Résumer de l'enseignement d'amitabha par lama Karta à Yeuten Ling le 29/11/11 d'après mes notes.

Le plus important dans la pratique c'est notre motivation. Par exemple si votre motivation est bonne mais que vous êtes faché, c'est une bonne pratique, si votre motivation est mauvaise mais que vous êtes gentil c'est une mauvaise pratique.

Il faut dévellopper la compassion, faire beaucoup d'actions positives.

Je vous raconte une histoire pour expliquer differentes formes de bonnes motivations.

Un monsieur fait un petit stupa et pour que tout le monde puisse en profiter, il le place au milieu de la rue. Sa motivation est bonne , il est plein de bonnes intentions.

Un autre passe et se dit mais c'est vraiment n'importe quoi de mettre ce stupa en plein milieu d'une rue, c'est dangereux, je vais le mettre sur le coté. Sa motivation est bonne, il est plein de bonnes intentions.

Un autre passe par là et il pleut, il se dit mais c'est n'importe quoi de laisser ce stupa sous la pluie, il pose dessus sa chaussures pleine de boue et puante. Sa motivation est bonne il est plein de bonnes intentions.

La moral de cette histoire est sue chacun avec une bonne motivation agit différement.

Ce qu'il faut c'est faire l'action avec amour.Si un acte est dicté par une motivation négative il ne faut pas le faire.

Dans notre vie , nous devons mediter et lire les textes mais ce n'est pas tout , je vous raconte une autre histoire:

Asanga etait un bon pratiquant, un jour il meditait et son maitre passe et lui dit "que fais tu?" il lui repond "je medite". Le maitre lui dit "c'est bien mais il faut faire une bonne pratique" Donc asanga cherche ce qu'il peut faire de plus et il lit les textes. Le maitre passe et dit "que fais tu?" , il repond "je lis les textes", "c'est bien repond le maitre mais il faut faire une bonne pratique". