La relation aux Lamas
Nous allons voir que le lama n'est pas seulement une personne mais qu'il se découvre dans tous les aspects de la vie. Souvent, quand nous parlons de lama, de maître et de guide spirituel nous réduisons cela à une personne, or le lama est beaucoup plus que la personne que nous rencontrons. Pourquoi ? Parce que si le lama se limitait à une personne, nous aurions tout le temps besoin d'être avec lui sur le chemin spirituel.
Nous avons tout le temps besoin de conseils, d'instructions et nous ne pouvons pas avoir un lama tout le temps dans notre valise ou à portée de main. Donc, il faut pouvoir trouver le lama ailleurs que dans la rencontre avec quelqu'un. Il y a d'abord le lama de lignée, le lama détenteur d'une transmission, de la bénédiction et qui nous donne les instructions. C'est le point de départ indispensable, mais après ?
Le Lama des textes :
"le lama est beaucoup plus que la personne que nous rencontrons"
Ensuite, il y a un autre lama qui est le lama des instructions, le lama des textes.
Une fois que nous avons reçu les instructions orales, et que nous les avons retenues nous allons pouvoir commencer à les mettre en pratique. Nous allons méditer et essayer d'agir en fonction des instructions reçues, développer l'effort enthousiaste, la générosité, toutes ces qualités qui sont sur le chemin spirituel.
Et puis nous allons arriver à un moment où il va y avoir des doutes, nous allons nous dire : " mais est-ce que c'est bien ainsi qu'il me faut comprendre ce qu'il m'a dit, je ne me souviens pas exactement de ce qu'il a dit " ; c'est à ce moment que les textes deviennent utiles. Nous avons de la chance car aujourd'hui il existe de nombreuses bonnes traductions de textes et d'enseignements. Il s'agit de choisir quelques textes essentiels, conseillés par le lama par exemple, quelques textes auxquels nous pouvons nous référer et c'est en cas de questions, d'interrogations, de doutes, que nous pourrons les consulter. Nous recevons les instructions du lama, les mettons en pratique et donc il y a une certaine expérience qui s'élève. Puis nous la comparons avec les textes qui sont à notre disposition et dont nous sommes certains qu'ils sont authentiques. C'est ce qui est appelé le lama des instructions du bouddha.
Il est important dans la pratique d'intégrer ces trois aspects : recevoir les instructions orales, les mettre en pratique et voir si cela concorde avec ce qui est expliqué dans les différents enseignements. Il y a, à ce stade, plusieurs pièges à éviter.
Il y a tout d'abord le piège du "consommateur de concepts " C'est quand nous nous disons : " ah ! Je vais aller voir dans tel livre, il me semble qu'il y a des informations sur la question que je cherche " et puis nous commençons à lire, une page, deux, trois pages et nous allons complètement perdre la question de départ et nous allons lire et lire. Nous allons être pris de nouveau par cette forme de séduction dans laquelle l'intellect avale juste les concepts. Il n'y a pas un défaut à lire beaucoup pour avoir des informations, mais ici il s'agit de ne pas se perdre quand nous cherchons la réponse à une question, de ne pas se perdre par exemple dans les différents véhicules, les différentes traditions, approches et écoles, sinon, nous ne nous en sortons plus et nous rentrons dans un jeu qui est beaucoup plus intellectuel, voire trop, ou alors, nous sommes séduits par les mots, et particulièrement aujourd'hui, nous nous perdons facilement dans du vocabulaire où nous nous laissons facilement séduire par le vocabulaire.
Par exemple, nous lisons "il faut prendre refuge en les trois joyaux : le bouddha, le dharma et la sangha ". Oui. Puis nous lisons un peu plus loin : " il faut se connecter à l'énergie éveillée, l'éveil, le chemin et le but ". Ah ! Voilà, ces mots nous parlent beaucoup plus et nous nous laissons piéger par le vocabulaire car nous ne prenons pas la peine d'aller au-delà des mots. Quand nous approchons l'enseignement du bouddha et le lama sous l'aspect de ces instructions, il faut prendre le temps de lire et de laisser pénétrer le sens en nous. Je ne sais pas si l'exemple est très heureux mais c'est un peu comme quand nous mangeons un chewing-gum. Si nous mettons juste le chewing-gum en bouche, il n'y a pas grand chose qui va en sortir ; par contre, si nous le mâchons, nous allons en avoir la saveur.
