Bouddhisme > Intégration > Art de vivre > Accompagnement spirituel
Itinéraire d’un médecin bouddhiste hospitalier
Par Dr. Daniel Chevassut
Le Dr. Daniel Chevassut, médecin attaché à l¹Hôpital Nord de Marseille a créé la première et unique consultation de la souffrance en France. Il retrace pour nous le parcours qui lui a permis d’intégrer dans sa pratique médicale les valeurs spirituelles et humaines de l’enseignement du Bouddha.
Quel cheminement personnel et professionnel vous a amené à ouvrir une consultation de la souffrance à l¹Hôpital Nord de Marseille ?
Dr Chevassut : Plusieurs facteurs y ont contribués. Au niveau professionnel, je me suis beaucoup intéressé à la médecine d¹urgence. Et ce, depuis le tout début de mes stages hospitaliers. J¹ai donc largement fréquenté la souffrance, l¹angoisse, le stress et tout particulièrement la mort, dans plusieurs de ses aspects. Les choses ne se passaient pas trop mal d¹un point de vue technique, mais sur le plan humain et relationnel, j¹ai toujours eu le sentiment que l¹on pouvait faire mieux. Mais quoi ? A l¹époque, ce n¹était pas très clair dans ma tête.
Plus tard, à la suite d¹évènements personnels douloureux, j¹ai entamé une recherche intérieure sérieuse et ce fut la rencontre, d¹abord avec l¹hindouisme, puis avec le bouddhisme. Tout l¹enseignement du Bouddha a comme objectif la libération de la souffrance et, finalement, cet enseignement s¹est avéré être le prolongement naturel de mes études médicales. Puis, à travers l¹étude et la pratique méditative auprès de maîtres qualifiés, j¹ai réalisé l¹importance de l¹esprit, la conscience, ainsi que la négation quasi totale de cette dimension dans notre médecine moderne. Cela confirmait ce que je pensais, mais, cette fois-ci, avec des arguments.
Ce projet est aussi la réintégration de la conscience dans l¹art de soigner. Il y a, du reste, un aspect éthique et déontologique, dans cette démarche. Il est manifeste que plus de conscience favorise une plus grande aptitude à gérer les situations rencontrées.
Par ailleurs, l¹expérience vécue dans le cadre des soins palliatifs a largement confirmé cette vision, car l¹intérêt de cette démarche ne réside pas uniquement dans le fait de s¹occuper correctement des gens qui finissent leur vie - ce qui est déjà tout à fait remarquable - mais aussi dans la possibilité qu¹elle offre d¹apprendre à être plus humain, à travers une prise en charge globale de la personne.
C¹est aussi le cheminement d¹une administration hospitalière et de collègues chirurgiens, médecins, infirmiers, qui me font confiance. Je leurs dois beaucoup dans la possibilité qu¹ils m¹offrent de faire ce travail.
Quelle est votre compréhension de la nature de la méditation et quelle place lui accordez-vous dans votre approche thérapeutique ?
Dr Chevassut : Il y a plusieurs formes de méditation, ayant l’objectif ultime commun d¹un éveil à une Réalité plus profonde.
Par exemple ( j¹utiliserai la terminologie propre au bouddhisme tibétain, que je connais mieux ), la méditation de shine* est destinée à établir dans un premier temps un calme mental. Concrètement, cela signifie que l¹on devient d¹abord plus conscient de ses propres pensées et de ses états d¹âme, puis, dans un deuxième temps, on devient capable de moins ou de ne plus s¹identifier à ces éléments. On expérimente alors, avec l¹habitude de la pratique, une conscience plus libre, plus vaste et un état d¹esprit plus serein. Tout cela peut encore être approfondi par d¹autres types de méditation.
D¹un point de vue thérapeutique, l¹efficacité de cette pratique de base est déjà remarquable. Comprenons bien d¹ailleurs, qu¹il ne s¹agit pas de créer une sorte de psychothérapie bouddhique, mais plutôt de voir en quoi l¹enseignement du Bouddha peut nous être utile dans l¹art de soigner et dans notre aptitude à prendre soin de l¹autre.
