19 novembre 2010 2 commentairesLes ampoules à incandescence laissent progressivement place à des solutions d’éclairage moins énergivores… Mais les lampes fluocompactes comportent-elles des risques pour notre santé et l’environnement, ainsi que le suggèrent des études récentes ? C’était l’objet de ma chronique de cette semaine dans Nuwa… En voici une version complétée d’un conseil pratique et de l’interview d’un spécialiste…
Pendant bien longtemps, on n’a trouvé sur le marché que les ampoules à incandescence. Ces fameuses ampoules à filament, inventées en 1878 par Thomas Edison fonctionnent grâce à un filament de tungstène, qui, porté à haute température par le passage d’un courant électrique, émet de la lumière. Un gaz inerte comme l’argon ou le krypton peut également être présent dans l’ampoule pour éviter la détérioration du filament et améliorer sa durée de vie. Le principal défaut de ces ampoules est de consommer trop d’énergie : 90% de l’électricité utilisée pour ce type d’éclairage devient de la chaleur et pas de la lumière. C’est pour cette raison qu’ une directive européenne pose l’ interdiction progressive de la vente de ces ampoules traditionnelles. Après la disparition du marché des ampoules de 100 w en septembre 2009, celles de 75 w ont été retirées à la rentrée 2010, les dernières, celles de 25 et 40 W seront interdites à la vente en septembre 2012.
Si ces ampoules sont retirées définitivement du marché, c’est que des alternatives moins énergivores ont émergé ces dernières années…Les chercheurs ont d’abord mis au point l’ampoule halogène, 20 à 30% plus efficace que l’ampoule à incandescence… Mais ces lampes gardent un rendement insuffisant. La crise pétrolière des années 70 a stimulé l’invention des lampes fluocompactess : basées sur le même principe que les tubes fluorescents de type néon celles-ci sont plus « compactes ». Elles fonctionnent grâce une décharge électrique entre deux électrodes qui provoque la vaporisation du mercure à l’intérieur de l’ampoule : ces vapeurs émettent une lumière ultra-violette, elle-même convertie en lumière visible par la couche fluorescente appliquée sur la paroi de la lampe ou du tube.
Ces lampes sont plus chères à l’achat que les ampoules classiques…Mais les lampes à économie d’énergie durent 8 à 10 ans en moyenne et consomment 5 fois moins d’énergie, ce qui permet d’alléger la facture électrique d’un ménage dès la première année d’utilisation. A titre d’exemple, le remplacement d’une lampe classique de 100W par une lampe basse conso de 20W permet, tout au long de la durée de vie de la lampe (10 ans), une économie d’énergie de 800 kWh, ce qui correspond à environ 88 € (au prix moyen de l’électricité de 0,11 € du kWh) et à un an et demi d’éclairage ! Selon l’Agence Internationale de l’Energie, le passage mondial à l’utilisation de la lampe à économie d’énergie pourrait éviter l’émission de 470 millions de tonnes de CO2 en 2010, soit près de la moitié des objectifs de réduction fixés par le Protocole de Kyoto.
On a vu aussi apparaître récemment les diodes électroluminescentes ou LED, avec de nombreuses promesses environnementales… Les leds ont fait une entrée fracassante sur le marché, dans les années 1990, affichant une durée de vie de 10 à 20 ans, une consommation électrique dérisoire et un allumage instantané, pourraient bien supplanter les lampes fluo-compactes. Jusqu’il y a peu, leurs seuls points faibles étaient leur coût (40€ pour l’équivalent d’une 60 Watts) et leur faible efficacité sur le rendu des couleurs. Mais des innovations technologiques ont permis ces derniers mois des fabriquer des leds plus performants sur ce point…
Cependant, ces derniers mois, ces deux types d’éclairages performants du point de vue énergétique ont montré des défauts inquiétants du point de vue sanitaire… En 2008, le Comité Scientifique des risques sanitaires émergents et nouveaux (CSRSEN/SCENIHR) de la Commission Européenne s’était penché sur les inquiétudes exprimées par certaines associations de citoyens concernant les lampes fluorescentes compactes… Ce rapport, publié en 2009, concluait à l’absence d’indication d’un risque lié au scintillement et aux champs électromagnétiques de ces lampes…Selon cette commission, le seul risque éventuel de ces lampes serait lié à un rayonnement ultraviolet et en lumière bleue. Des rayonnements qui pourraient aggraver les symptômes de 250 000 personnes de l’UE souffrant de maladies cutanées rares qui les rendent hypersensibles à la lumière. L’étude admettait aussi que la population en général pouvait recevoir d’importantes quantités de rayons UV en cas d’exposition à la lumière de certaines lampes fluocompactes à enveloppe simple pendant de longues périodes de temps et à moins de 20 cm de distance…
