Qu'est-ce que la vision juste ?
15 aspects de la vision juste : pernicieux et bénéfique, les 4 sortes d'aliments, le malheur, les 12 maillons de la coproduction conditionnelle, les contaminations.

L'expression "vision juste" était utilisée par plusieurs écoles de pensée, aussi bien par des ignorants que par des savants, autant en relation avec une expérience directe que par simple ouï-dire. Généralement, la vision juste concernait bien les relations de cause à effet, mais elle n'était pas conforme à la réalité parce qu'on croyait à l'existence de la personne. Dans l'enseignement de maître Gotama, la vision juste constituait le premier facteur de l'octuple chemin et conditionnait les sept autres éléments. Il était donc fondamental de bien comprendre ce qu'on entendait par ce terme. C'est ce que détaille ici le vénérable Sâriputta, principal disciple de maître Gotama, et le plus éminent par sa sagacité, à travers 15 aspects justes qui, tous, recoupent les 4 vérités. Le commentaire distingue deux types de vision juste, mondaine quand elle porte sur les relations de cause à effet en conformité avec la réalité, supramondaine quand elle accompagne le chemin immaculé.
Ainsi ai-je entendu.
En ce temps-là le Seigneur séjournait, près de Sâvatthi, dans le parc Anâthapindika du bois Jéta. En cette circonstance, le vénérable Sâriputta s'adressa aux moines :
– Moines !
– Oui, mon ami, lui répondirent les moines.
Et le vénérable Sâriputta leur dit ceci :
– Vision juste, mes amis, on entend parler çà et là de vision juste. Dans quelle mesure, mes amis, un disciple pur acquiert-il la vision juste, a-t-il la vision droite (1) , est-il doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède-t-il au véritable Dhamma ?
– Nous viendrions, même de loin, mon ami, pour bien apprendre de la bouche du vénérable Sâriputta le sens de ces paroles. Il serait bon que le vénérable Sâriputta en révèle le sens : les moines pourraient ainsi entendre son explication et la retenir.
– Alors, mes amis, écoutez et faites bien attention, je vais parler.
– Oui, mon ami, répondirent les moines.
Et le vénérable Sâriputta leur dit ceci :
– Pour autant qu'il reconnaisse avec sagacité ce qui est pernicieux, mes amis, reconnaisse avec sagacité la racine du pernicieux, reconnaisse avec sagacité ce qui est bénéfique et reconnaisse avec sagacité la racine du bénéfique, un disciple pur acquiert la vision juste, a la vision droite, est doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède au véritable Dhamma.
En quoi consiste le pernicieux, mes amis ? En quoi consiste la racine du pernicieux ? En quoi consiste le bénéfique ? En quoi consiste la racine du bénéfique ?
Détruire le souffle vital est pernicieux, mes amis, prendre ce qui n'est pas donné est pernicieux, mal se conduire sexuellement est pernicieux, mentir est pernicieux, parler avec malveillance est pernicieux, parler durement est pernicieux, bavarder sottement est pernicieux, convoiter est pernicieux, haïr est pernicieux, avoir des croyances erronées est pernicieux. Voilà ce qu'on appelle pernicieux.
En quoi consiste la racine du pernicieux, mes amis ? L'attachement est une racine du pernicieux, l'aversion est une racine du pernicieux et la confusion est une racine du pernicieux. Voilà ce qu'on appelle racines du pernicieux.
En quoi consiste le bénéfique, mes amis ? Renoncer à tuer est bénéfique (2) , renoncer à voler est bénéfique, renoncer à l'inconduite sexuelle est bénéfique, renoncer aux paroles malveillantes est bénéfique, renoncer aux paroles dures est bénéfique, renoncer aux bavardages est bénéfique, l'absence de convoitise est bénéfique, l'absence d'aversion est bénéfique et la vision juste est bénéfique. Voilà ce qu'on qualifie de bénéfique.
En quoi consiste la racine du bénéfique, mes amis ? Le détachement est une racine du bénéfique, l'acceptation est une racine du bénéfique, la lucidité est une racine du bénéfique. Voilà, mes amis, ce qu'on appelle racines du bénéfique.