Du coté du thérapeute, l¹état de plus grand calme et de plus grande clarté, permet déjà d¹être plus conscient de ses propres projections dans le cadre de la relation d¹aide et surtout, de ne pas investir dans ses projections ( Jung disait qu¹il était important d¹effectuer le retrait de la projection ). Cet état méditatif permet aussi de mieux sentir la réalité de celui qui est en face de nous. C¹est très précieux, car les patients ne verbalisent pas toujours d¹emblée ce qui les fait souffrir. C¹est ce que j¹appelle sentir l¹épine irritative de la personne, ce qui la blesse vraiment. On peut ainsi les aider à mettre des mots, d¹une manière plus précise, sur ce qu¹ils ressentent, tout en leur laissant la liberté de dire ou de ne pas dire, et bien souvent de trouver eux-mêmes la solution, lorsque c¹est possible. Il y a ainsi un travail de clarification et de libération qui se fait avec une réelle douceur, douceur qui est thérapeutique en elle-même. Cette douceur est également le fruit de l¹expérience méditative à travers la bonté fondamentale, dont parlent les maîtres tibétains, bonté qui s¹exprime également sous forme de compassion.
Paradoxalement, le fait de n¹être ni psychologue, ni psychiatre, mais d¹être plutôt considéré comme un médecin du stress, un médecin psycho-somaticien, facilite la rencontre avec des patients que la personnalité du psychologue ou du psychiatre effraie. Par conséquent, lorsque cela me paraît nécessaire, mon rôle se limite à faire prendre conscience à la personne qu¹il serait bien qu¹elle consulte un psychiatre ou qu¹elle voit un psychologue. Lorsque je perçois que le dysfonctionnement mental est important et qu¹il y a besoin d¹un traitement médical et/ou d¹une psychothérapie.
Dans d¹autres cas, en me basant sur ce qui est ressenti face à cette personne et à ce qu¹elle exprime, je laisse venir les mots ou exprimer l¹attitude qui semble juste (ajustée), dans un climat d¹empathie, et j¹observe ce qui se passe chez le patient. Cette prise de conscience de la réalité de la situation et de sa propre réalité, en douceur et avec bonté, est déjà un soin en soi.
Selon vous, comment est-il possible d¹intégrer la dimension spirituelle à la médecine aujourd’hui ?
Dr Chevassut : La conscience, la dimension spirituelle font partie intégrante de l¹être humain, et il semble logique, sensé et, même, éthique et déontologique, d¹en tenir compte dans la démarche médicale. Un jour, lors d¹une conférence où je tenais ces propos, un confrère m¹a fait cette réflexion :
« Mais alors, cela voudrait-il dire que nous nous sommes trompés sur toute la ligne ? » Ma réponse a été la suivante : « Non, nous ne nous sommes pas trompés, mais nous avons juste oublié un paramètre important. » Il y a de multiples raisons à cet oubli, mais ce n¹est pas notre propos d¹en parler maintenant.
On sait par expérience que lorsque la dimension spirituelle d¹un être humain se développe, les qualités, telles que l¹amour, la compassion, la tolérance, le respect, la patience, etc... ont tendance à s¹exprimer spontanément. Généralement, en l¹absence d¹un tel développement, on est obligé de fournir un certain effort pour quelles se manifestent, surtout vis à vis de personnes qui nous agressent.
Mais avec l¹aide d¹une pratique spirituelle authentique et profonde, elles émergent beaucoup plus naturellement. Avec plus de facilité. Il y a également une plus grande paix intérieure. Ceci a des conséquences positives, non seulement sur la santé de l¹individu, mais également sur tout l¹environnement social. Par exemple, nous recevons, de temps en temps, dans notre Hôpital des jeunes qui ont été blessés lors de rixes, avec parfois des séquelles graves, qui entraîneront un handicap toute la vie. Dans le contexte social difficile que nous connaissons actuellement, je crois que la prise en compte de cette dimension pourrait avoir un effet bénéfique. C¹est même un problème de santé publique et les personnes qui s¹intéressent à la politique devraient y prêter une plus grande attention. Dans les années à venir, il n¹est pas impossible que l¹Hôpital devienne un facteur important de cohérence sociale.
* shine ou en sanskrit, shamatha, méditation de l’esprit centré intérieurement qui se stabilise dans la paix.
Le 2 novembre 2004 au centre bouddhiste Kalachakra de Paris, une rencontre est organisée avec le Dr Chevassut, sur le thème Médecine et enseignement du Bouddha. Réservations et renseignements :
Centre Kalachakra, 5 passage Delessert, 75010 Paris, tel 01 40 05 02 22.