Mais d’autres études semblent constituer un faisceau de présomption concernant les champs électromagnétiques émis par les lampes fluocompactes… Au cours de cette année 2010, l’It’Is Foundation (Foundation for Research on Information Technologies in Society) de Zurich a mesuré sur demande de l’Ofen (Office Fédéral de l’Energie, en Suisse), les champs électromagnétiques des lampes fluocompactes, des ampoules à incandescence et des ampoules LED. L’étude confirmait que pour éviter tous risques avec les ampoules fluocompactes, il est préférable de respecter une distance minimale de 30 cm entre la lampe et le corps, distance qui permettrait d’exclure tout impact négatif sur la santé. Pour rappel, plusieurs études montrent que les champs électromagnétiques peuvent avoir des effets sur la santé, même à des seuils inférieurs aux valeurs limites définies par la Commission internationale sur la protection contre les radiations non-ionisantes : cancers, Alzheimer, troubles respiratoires…
Selon cette dernière étude, les LED par contre, ne génèrent dans l’ensemble, par rapport aux lampes à économie d’énergie, que des champs électromagnétiques très faibles. Mais à la fin du mois d’octobre dernier, un rapport d’expertise de l’Agence nationale de sécurité sanitaire (France) a semé un autre doute quant à l’innocuité de ce type d’éclairage : l’usage de certaines lampes à LED pourrait conduire à des effets sanitaires pour la population et les professionnels. En cause ? La grande proportion de bleu dans la lumière blanche et la très forte luminance (« intensité lumineuse ») émise par certaines diodes.
On connaît les rayons ultraviolets et les infrarouges, mais qu’est-ce que la lumière bleue ? La lumière bleue, également désignée sous le terme HEV (Haute Energie Visible), concerne les longueurs d’onde comprises entre 380 et 500 nanomètres. Ces rayons se trouvent en grande quantité dans la lumière du jour, en particulier quand le ciel est dégagé. Elle est également présente dans de nombreuses sources artificielles de lumière. Cette lumière n’est pas stoppée, contrairement aux UV, par les filtres naturels de l’oeil. Très riche en énergie, elle a été identifiée, tels les UV, comme un facteur de risque de vieillissement précoce de l’oeil et de dégénérescence maculaire potentielle. C’est ce que dit aussi l’étude de l’Anses : la lumière bleue nécessaire pour obtenir des LED blanches conduit à un stress toxique pour la rétine. Les enfants sont particulièrement sensibles à ce risque dans la mesure où leur cristallin reste en développement et ne peut assurer son rôle efficace de filtre de la lumière. Pour l’Agence, « être exposé de manière répétée, sur le long terme et à courte distance du faisceau lumineux de LED à forte composante bleue augmente le risque de cataracte et de lésions maculaires (zone centrale de la rétine) ». L’éclairage diffusé par les LED peut conduire à des « intensités de lumière » jusqu’à 1 000 fois plus élevées que les éclairages classiques générant ainsi un risque d’éblouissement. De plus, l’éclaire très directif des LED et la qualité de la lumière émise peuvent être une source d’inconfort visuel.
Est-ce qu’on doit dès lors proscrire ce type d’éclairage ? C’est la question que tout le monde se pose! Pourtant, ce que l’ANSES dit ne correspond qu’à un type de LED. La plupart des LED appartiennent à une catégorie qui ne semble pas comporter autant de risques… L’ANSES demande que seules les LED appartenant à des groupes de risques similaires à ceux des éclairages traditionnels soient accessibles pour le grand public. Elle réclame aussi la mise en place d’un étiquetage intelligible pour le consommateur relatif notamment aux caractéristiques techniques de l’éclairage et de ses effets sanitaires éventuels. Elle conseille néanmoins d’éviter l’utilisation de sources de lumière riches en couleur bleue dans les lieux fréquentés par les enfants ou dans les objets qu’ils utilisent (jouets, afficheurs lumineux, consoles et manettes de jeu, veilleuses nocturnes, etc.). Pour éviter tout risque, notamment en présence des enfants, l’organisme précise qu’il est préférable de privilégier les systèmes d’éclairage à LED blanc chaud à faible « intensité lumineuse » et d’éviter les systèmes d’éclairage à LED où une vision directe du faisceau émis est possible.