Quand il reconnaît avec sagacité, ce qui est pernicieux, reconnaît avec sagacité la racine du pernicieux, reconnaît avec sagacité ce qui est bénéfique, reconnaît vec sagacité la racine du bénéfique, le disciple pur élimine toute tendance à l'attachement, chasse toute tendance à l'aversion, déracine toute tendance à l'estimation “je suis” qui est une forme de croyance, élimine l'aveuglement, produit la connaissance et met fin au malheur dans la réalité présente. C'est dans cette mesure qu'un disciple pur acquiert la vision juste, a la vision droite, est doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède au véritable Dhamma.
– Excellent, mon ami. Les moines louèrent les paroles du vénérable Sâriputta et s'en réjouirent.
Puis les moines posèrent une autre question au vénérable Sâriputta :
– Y a-t-il, mon ami, un autre moyen qui permette à un disciple pur d'acquérir la vision juste, d'avoir la vision droite, d'être doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et d'accéder au véritable Dhamma ?
– Oui, mes amis, il en existe un autre. Pour autant qu'il reconnaisse avec sagacité les aliments, l'origine des aliments, la fin des aliments et le chemin qui mène à la fin des aliments, un disciple pur acquiert la vision juste, a la vision droite, est doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède au véritable Dhamma.
En quoi consistent les aliments, mes amis ? L'origine des aliments ? La fin des aliments ? Et le chemin qui mène à la fin des aliments ?
Il y a quatre sortes d'aliments, mes amis, pour soutenir les êtres existants et développer ceux qui cherchent naissance. Quelles sont ces quatre sortes ? Ce sont les aliments en bouchées, qu'ils soient grossiers ou raffinés, les contacts (3) en deuxième, les intentions en troisième et les états de conscience en quatrième. Il y a aliments s'il y a soif (désir premier), leur fin résulte de la fin de cette soif, et il y a l'octuple chemin immaculé qui mène à la fin des aliments : vision juste, dessein juste, parole juste, action juste, mode de subsistance juste, effort juste, vigilance juste et concentration juste.
Quand il reconnaît avec sagacité les aliments, l'origine des aliments, la fin des aliments et le chemin qui mène à la fin des aliments, le disciple pur élimine toute tendance à l'attachement, chasse toute tendance à l'aversion, déracine toute tendance à l'estimation “je suis” qui est une forme de croyance, élimine l'aveuglement, produit la connaissance et met fin au malheur dans la réalité présente. C'est dans cette mesure qu'un disciple pur acquiert la vision juste, a la vision droite, est doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède au véritable Dhamma.
– Excellent, mon ami. Les moines louèrent les paroles du vénérable Sâriputta et s'en réjouirent.
Puis les moines posèrent une autre question au vénérable Sâriputta :
– Y a-t-il, mon ami, un autre moyen qui permette à un disciple pur d'acquérir la vision juste... ?
– Oui, mes amis, il en existe un autre. Pour autant qu'il reconnaisse avec sagacité le malheur, la source du malheur, l'arrêt du malheur et le chemin qui mène à l'arrêt du malheur, un disciple pur acquiert la vision juste...
En quoi consiste le malheur, mes amis ? La source du malheur ? L'arrêt du malheur ? Et le chemin qui y mène ?
La naissance est un malheur, le vieillissement est un malheur, la maladie est un malheur, la mort est un malheur, le chagrin, les lamentations, la douleur, l'insatisfaction et le désespoir sont des malheurs. En résumé, les cinq ensembles-saisis forment le malheur. Voilà ce qu'on appelle malheur.
En quoi consiste la source du malheur ? La soif qui cause une nouvelle existence, s'accompagne de jouissance passionnée et procure du plaisir çà et là – à savoir la soif de plaisirs sensoriels, la soif d'existence et la soif de disparition –, voilà ce qu'on appelle source du malheur.
En quoi consiste l'arrêt du malheur ? Arrêt par détachement total, renoncement, lâcher-prise, libération et non-adhérence, voilà ce qu'est l'arrêt du malheur.
En quoi consiste le chemin qui mène à l'arrêt du malheur ? Le chemin immaculé qui mène à l'arrêt du malheur a huit composantes : vision juste, dessein juste, parole juste, action juste, mode de subsistance juste, effort juste, vigilance juste et concentration juste.
Quand il reconnaît avec sagacité le malheur, la source du malheur, l'arrêt du malheur et le chemin qui y mène, le disciple pur élimine toute tendance à l'attachement... C'est dans cette mesure qu'un disciple pur acquiert la vision juste...
– Excellent, mon ami. Les moines louèrent les paroles du vénérable Sâriputta et s'en réjouirent.