Dr. Daniel Chevassut
Itinéraire d’un médecin bouddhiste hospitalier
Par Dr. Daniel Chevassut
Le Dr. Daniel Chevassut, médecin attaché à l¹Hôpital Nord de Marseille a créé la première et unique consultation de la souffrance en France. Il retrace pour nous le parcours qui lui a permis d’intégrer dans sa pratique médicale les valeurs spirituelles et humaines de l’enseignement du Bouddha.
Quel cheminement personnel et professionnel vous a amené à ouvrir une consultation de la souffrance à l¹Hôpital Nord de Marseille ?
Dr Chevassut : Plusieurs facteurs y ont contribués. Au niveau professionnel, je me suis beaucoup intéressé à la médecine d¹urgence. Et ce, depuis le tout début de mes stages hospitaliers. J¹ai donc largement fréquenté la souffrance, l¹angoisse, le stress et tout particulièrement la mort, dans plusieurs de ses aspects. Les choses ne se passaient pas trop mal d¹un point de vue technique, mais sur le plan humain et relationnel, j¹ai toujours eu le sentiment que l¹on pouvait faire mieux. Mais quoi ? A l¹époque, ce n¹était pas très clair dans ma tête.
Plus tard, à la suite d¹évènements personnels douloureux, j¹ai entamé une recherche intérieure sérieuse et ce fut la rencontre, d¹abord avec l¹hindouisme, puis avec le bouddhisme. Tout l¹enseignement du Bouddha a comme objectif la libération de la souffrance et, finalement, cet enseignement s¹est avéré être le prolongement naturel de mes études médicales. Puis, à travers l¹étude et la pratique méditative auprès de maîtres qualifiés, j¹ai réalisé l¹importance de l¹esprit, la conscience, ainsi que la négation quasi totale de cette dimension dans notre médecine moderne. Cela confirmait ce que je pensais, mais, cette fois-ci, avec des arguments.
Ce projet est aussi la réintégration de la conscience dans l¹art de soigner. Il y a, du reste, un aspect éthique et déontologique, dans cette démarche. Il est manifeste que plus de conscience favorise une plus grande aptitude à gérer les situations rencontrées.
Par ailleurs, l¹expérience vécue dans le cadre des soins palliatifs a largement confirmé cette vision, car l¹intérêt de cette démarche ne réside pas uniquement dans le fait de s¹occuper correctement des gens qui finissent leur vie - ce qui est déjà tout à fait remarquable - mais aussi dans la possibilité qu¹elle offre d¹apprendre à être plus humain, à travers une prise en charge globale de la personne.
C¹est aussi le cheminement d¹une administration hospitalière et de collègues chirurgiens, médecins, infirmiers, qui me font confiance. Je leurs dois beaucoup dans la possibilité qu¹ils m¹offrent de faire ce travail.
Quelle est votre compréhension de la nature de la méditation et quelle place lui accordez-vous dans votre approche thérapeutique ?
Dr Chevassut : Il y a plusieurs formes de méditation, ayant l’objectif ultime commun d¹un éveil à une Réalité plus profonde.
Par exemple ( j¹utiliserai la terminologie propre au bouddhisme tibétain, que je connais mieux ), la méditation de shine* est destinée à établir dans un premier temps un calme mental. Concrètement, cela signifie que l¹on devient d¹abord plus conscient de ses propres pensées et de ses états d¹âme, puis, dans un deuxième temps, on devient capable de moins ou de ne plus s¹identifier à ces éléments. On expérimente alors, avec l¹habitude de la pratique, une conscience plus libre, plus vaste et un état d¹esprit plus serein. Tout cela peut encore être approfondi par d¹autres types de méditation.
D¹un point de vue thérapeutique, l¹efficacité de cette pratique de base est déjà remarquable. Comprenons bien d¹ailleurs, qu¹il ne s¹agit pas de créer une sorte de psychothérapie bouddhique, mais plutôt de voir en quoi l¹enseignement du Bouddha peut nous être utile dans l¹art de soigner et dans notre aptitude à prendre soin de l¹autre.
Du coté du thérapeute, l¹état de plus grand calme et de plus grande clarté, permet déjà d¹être plus conscient de ses propres projections dans le cadre de la relation d¹aide et surtout, de ne pas investir dans ses projections ( Jung disait qu¹il était important d¹effectuer le retrait de la projection ). Cet état méditatif permet aussi de mieux sentir la réalité de celui qui est en face de nous. C¹est très précieux, car les patients ne verbalisent pas toujours d¹emblée ce qui les fait souffrir. C¹est ce que j¹appelle sentir l¹épine irritative de la personne, ce qui la blesse vraiment. On peut ainsi les aider à mettre des mots, d¹une manière plus précise, sur ce qu¹ils ressentent, tout en leur laissant la liberté de dire ou de ne pas dire, et bien souvent de trouver eux-mêmes la solution, lorsque c¹est possible. Il y a ainsi un travail de clarification et de libération qui se fait avec une réelle douceur, douceur qui est thérapeutique en elle-même. Cette douceur est également le fruit de l¹expérience méditative à travers la bonté fondamentale, dont parlent les maîtres tibétains, bonté qui s¹exprime également sous forme de compassion.
Paradoxalement, le fait de n¹être ni psychologue, ni psychiatre, mais d¹être plutôt considéré comme un médecin du stress, un médecin psycho-somaticien, facilite la rencontre avec des patients que la personnalité du psychologue ou du psychiatre effraie. Par conséquent, lorsque cela me paraît nécessaire, mon rôle se limite à faire prendre conscience à la personne qu¹il serait bien qu¹elle consulte un psychiatre ou qu¹elle voit un psychologue. Lorsque je perçois que le dysfonctionnement mental est important et qu¹il y a besoin d¹un traitement médical et/ou d¹une psychothérapie.
Dans d¹autres cas, en me basant sur ce qui est ressenti face à cette personne et à ce qu¹elle exprime, je laisse venir les mots ou exprimer l¹attitude qui semble juste (ajustée), dans un climat d¹empathie, et j¹observe ce qui se passe chez le patient. Cette prise de conscience de la réalité de la situation et de sa propre réalité, en douceur et avec bonté, est déjà un soin en soi.
Selon vous, comment est-il possible d¹intégrer la dimension spirituelle à la médecine aujourd’hui ?
Dr Chevassut : La conscience, la dimension spirituelle font partie intégrante de l¹être humain, et il semble logique, sensé et, même, éthique et déontologique, d¹en tenir compte dans la démarche médicale. Un jour, lors d¹une conférence où je tenais ces propos, un confrère m¹a fait cette réflexion :
« Mais alors, cela voudrait-il dire que nous nous sommes trompés sur toute la ligne ? » Ma réponse a été la suivante : « Non, nous ne nous sommes pas trompés, mais nous avons juste oublié un paramètre important. » Il y a de multiples raisons à cet oubli, mais ce n¹est pas notre propos d¹en parler maintenant.
On sait par expérience que lorsque la dimension spirituelle d¹un être humain se développe, les qualités, telles que l¹amour, la compassion, la tolérance, le respect, la patience, etc... ont tendance à s¹exprimer spontanément. Généralement, en l¹absence d¹un tel développement, on est obligé de fournir un certain effort pour quelles se manifestent, surtout vis à vis de personnes qui nous agressent.
Mais avec l¹aide d¹une pratique spirituelle authentique et profonde, elles émergent beaucoup plus naturellement. Avec plus de facilité. Il y a également une plus grande paix intérieure. Ceci a des conséquences positives, non seulement sur la santé de l¹individu, mais également sur tout l¹environnement social. Par exemple, nous recevons, de temps en temps, dans notre Hôpital des jeunes qui ont été blessés lors de rixes, avec parfois des séquelles graves, qui entraîneront un handicap toute la vie. Dans le contexte social difficile que nous connaissons actuellement, je crois que la prise en compte de cette dimension pourrait avoir un effet bénéfique. C¹est même un problème de santé publique et les personnes qui s¹intéressent à la politique devraient y prêter une plus grande attention. Dans les années à venir, il n¹est pas impossible que l¹Hôpital devienne un facteur important de cohérence sociale.
* shine ou en sanskrit, shamatha, méditation de l’esprit centré intérieurement qui se stabilise dans la paix.
Le 2 novembre 2004 au centre bouddhiste Kalachakra de Paris, une rencontre est organisée avec le Dr Chevassut, sur le thème Médecine et enseignement du Bouddha. Réservations et renseignements :
Centre Kalachakra, 5 passage Delessert, 75010 Paris, tel 01 40 05 02 22.
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