Cette technologie a beaucoup de succès dans une autre application, la télévision : est-il dangereux de regarder une télévision à LED ? Selon l’Anses, les TV à LED utilisent une technologie d’éclairage indirect (rétroéclairage à LED), avec des luminances très faibles (une centaine de candela/m²), elles ne sont donc pas concernées par les risques mis en avant dans son avis.
Pas de panique, donc, autour des leds… C’est l’avis en tout cas du Syndicat de l’éclairage qui dans sa réaction au rapport de l’Anses indique que dans des conditions normales d’utilisation, les LED ne présentent pas de risque sanitaire particulier. Ce groupement des fabricants de matériels d’éclairage fournit toutefois des recommandations valables pour les LED comme pour les autres lampes et conseille de ne pas regarder la source lumineuse, quelle qu’elle soit, en face, d’utiliser une source lumineuse à LED équipée d’un diffuseur et/ou d’un réflecteur intégré à la lampe (ampoule) et enfin d’intégrer la source lumineuse à LED dans un luminaire qui, de par sa conception et son implantation raisonnée, limite la luminance perçue par l’utilisateur. De son coté, Osram, l’un des grands fabricants mondiaux de LED a précisé dans un communiqué qu’à l’instar des ampoules classiques, ses produits LED (Parathom, LEDs Deco Flex, LEDstixx, PowerSTIXX, Qod, Substitube, LEDvance et PrevaLED…) entrent dans les groupes de risques d’effets photochimiques les plus faibles, groupes 0 et 1, sur une échelle allant de 0 (faible) à 3 (élevé) et il estime qu’il n’y a pas besoin de prendre de mesures particulières pour ces produits. Par contre, ses lampes de poche à LED entrent dans le groupe de risque 2. C’est pourquoi, par mesure de précaution, le fabricant à prévu des avertissements sous forme de pictogrammes sur les produits concernés qui indiquent que « les enfants ne devraient pas utiliser ces produits sans surveillance et qu’il faudrait éviter d’orienter le regard directement dans les sources lumineuses ».
Au-delà du conseil de bien choisir ses solutions d’éclairage en se renseignant auprès d’un spécialiste, et de respecter une distance de sécurité, existe-t-il d’autres précautions ? Il existe aujourd’hui des lunettes de protection, conseillées par les spécialistes pour les personnes qui passent de nombreuses heures devant un écran d’ordinateur par exemple… On retiendra aussi surtout l’idée de privilégier l’éclairage naturel. Et enfin, un petit rappel : les lampes basse consommation sont considérées comme des Déchets d’Equipement Electriques et Electronique. En fin de vie, elles doivent être récupérées et recyclées dans une filière de spécifique : les lampes fluocompactes ne doivent surtout ne pas être brisés avant d’y arriver pour éviter la dispersion de mercure…
Que faire si on casse une lampe au mercure ?
La première chose à penser est d’aérer à cause de la présence de mercure. Le plus grand risque pour la santé serait de se couper avec un éclat de verre. Donc en cas de casse,il est conseillé d’aérer la pièce pendant deux à trois heures et d’en sortir pendant au moins une demi-heure. Pour le nettoyage, on évitera de balayer et d’aspirer, pour ne pas disperser le mercure. On attendra que la pièce soit bien aérée pour tamponner le sol avec un essuie-tout humide. Les morceaux de verre brisé seront au préalable disposés dans un sac plastique, également à l’aide d’un essuie-tout humidifié qui sera lui aussi déposé dans le sac de plastique. Le tout devra être déposé au bon endroit dans votre centre de tri de déchets communal.
Pour compléter cette chronique, voici une interview de Benoît Louppe, Technicien Chimiste, Consultant en Biologie de l’habitat, Expert indépendant en Bioélectromagnétisme et Directeur scientifique du bureau Etudes & vie.
-Quand on parle de lumière bleue: peut-on distinguer à l’oeil nu la lumière qui contient une forte proportion de ce type de lumière, en bref, reconnaître le type de lumière qu’il vaut mieux éviter?
Non, cela est impossible. Pour le voir, il faut utiliser un appareil. Le plus simple et le moins onéreux que tout le monde peut obtenir est le SPECTROSCOPE. Il s’agit d’une sorte de lunette avec une fente et un prisme qui permet de donner la composition du spectre de la lumière.
Cette lumière bleue est-elle celle dont on parle pour le traitement de la dépression saisonnière? Si oui, cette thérapie représente-t-elle un danger pour les yeux?