15 aspects de la vision juste : pernicieux et bénéfique, les 4 sortes d'aliments, le malheur, les 12 maillons de la coproduction conditionnelle, les contaminations.

L'expression "vision juste" était utilisée par plusieurs écoles de pensée, aussi bien par des ignorants que par des savants, autant en relation avec une expérience directe que par simple ouï-dire. Généralement, la vision juste concernait bien les relations de cause à effet, mais elle n'était pas conforme à la réalité parce qu'on croyait à l'existence de la personne. Dans l'enseignement de maître Gotama, la vision juste constituait le premier facteur de l'octuple chemin et conditionnait les sept autres éléments. Il était donc fondamental de bien comprendre ce qu'on entendait par ce terme. C'est ce que détaille ici le vénérable Sâriputta, principal disciple de maître Gotama, et le plus éminent par sa sagacité, à travers 15 aspects justes qui, tous, recoupent les 4 vérités. Le commentaire distingue deux types de vision juste, mondaine quand elle porte sur les relations de cause à effet en conformité avec la réalité, supramondaine quand elle accompagne le chemin immaculé.
Ainsi ai-je entendu.
En ce temps-là le Seigneur séjournait, près de Sâvatthi, dans le parc Anâthapindika du bois Jéta. En cette circonstance, le vénérable Sâriputta s'adressa aux moines :
– Moines !
– Oui, mon ami, lui répondirent les moines.
Et le vénérable Sâriputta leur dit ceci :
– Vision juste, mes amis, on entend parler çà et là de vision juste. Dans quelle mesure, mes amis, un disciple pur acquiert-il la vision juste, a-t-il la vision droite (1) , est-il doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède-t-il au véritable Dhamma ?
– Nous viendrions, même de loin, mon ami, pour bien apprendre de la bouche du vénérable Sâriputta le sens de ces paroles. Il serait bon que le vénérable Sâriputta en révèle le sens : les moines pourraient ainsi entendre son explication et la retenir.
– Alors, mes amis, écoutez et faites bien attention, je vais parler.
– Oui, mon ami, répondirent les moines.
Et le vénérable Sâriputta leur dit ceci :
– Pour autant qu'il reconnaisse avec sagacité ce qui est pernicieux, mes amis, reconnaisse avec sagacité la racine du pernicieux, reconnaisse avec sagacité ce qui est bénéfique et reconnaisse avec sagacité la racine du bénéfique, un disciple pur acquiert la vision juste, a la vision droite, est doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède au véritable Dhamma.
En quoi consiste le pernicieux, mes amis ? En quoi consiste la racine du pernicieux ? En quoi consiste le bénéfique ? En quoi consiste la racine du bénéfique ?
Détruire le souffle vital est pernicieux, mes amis, prendre ce qui n'est pas donné est pernicieux, mal se conduire sexuellement est pernicieux, mentir est pernicieux, parler avec malveillance est pernicieux, parler durement est pernicieux, bavarder sottement est pernicieux, convoiter est pernicieux, haïr est pernicieux, avoir des croyances erronées est pernicieux. Voilà ce qu'on appelle pernicieux.
En quoi consiste la racine du pernicieux, mes amis ? L'attachement est une racine du pernicieux, l'aversion est une racine du pernicieux et la confusion est une racine du pernicieux. Voilà ce qu'on appelle racines du pernicieux.
En quoi consiste le bénéfique, mes amis ? Renoncer à tuer est bénéfique (2) , renoncer à voler est bénéfique, renoncer à l'inconduite sexuelle est bénéfique, renoncer aux paroles malveillantes est bénéfique, renoncer aux paroles dures est bénéfique, renoncer aux bavardages est bénéfique, l'absence de convoitise est bénéfique, l'absence d'aversion est bénéfique et la vision juste est bénéfique. Voilà ce qu'on qualifie de bénéfique.
En quoi consiste la racine du bénéfique, mes amis ? Le détachement est une racine du bénéfique, l'acceptation est une racine du bénéfique, la lucidité est une racine du bénéfique. Voilà, mes amis, ce qu'on appelle racines du bénéfique.
Quand il reconnaît avec sagacité, ce qui est pernicieux, reconnaît avec sagacité la racine du pernicieux, reconnaît avec sagacité ce qui est bénéfique, reconnaît vec sagacité la racine du bénéfique, le disciple pur élimine toute tendance à l'attachement, chasse toute tendance à l'aversion, déracine toute tendance à l'estimation “je suis” qui est une forme de croyance, élimine l'aveuglement, produit la connaissance et met fin au malheur dans la réalité présente. C'est dans cette mesure qu'un disciple pur acquiert la vision juste, a la vision droite, est doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède au véritable Dhamma.
– Excellent, mon ami. Les moines louèrent les paroles du vénérable Sâriputta et s'en réjouirent.
Puis les moines posèrent une autre question au vénérable Sâriputta :
– Y a-t-il, mon ami, un autre moyen qui permette à un disciple pur d'acquérir la vision juste, d'avoir la vision droite, d'être doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et d'accéder au véritable Dhamma ?
– Oui, mes amis, il en existe un autre. Pour autant qu'il reconnaisse avec sagacité les aliments, l'origine des aliments, la fin des aliments et le chemin qui mène à la fin des aliments, un disciple pur acquiert la vision juste, a la vision droite, est doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède au véritable Dhamma.
En quoi consistent les aliments, mes amis ? L'origine des aliments ? La fin des aliments ? Et le chemin qui mène à la fin des aliments ?
Il y a quatre sortes d'aliments, mes amis, pour soutenir les êtres existants et développer ceux qui cherchent naissance. Quelles sont ces quatre sortes ? Ce sont les aliments en bouchées, qu'ils soient grossiers ou raffinés, les contacts (3) en deuxième, les intentions en troisième et les états de conscience en quatrième. Il y a aliments s'il y a soif (désir premier), leur fin résulte de la fin de cette soif, et il y a l'octuple chemin immaculé qui mène à la fin des aliments : vision juste, dessein juste, parole juste, action juste, mode de subsistance juste, effort juste, vigilance juste et concentration juste.
Quand il reconnaît avec sagacité les aliments, l'origine des aliments, la fin des aliments et le chemin qui mène à la fin des aliments, le disciple pur élimine toute tendance à l'attachement, chasse toute tendance à l'aversion, déracine toute tendance à l'estimation “je suis” qui est une forme de croyance, élimine l'aveuglement, produit la connaissance et met fin au malheur dans la réalité présente. C'est dans cette mesure qu'un disciple pur acquiert la vision juste, a la vision droite, est doué d'une extrême confiance dans le Dhamma et accède au véritable Dhamma.
– Excellent, mon ami. Les moines louèrent les paroles du vénérable Sâriputta et s'en réjouirent.
Puis les moines posèrent une autre question au vénérable Sâriputta :
– Y a-t-il, mon ami, un autre moyen qui permette à un disciple pur d'acquérir la vision juste... ?
– Oui, mes amis, il en existe un autre. Pour autant qu'il reconnaisse avec sagacité le malheur, la source du malheur, l'arrêt du malheur et le chemin qui mène à l'arrêt du malheur, un disciple pur acquiert la vision juste...
En quoi consiste le malheur, mes amis ? La source du malheur ? L'arrêt du malheur ? Et le chemin qui y mène ?
La naissance est un malheur, le vieillissement est un malheur, la maladie est un malheur, la mort est un malheur, le chagrin, les lamentations, la douleur, l'insatisfaction et le désespoir sont des malheurs. En résumé, les cinq ensembles-saisis forment le malheur. Voilà ce qu'on appelle malheur.
En quoi consiste la source du malheur ? La soif qui cause une nouvelle existence, s'accompagne de jouissance passionnée et procure du plaisir çà et là – à savoir la soif de plaisirs sensoriels, la soif d'existence et la soif de disparition –, voilà ce qu'on appelle source du malheur.
En quoi consiste l'arrêt du malheur ? Arrêt par détachement total, renoncement, lâcher-prise, libération et non-adhérence, voilà ce qu'est l'arrêt du malheur.
En quoi consiste le chemin qui mène à l'arrêt du malheur ? Le chemin immaculé qui mène à l'arrêt du malheur a huit composantes : vision juste, dessein juste, parole juste, action juste, mode de subsistance juste, effort juste, vigilance juste et concentration juste.
Quand il reconnaît avec sagacité le malheur, la source du malheur, l'arrêt du malheur et le chemin qui y mène, le disciple pur élimine toute tendance à l'attachement... C'est dans cette mesure qu'un disciple pur acquiert la vision juste...
– Excellent, mon ami. Les moines louèrent les paroles du vénérable Sâriputta et s'en réjouirent.
Dernière édition par karma dam tcheu dadreun le Lun 11 Aoû 2008, 22:41, édité 1 fois
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