Et il en va de même avec les instructions, il s'agit de lire une phrase, une citation, une histoire et puis s'arrêter et la mâcher, la tourner dans tous les sens, y réfléchir et voir en quoi elle peut être reliée à notre expérience.
Quand le bouddha parle de la mort et de l'impermanence, quel écho, quelle résonance cela a-t-il en moi ? Il dit : " tout le monde va mourir ", évidemment tout le monde va mourir et "on ne sait pas quand ", évidemment nous ne savons pas quand. Bon allez, page suivante ! Et nous passons à autre chose. Mais si nous nous arrêtons un moment et que nous nous disons "tout le monde va mourir, ça veut dire que moi aussi je vais mourir et que je ne sais pas quand et que cela peut effectivement être demain ". Oui ! Et donc si nous commençons à réfléchir comme cela, ce qui paraissait une évidence, à savoir que tout le monde va mourir, devient quelque chose qui a une autre résonance. C'est ce type de réflexion qui donne son sens à la pratique.
Par conséquent, il est important de prendre le temps de digérer l'enseignement, de le mâcher, de l'intégrer. Il faut étudier comme le faisait les yogis du passé : ils prennent une instruction et puis ils la mâchent, jusqu'à en avoir un sens intérieur et à lier l'enseignement à leur propre expérience ; et ils dépassent les mots, ils ne se laissent pas séduire par l'apparence et par le vocabulaire.
Un autre piège rencontré quand nous approchons le lama des instructions, c'est le tri. Nous nous disons : "Ah ! Oui, cette instruction n'est pas mal, la mort et l'impermanence aussi ", nous pouvons le vérifier, " en plus c'est bien ", puis il commence à parler de la réincarnation, de la nature de l'esprit et de sujets comme cela, "ce n'est pas possible " nous disons-nous et nous passons. Nous trions l'information. Je ne dis pas qu'il faille tout avaler tout cru et développer la foi du charbonnier, mais il faut prendre la peine de dépasser nos limites. Ce n'est pas parce que nous ne croyons pas quelque chose ou que nous ne le comprenons pas maintenant que ce n'est pas possible ou que ce n'est pas vrai. Cette lecture-là demande beaucoup d'humilité.
Nous partons de ce que nous sommes maintenant, et nous sommes limités, nous sommes dans la confusion, dans les émotions et l'approche que nous avons du monde, des autres, de l'enseignement et de nous-mêmes est limitée par ces émotions et cette confusion. Cela signifie que tout est à découvrir, qu'il y a des choses que nous ne savons pas et même plus que cela, cela veut dire que la façon dont nous expérimentons et comprenons le monde est limitée. Il faut accepter que ce que je comprends maintenant dans ce qui m'est dit, n'est qu'une compréhension limitée et que beaucoup reste à découvrir et demande à mûrir. D'un côté c'est un peu inconfortable, parce que nous nous disons que finalement ce que nous comprenons est faux, nous comprenons de façon erronée et en même temps c'est extraordinaire, parce que tout reste à découvrir. Le sens de la pratique spirituelle, c'est de trouver le sens de l'enseignement, en nous, dans le flux, dans le flou de la pratique et donc d'accepter ce qui s'élève, même si nous ne sommes pas d'accord, et que nous ne comprenons pas, même si tout cela nous semble des inepties, au moins les accepter et prendre la peine d'y réfléchir peut nous permettre d'aller plus loin dans notre parcours.
Nous avons rencontré le lama de la lignée et dans notre pratique, nous le complétons avec le lama des instructions. Il y a encore un autre lama que nous allons rencontrer.