La question est bonne. Le problème, c’est que d’un coté les fabricants de lampes de luminothérapie à LEDs ou à néons et les endocrinologues nous disent que pour traiter les dépression nerveuses associées aux problèmes saisonniers il faut de la lumière bleue et d’un autre coté elle abîme la macula ! C’est bien un des problèmes fondamental qui reste à régler. D’un coté un spectre de lumière bleue produit une réaction de la pinéale, d’une autre coté, il abîme la macula.
-Vous proposez, pour se protéger, le port de lunettes jaunes. Pour les personnes qui n’ont pas ces lunettes, y a -t-il tout de même des gestes à éviter ou au contraire de bon réflexes, sans nécessairement passer par un achat?
Ce ne sont pas vraiment des lunettes jaunes ( -88% atténuation) ou oranges ( - 99% atténuation). C’est un procédé particulier de traitement de la lentille qui permet de rejeter une forte proportion de lumière bleue. Donc ce n’est pas une simple coloration, ce n’est pas aussi simple. C’est pourquoi leur nom est « Office Lite » pour celles d’apparence jaunes et « Office Pro » pour celles d’apparence oranges. Ces lunettes fonctionnent comme un véritable filtre de lumière bleue à la fois pour les porteurs de lunettes (modèles Clips-on à clipser) et avec monture pour les non porteurs de lunettes. Actuellement c’est la meilleure solution. Je ne connais que celle là. Sans passer par une filtration de la lumière, les autres solutions sont peu efficaces en présence de lumière bleue. néanmoins, on peut conseiller ceci:
1° Eviter d’exposer les yeux à un système d’éclairage direct à base de LEDs et FLC de trop forte luminance. Evitez les LED blanches dont le spectre spécifique comporte un déséquilibre entre les longueurs d’onde 460 et 480 nm pourraient perturber l’horloge biologique et modifier la réponse pupillaire.
2° Préférez toujours pour vous éclairer des lampes économiques ( -30% économie, classe D) halogènes claires G9 à filament. Elles n’ont pas de lumière bleue et possèdent un spectre continu comme celui de la lumière naturelle avec une forte proportion de rouge (et d’infrarouge). Ce qui est nettement mieux pour notre oeuil et la peau. De plus, cela reste une lumière chaude agréable et non toxique!
3° Si vous êtes très attentif à la consommation des ampoules, préférez mélanger différentes ampoules d’éclairage afin d’avoir un mélange de spectre chromatique.
4° Evitez de passer de longues heures devant un écran plat d’ordinateur TFT/LCD sans protection (lunettes filtrantes) et sous un éclairage direct à base de Led ou d’ampoules FLC, par exemple: des lampes de bureau situées juste au dessus de la tête. Préférez à nouveau les ampoules halogènes claires G9.
5° Profitez au maximum de la lumière naturelle dans votre espace de vie et plus spécialement de travail. Eviter la journée d’occulter les fenêtres.
6° Evitez à tout prix l’éblouissement en utilisant des réflecteurs adaptés (par exemple: vasques prismatiques) sur les éclairages qui vont éviter un éclairage direct des yeux.
7° Ne pas avoir une approche de la problématique des ampoules d’éclairage uniquement sous l’angle de l’économie d’énergie, mais aussi sur les effets sanitaires à long terme de l’exposition à la lumière artificielle.
8° Adopter un comportement prudent. Faire attention aux fait qu’actuellement les normes en vigueurs pour concevoir les installations d’éclairages à LED ou FLC ne respectent pas encore les conséquences sanitaires et que les professionnels (électriciens, éclairagistes, concepteurs d’éclairage) n’en tiennent pas compte. Les normes actuelles liées à la sécurité photobiologique sont insuffisantes aux éclairages à LED et ampoules FLC.
9° Si une personne est atteinte de pathologie de l’oeil éviter de s’exposer inutilement à des éclairages artificiels à LED ou FLC. Utiliser des lunettes filtrantes et préférer les ampoules à filament.
10° Eviter l’utilisation de sources de lumières froides émettant une forte proportion de bleu dans des lieux fréquentés par les enfants ou dans les jouets, afficheurs lumineux, consoles et veilleuses nocturnes car leur cristallin laisse passer une beacoup plus grande proportion de lumière bleue que celui des adultes.
11° Eviter d’exposer des patients malades de maladies oculaires ou cutanées qui consomment des médicaments photosensibilisants de s’exposer aux LED et ampoules FLC.
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