compréhension théorique mais plutôt une constatation, une habileté à voir les choses telles quelles sont.
La foi n’a donc rien dune croyance ni d’une adhésion à un système de croyances.
Le Bouddha a dit : Ne vous laissez pas guider par les discours, les traditions, ou l'ouï-dire ; ne vous laissez pas guider par l'autorité des textes religieux, eux-mêmes objets de manipulations ; ne vous laissez pas guider par la seule logique ou dialectique, ni par la considération des apparences, ni par le plaisir de philosopher, ni par la vraisemblance ni par l'autorité des maîtres et des supérieurs. Apprenez par vous-mêmes à reconnaître ce qui est mauvais, faux et méchant et, l’ayant observé et approfondi, ayant compris quil génère négativité et souffrance, abandonnez-le. Apprenez par vous-mêmes à reconnaître ce qui est utile, méritoire bon et, l’ayant observé et approfondi, ayant compris qu'il génère bénéfice et félicité, acceptez-le et suivez-le.
Dans ce soutra, le Bouddha désigne cinq facteurs constituant la base d’une croyance : la foi aveugle, l'inclination, la tradition, la considération des apparences et la spéculation sur les opinions. Il explique que la véracité d'une chose ne peut être prouvée par l’un ou l’autre de ces cinq facteurs.
La bakhti, la vénération envers le maître, n’est pas non plus une foi aveugle, mais la reconnaissance envers celui qui nous offre ce qui est le plus précieux : le moyen de se libérer et d’aider tous les êtres à se libérer de la souffrance dont la cause première est l’ignorance. Cette vénération repose aussi sur l’expérience.
Le Bouddha a parlé de ce qu’il avait compris lui-même correctement par son expérience. Les Ecritures mentionnent ayant compris par lui-même... par ses propres connaissances spécifiques... ou encore, le Bouddha déclare : « Je sais... jai vu... jai compris, » etc. ou « Se sont élevées en moi la vision, la connaissance, la sagesse, la science, la lumière... autant de synonymes de compréhension vécue.
On peut aussi dire que les hommes de foi sont ceux qui ont mené loin l’expérience spirituelle, la compréhension vécue, c'est-à-dire les bodhisattvas, ou l’ont mené à terme : les bouddhas.
La compassion a une place fondamentale dans le Dharma. Elle est associée à l’amour, et tous deux se concrétisent dans le don, première vertu transcendante (paramita), à partir de laquelle pourront s’élever les autres vertus et la sagesse.
D’abord quelques définitions : l’amour, cest le souhait que tous les êtres soient heureux ; la compassion, cest celui qu’ils soient délivrés de la souffrance. Il y a trois sortes de dons, de valeur croissante : le don d’argent, de nourriture, de biens matériels ; le don de la protection, prendre en charge, moralement et matériellement, les êtres en leur donnant de soi-même ; le don du Dharma, moyen pour eux de se libérer non pas d’une souffrance momentanée, dans cette existence, mais d’éradiquer définitivement toute possibilité de souffrance. La sagesse, c’est la compréhension vécue, la certitude expérimentale de l’absence d’existence propre des êtres et des phénomènes. Mais il faut de la sagesse pour dispenser le don suprême, celui du Dharma, car on ne peut donner que ce que l’on possède.
Ainsi, le premier pas vers l’éveil est-il le don, c'est-à-dire la compassion en action, dont l’intensité et la profondeur s’accroissent avec les autres vertus et avec la sagesse, en lien dialectique.
Le don permet de cultiver le détachement envers ses propres biens et sa propre personne, d’attaquer l’gnorance fondamentale, la croyance en un ego stable, permanent, éternel, base de toutes nos souffrances. Poussé au bout, selon la vision de sagesse, le don n’existe pas (il est dénué d’existence propre), non plus que le donateur ni le bénéficiaire. Cest une simple énergie positive qui circule, elle aussi dénuée dexistence propre, mais moyen habile pour aller vers l’éveil.
La compassion est la grande motivation du bodhisattva, le chevalier courageux de l’éveil. Mais comme elle n’est pas qu’un truc, qu’un moyen habile, elle doit être pratiquée simplement, modestement, comme la seule attitude adaptée à notre situation, la nôtre et celle d’autrui. En ce sens, le bodhisattva vénère également et reconnaît comme frère en spiritualité tous les grands compatissants, quelle que soit leur voie religieuse.
La compassion exige l’attention à autrui et génère la pratique de l’éthique, de la patience, de l’effort soutenu et de la concentration méditative.
Ainsi, au Tibet ancien, où les voyageurs étaient souvent détroussés par des pillards, les religieux leur offraient-ils leurs biens pour éviter à ceux-ci les conséquences douloureuses de leur mauvaise action, s’interdisant du même coup de récupérer ces biens si les pillards venaient à être arrêtés.
Ainsi, le Bouddha Sakyamouni, dans le récit de ses existences antérieures (Jatakas) explique-t-il ses progrès spirituels par une accumulation de mérite due à sa générosité dans les différents modes de renaissance.
Générosité et sagesse se confortent mutuellement. Le développement du don amène à en pratiquer les formes les plus élevées, au point que le bodhisattva oublie sa propre quête vers l’éveil, faisant passer le salut des autres avant le sien. Il n’enseigne pas le Dharma à qui n’en ferait pas la requête car ce ne serait alors qu’une opinion parmi d'autres, de peu de valeur. Il permet à autrui de le découvrir lui-même, en faisant un avec cet enseignement, comme le Bouddha. Son but est l’éveil des êtres et son moyen, la compassion universelle.
On dit qu’un être qui aurait parfait l’accumulation de vertu, au premier rang desquelles le don, compassion en action, mais qui n’aurait pas de sagesse, serait comme un aveugle, incapable daller à l’éveil quil ne distinguerait pas. Un être ayant parfait la sagesse, mais n’ayant pas de compassion, serait comme un paralytique : il verrait l’éveil mais serait incapable dy parvenir. En réalité, il n’est pas de compassion parfaite sans sagesse ni de sagesse parfaite sans compassion.
Les Écritures et l’histoire du bouddhisme regorgent de récits de dons, de l’expression de la compassion universelle. Celle-ci est le grand moteur vers l’éveil. On l’appelle la bodhicitta, l’aspiration à l'éveil de tous les êtres. Pour un bodhisattva, il n’est de but plus sublime. Il n’en est même aucun autre qui vaille. Aussi je vous dédie pour conclure les quatre vœux incommensurables de l’amour, de la compassion, de la joie et de l’équanimité des bodhisattvas :
puissent tous les êtres posséder le bonheur et les causes du bonheur !
puissent tous les êtres être séparés de la souffrance et des causes de la souffrance !
puissent tous les êtres ne jamais quitter la sainte félicité dépourvue de toute souffrance !
puissent tous les êtres résider en la grande équanimité dépourvue de tout attachement et de toute aversion !
Septembre 2000
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