Nous allons voir que le lama n'est pas seulement une personne mais qu'il se découvre dans tous les aspects de la vie. Souvent, quand nous parlons de lama, de maître et de guide spirituel nous réduisons cela à une personne, or le lama est beaucoup plus que la personne que nous rencontrons. Pourquoi ? Parce que si le lama se limitait à une personne, nous aurions tout le temps besoin d'être avec lui sur le chemin spirituel.
Nous avons tout le temps besoin de conseils, d'instructions et nous ne pouvons pas avoir un lama tout le temps dans notre valise ou à portée de main. Donc, il faut pouvoir trouver le lama ailleurs que dans la rencontre avec quelqu'un. Il y a d'abord le lama de lignée, le lama détenteur d'une transmission, de la bénédiction et qui nous donne les instructions. C'est le point de départ indispensable, mais après ?
Le Lama des textes :
"le lama est beaucoup plus que la personne que nous rencontrons"
Ensuite, il y a un autre lama qui est le lama des instructions, le lama des textes.
Une fois que nous avons reçu les instructions orales, et que nous les avons retenues nous allons pouvoir commencer à les mettre en pratique. Nous allons méditer et essayer d'agir en fonction des instructions reçues, développer l'effort enthousiaste, la générosité, toutes ces qualités qui sont sur le chemin spirituel.
Et puis nous allons arriver à un moment où il va y avoir des doutes, nous allons nous dire : " mais est-ce que c'est bien ainsi qu'il me faut comprendre ce qu'il m'a dit, je ne me souviens pas exactement de ce qu'il a dit " ; c'est à ce moment que les textes deviennent utiles. Nous avons de la chance car aujourd'hui il existe de nombreuses bonnes traductions de textes et d'enseignements. Il s'agit de choisir quelques textes essentiels, conseillés par le lama par exemple, quelques textes auxquels nous pouvons nous référer et c'est en cas de questions, d'interrogations, de doutes, que nous pourrons les consulter. Nous recevons les instructions du lama, les mettons en pratique et donc il y a une certaine expérience qui s'élève. Puis nous la comparons avec les textes qui sont à notre disposition et dont nous sommes certains qu'ils sont authentiques. C'est ce qui est appelé le lama des instructions du bouddha.
Il est important dans la pratique d'intégrer ces trois aspects : recevoir les instructions orales, les mettre en pratique et voir si cela concorde avec ce qui est expliqué dans les différents enseignements. Il y a, à ce stade, plusieurs pièges à éviter.
Il y a tout d'abord le piège du "consommateur de concepts " C'est quand nous nous disons : " ah ! Je vais aller voir dans tel livre, il me semble qu'il y a des informations sur la question que je cherche " et puis nous commençons à lire, une page, deux, trois pages et nous allons complètement perdre la question de départ et nous allons lire et lire. Nous allons être pris de nouveau par cette forme de séduction dans laquelle l'intellect avale juste les concepts. Il n'y a pas un défaut à lire beaucoup pour avoir des informations, mais ici il s'agit de ne pas se perdre quand nous cherchons la réponse à une question, de ne pas se perdre par exemple dans les différents véhicules, les différentes traditions, approches et écoles, sinon, nous ne nous en sortons plus et nous rentrons dans un jeu qui est beaucoup plus intellectuel, voire trop, ou alors, nous sommes séduits par les mots, et particulièrement aujourd'hui, nous nous perdons facilement dans du vocabulaire où nous nous laissons facilement séduire par le vocabulaire.
Par exemple, nous lisons "il faut prendre refuge en les trois joyaux : le bouddha, le dharma et la sangha ". Oui. Puis nous lisons un peu plus loin : " il faut se connecter à l'énergie éveillée, l'éveil, le chemin et le but ". Ah ! Voilà, ces mots nous parlent beaucoup plus et nous nous laissons piéger par le vocabulaire car nous ne prenons pas la peine d'aller au-delà des mots. Quand nous approchons l'enseignement du bouddha et le lama sous l'aspect de ces instructions, il faut prendre le temps de lire et de laisser pénétrer le sens en nous. Je ne sais pas si l'exemple est très heureux mais c'est un peu comme quand nous mangeons un chewing-gum. Si nous mettons juste le chewing-gum en bouche, il n'y a pas grand chose qui va en sortir ; par contre, si nous le mâchons, nous allons en avoir la saveur.
Et il en va de même avec les instructions, il s'agit de lire une phrase, une citation, une histoire et puis s'arrêter et la mâcher, la tourner dans tous les sens, y réfléchir et voir en quoi elle peut être reliée à notre expérience.
Quand le bouddha parle de la mort et de l'impermanence, quel écho, quelle résonance cela a-t-il en moi ? Il dit : " tout le monde va mourir ", évidemment tout le monde va mourir et "on ne sait pas quand ", évidemment nous ne savons pas quand. Bon allez, page suivante ! Et nous passons à autre chose. Mais si nous nous arrêtons un moment et que nous nous disons "tout le monde va mourir, ça veut dire que moi aussi je vais mourir et que je ne sais pas quand et que cela peut effectivement être demain ". Oui ! Et donc si nous commençons à réfléchir comme cela, ce qui paraissait une évidence, à savoir que tout le monde va mourir, devient quelque chose qui a une autre résonance. C'est ce type de réflexion qui donne son sens à la pratique.
Par conséquent, il est important de prendre le temps de digérer l'enseignement, de le mâcher, de l'intégrer. Il faut étudier comme le faisait les yogis du passé : ils prennent une instruction et puis ils la mâchent, jusqu'à en avoir un sens intérieur et à lier l'enseignement à leur propre expérience ; et ils dépassent les mots, ils ne se laissent pas séduire par l'apparence et par le vocabulaire.
Un autre piège rencontré quand nous approchons le lama des instructions, c'est le tri. Nous nous disons : "Ah ! Oui, cette instruction n'est pas mal, la mort et l'impermanence aussi ", nous pouvons le vérifier, " en plus c'est bien ", puis il commence à parler de la réincarnation, de la nature de l'esprit et de sujets comme cela, "ce n'est pas possible " nous disons-nous et nous passons. Nous trions l'information. Je ne dis pas qu'il faille tout avaler tout cru et développer la foi du charbonnier, mais il faut prendre la peine de dépasser nos limites. Ce n'est pas parce que nous ne croyons pas quelque chose ou que nous ne le comprenons pas maintenant que ce n'est pas possible ou que ce n'est pas vrai. Cette lecture-là demande beaucoup d'humilité.
Nous partons de ce que nous sommes maintenant, et nous sommes limités, nous sommes dans la confusion, dans les émotions et l'approche que nous avons du monde, des autres, de l'enseignement et de nous-mêmes est limitée par ces émotions et cette confusion. Cela signifie que tout est à découvrir, qu'il y a des choses que nous ne savons pas et même plus que cela, cela veut dire que la façon dont nous expérimentons et comprenons le monde est limitée. Il faut accepter que ce que je comprends maintenant dans ce qui m'est dit, n'est qu'une compréhension limitée et que beaucoup reste à découvrir et demande à mûrir. D'un côté c'est un peu inconfortable, parce que nous nous disons que finalement ce que nous comprenons est faux, nous comprenons de façon erronée et en même temps c'est extraordinaire, parce que tout reste à découvrir. Le sens de la pratique spirituelle, c'est de trouver le sens de l'enseignement, en nous, dans le flux, dans le flou de la pratique et donc d'accepter ce qui s'élève, même si nous ne sommes pas d'accord, et que nous ne comprenons pas, même si tout cela nous semble des inepties, au moins les accepter et prendre la peine d'y réfléchir peut nous permettre d'aller plus loin dans notre parcours.
Nous avons rencontré le lama de la lignée et dans notre pratique, nous le complétons avec le lama des instructions. Il y a encore un autre lama que nous allons rencontrer.
Dernière édition par le Jeu 03 Jan 2008, 23:28, édité 3 fois
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