Célébration de l'Inconnaissable
avec Eric Baret

Chapitre 11
(Début)
Dans le silence de l’intimité
Nos réunions ne se situent pas dans un contexte de spiritualité, d'enseignement, de compréhension, car tous ces éléments participent des voies progressives.
Les événements de la vie sont la voie, laquelle apparaît et disparaît dans le même instant. Il n’y a aucune place pour un accomplissement, pour une appropriation.
Dans la mesure où elle n’attend aucune réponse informative, toute question est bienvenue.
Est-il possible de discerner les moments propices pour changer une situation, quand on pense pouvoir l’améliorer, ou faut-il laisser faire, laisser venir sans agir. Peut-on travailler là-dessus pour sentir ça ?
Vous pouvez vous rendre compte qu'agir ou vous rendre disponible à la situation n’est pas de votre ressort. Parfois vous aurez la capacité d'écouter une situation : vous vous trouverez alors libre d'agir ou non, la situation sera l'action. D'autres fois vous ne pourrez que constater votre manque d'écoute, le commentaire idéologique que vous surimposez à la situation : vous prétendez savoir ce qui est mieux, cette prétention est une action.
Vous ne pouvez pas décider de réagir ou d'écouter. La vie ne vous accorde pas semblable liberté. Constatez les moments d'écoute comme les moments de réaction.
Il n'y a pas une autonomie personnelle qui nous ferait agir ou ne pas agir : ça, c’est un conte de fées.
Je suis interpellé par un mot que vous avez prononcé plus tôt : « non-accomplissement. » Pourrait-on dire que l'on peut passer sa vie à réussir à échouer et que cela serait aussi une voie d'accomplissement… parce que ce non-accomplissement laisse un goût amer et amène à se poser beaucoup de questions sur le sens de sa vie ?
Vous pouvez passer votre vie à vous imaginer réussir ou rater. Mais vous ne pouvez rien rater ni réussir : c'est une idéologie.
Un jour vous serez las d'imaginer. À cet instant, vos réussites et vos échecs imaginaires, vos fantasmes de réussites et d’échecs futurs s’élimineront aussi. Voilà l’accomplissement, il n'y en a pas d'autre. C'est cela qu'il faut laisser s'installer en nous.
Pas de place pour un regret, un espoir ou une amertume : tout cela est une forme d'agitation. Restez tranquille, clair. La vie se déroule en vous, vous n'êtes pas dans la vie.
S'il n'y a pas d'accomplissement, il n'y a pas d'évolution non plus ?
Il n'y a pas d'évolution psychologique. Le vieillard n'est pas plus que l'enfant : c'est une autre expression de la vie. Il n'est pas moins non plus lorsqu'il perd sa force, son intelligence, sa mémoire et sa santé.
Quand le vieillard perd pied, qu’il perd la mémoire, il est moins conscient, non ?
Conscience relative, car il n'était pas conscient. Il s'est imaginé réussir et rater des choses – ce qui est de l'inconscience. Il s'est imaginé avoir un nom, décider de ses actes… Il s'est imaginé toute sa vie. Ce n'est pas parce qu'il oublie cet imaginaire qu'il y a un moins. Il retrouve quelque chose d’essentiel, sans mémoire, sans appropriation.
Il est bon d’observer combien la vue d’un vieillard qui devient sénile nous percute. Pourquoi est-ce si difficile ? Qu'est-ce qui m’effraie ? Je suis remis en question. Je m'aperçois que je vais être comme ça et que je ne vais plus pouvoir prétendre – prétendre ma réussite, mes échecs. Je vais être obligé d'abdiquer ma chère vie, ma chère identification à moi-même. C'est cela qui m’est pénible.
Laissons le vieillard tranquille de nos projections, de nos peurs. Le vieillard va très bien : c'est nous qui avons peur. Un saumon en fin de vie n'est pas moins que dans sa splendeur. La dégénérescence, sur un certain plan, fait partie de notre processus biologique. Il y a autant de beauté dans quelqu'un qui meurt que dans quelqu'un qui naît.
S'il n'y a pas d'accomplissement, à quoi me sert ma conscience ?
La conscience ne vous sert à rien. Ce n'est pas un objet destiné à vous stimuler psychologiquement. Ce n'est pas une voiture rouge, un mari ou un chien. Elle n'est pas là pour servir : elle est votre émotion fondamentale, elle vous pousse à vous chercher constamment à travers les situations.
« Conscience » : ce mot est mal compris. En Orient on parle de « conscience sans objet ». Il n'y a pas à « être conscient ».
La conscience des gens qui veulent mourir « consciemment » n'a aucune importance. Ce qui se réalise à l’instant de la mort est d’un tout autre ordre. Mourir consciemment dépend de la capacité fonctionnelle de votre cerveau. Si vous recevez un coup de matraque sur le crâne, vous ne mourrez pas consciemment et il ne vous manquera rien.
La conscience de quelque chose est une conscience fonctionnelle. C'est comme une jambe pour marcher. Cette conscience-là n'a aucune substance, c'est une fonction. La Conscience, c'est autre chose.
Si j'arrive à être en accord avec la conscience, puis-je atteindre l'essence ?
Essayez un instant d'être en désaccord avec votre conscience…
Que pourriez-vous être d’autre que votre conscience ? Vous n'êtes pas un zèbre rouge situé à l'extérieur de la conscience, pour vous mettre en accord avec elle. Cette conscience, c'est vous-même quand vous arrêtez de chercher quoi que ce soit, quand vous cessez de prétendre avoir le pouvoir d’être en accord ou en désaccord.
Dans votre silence, entre deux pensées, deux perceptions, dans le sommeil profond et dans tous les temps – parce que le temps apparaît dans la conscience -, votre vie est en accord parfait avec la conscience.
Supprimez tout commentaire idéologique sur votre vie. Votre savoir sur la vie vous empêche de voir combien elle est parfaite. Il n'y a rien à y changer. Votre vie change, c'est la vie. Vous n'avez pas à vous mettre en accord avec quoi que ce soit. Sinon vous allez toujours vous sentir en désaccord.
Vouloir être en accord est une peur. Peur de quoi ? La cause de la peur est imaginaire. À un moment donné on cesse de trembler. Ce qui se présente est l'accord. Quand je ne le qualifie plus de positif ou de négatif, de réussite ou d'échec, ce qui se présente n'est autre que moi-même, que ma résonance : là, il y a accord véritable. Ce n'est pas un accord d'un sujet vers un objet, c'est un accord d'unité, sans séparation. Un accord avec votre corps lorsqu'il souffre ou fonctionne, avec la vie dans ce qu'elle vous offre. Sans demande d'accomplir, de recevoir quoi que ce soit.
C'est extraordinaire d'écouter. Cela transcende ce que l'on écoute. L'accord profond de la vie consiste à écouter.
Être un instant sans demande, sans attente, est la chose la plus simple qui soit. Cela vous lie avec tous les êtres, tous les mondes. Là, il y a symbiose.
Si vous essayez de vous mettre en accord avec quoi que ce soit, vous vous mettez en accord avec une idéologie : si vous êtes musulmane vous vous mettez en accord avec la charia ou votre tarika, si vous êtes bouddhiste vous vous mettez en accord avec le Sangha ou le dharma ; avec vos concepts si vous êtes athée, etc. Cet accord-là a peu de valeur.
Il faut se mettre en accord avec ce qui se présente dans l'instant. Mais cela, vous ne pouvez pas le faire. C'est une grâce qui vous appelle et que vous refusez à chaque instant parce que vous voulez être en accord avec l'instant d'après… Voir le mécanisme.
L'émotion qui surgit en moi, c'est avec elle que je dois être en accord. Il n'y a rien d'autre.
..... suite plus bas ......
avec Eric Baret

Chapitre 11
(Début)
Dans le silence de l’intimité
Nos réunions ne se situent pas dans un contexte de spiritualité, d'enseignement, de compréhension, car tous ces éléments participent des voies progressives.
Les événements de la vie sont la voie, laquelle apparaît et disparaît dans le même instant. Il n’y a aucune place pour un accomplissement, pour une appropriation.
Dans la mesure où elle n’attend aucune réponse informative, toute question est bienvenue.
Est-il possible de discerner les moments propices pour changer une situation, quand on pense pouvoir l’améliorer, ou faut-il laisser faire, laisser venir sans agir. Peut-on travailler là-dessus pour sentir ça ?
Vous pouvez vous rendre compte qu'agir ou vous rendre disponible à la situation n’est pas de votre ressort. Parfois vous aurez la capacité d'écouter une situation : vous vous trouverez alors libre d'agir ou non, la situation sera l'action. D'autres fois vous ne pourrez que constater votre manque d'écoute, le commentaire idéologique que vous surimposez à la situation : vous prétendez savoir ce qui est mieux, cette prétention est une action.
Vous ne pouvez pas décider de réagir ou d'écouter. La vie ne vous accorde pas semblable liberté. Constatez les moments d'écoute comme les moments de réaction.
Il n'y a pas une autonomie personnelle qui nous ferait agir ou ne pas agir : ça, c’est un conte de fées.
Je suis interpellé par un mot que vous avez prononcé plus tôt : « non-accomplissement. » Pourrait-on dire que l'on peut passer sa vie à réussir à échouer et que cela serait aussi une voie d'accomplissement… parce que ce non-accomplissement laisse un goût amer et amène à se poser beaucoup de questions sur le sens de sa vie ?
Vous pouvez passer votre vie à vous imaginer réussir ou rater. Mais vous ne pouvez rien rater ni réussir : c'est une idéologie.
Un jour vous serez las d'imaginer. À cet instant, vos réussites et vos échecs imaginaires, vos fantasmes de réussites et d’échecs futurs s’élimineront aussi. Voilà l’accomplissement, il n'y en a pas d'autre. C'est cela qu'il faut laisser s'installer en nous.
Pas de place pour un regret, un espoir ou une amertume : tout cela est une forme d'agitation. Restez tranquille, clair. La vie se déroule en vous, vous n'êtes pas dans la vie.
S'il n'y a pas d'accomplissement, il n'y a pas d'évolution non plus ?
Il n'y a pas d'évolution psychologique. Le vieillard n'est pas plus que l'enfant : c'est une autre expression de la vie. Il n'est pas moins non plus lorsqu'il perd sa force, son intelligence, sa mémoire et sa santé.
Quand le vieillard perd pied, qu’il perd la mémoire, il est moins conscient, non ?
Conscience relative, car il n'était pas conscient. Il s'est imaginé réussir et rater des choses – ce qui est de l'inconscience. Il s'est imaginé avoir un nom, décider de ses actes… Il s'est imaginé toute sa vie. Ce n'est pas parce qu'il oublie cet imaginaire qu'il y a un moins. Il retrouve quelque chose d’essentiel, sans mémoire, sans appropriation.
Il est bon d’observer combien la vue d’un vieillard qui devient sénile nous percute. Pourquoi est-ce si difficile ? Qu'est-ce qui m’effraie ? Je suis remis en question. Je m'aperçois que je vais être comme ça et que je ne vais plus pouvoir prétendre – prétendre ma réussite, mes échecs. Je vais être obligé d'abdiquer ma chère vie, ma chère identification à moi-même. C'est cela qui m’est pénible.
Laissons le vieillard tranquille de nos projections, de nos peurs. Le vieillard va très bien : c'est nous qui avons peur. Un saumon en fin de vie n'est pas moins que dans sa splendeur. La dégénérescence, sur un certain plan, fait partie de notre processus biologique. Il y a autant de beauté dans quelqu'un qui meurt que dans quelqu'un qui naît.
S'il n'y a pas d'accomplissement, à quoi me sert ma conscience ?
La conscience ne vous sert à rien. Ce n'est pas un objet destiné à vous stimuler psychologiquement. Ce n'est pas une voiture rouge, un mari ou un chien. Elle n'est pas là pour servir : elle est votre émotion fondamentale, elle vous pousse à vous chercher constamment à travers les situations.
« Conscience » : ce mot est mal compris. En Orient on parle de « conscience sans objet ». Il n'y a pas à « être conscient ».
La conscience des gens qui veulent mourir « consciemment » n'a aucune importance. Ce qui se réalise à l’instant de la mort est d’un tout autre ordre. Mourir consciemment dépend de la capacité fonctionnelle de votre cerveau. Si vous recevez un coup de matraque sur le crâne, vous ne mourrez pas consciemment et il ne vous manquera rien.
La conscience de quelque chose est une conscience fonctionnelle. C'est comme une jambe pour marcher. Cette conscience-là n'a aucune substance, c'est une fonction. La Conscience, c'est autre chose.
Si j'arrive à être en accord avec la conscience, puis-je atteindre l'essence ?
Essayez un instant d'être en désaccord avec votre conscience…
Que pourriez-vous être d’autre que votre conscience ? Vous n'êtes pas un zèbre rouge situé à l'extérieur de la conscience, pour vous mettre en accord avec elle. Cette conscience, c'est vous-même quand vous arrêtez de chercher quoi que ce soit, quand vous cessez de prétendre avoir le pouvoir d’être en accord ou en désaccord.
Dans votre silence, entre deux pensées, deux perceptions, dans le sommeil profond et dans tous les temps – parce que le temps apparaît dans la conscience -, votre vie est en accord parfait avec la conscience.
Supprimez tout commentaire idéologique sur votre vie. Votre savoir sur la vie vous empêche de voir combien elle est parfaite. Il n'y a rien à y changer. Votre vie change, c'est la vie. Vous n'avez pas à vous mettre en accord avec quoi que ce soit. Sinon vous allez toujours vous sentir en désaccord.
Vouloir être en accord est une peur. Peur de quoi ? La cause de la peur est imaginaire. À un moment donné on cesse de trembler. Ce qui se présente est l'accord. Quand je ne le qualifie plus de positif ou de négatif, de réussite ou d'échec, ce qui se présente n'est autre que moi-même, que ma résonance : là, il y a accord véritable. Ce n'est pas un accord d'un sujet vers un objet, c'est un accord d'unité, sans séparation. Un accord avec votre corps lorsqu'il souffre ou fonctionne, avec la vie dans ce qu'elle vous offre. Sans demande d'accomplir, de recevoir quoi que ce soit.
C'est extraordinaire d'écouter. Cela transcende ce que l'on écoute. L'accord profond de la vie consiste à écouter.
Être un instant sans demande, sans attente, est la chose la plus simple qui soit. Cela vous lie avec tous les êtres, tous les mondes. Là, il y a symbiose.
Si vous essayez de vous mettre en accord avec quoi que ce soit, vous vous mettez en accord avec une idéologie : si vous êtes musulmane vous vous mettez en accord avec la charia ou votre tarika, si vous êtes bouddhiste vous vous mettez en accord avec le Sangha ou le dharma ; avec vos concepts si vous êtes athée, etc. Cet accord-là a peu de valeur.
Il faut se mettre en accord avec ce qui se présente dans l'instant. Mais cela, vous ne pouvez pas le faire. C'est une grâce qui vous appelle et que vous refusez à chaque instant parce que vous voulez être en accord avec l'instant d'après… Voir le mécanisme.
L'émotion qui surgit en moi, c'est avec elle que je dois être en accord. Il n'y a rien d'autre.
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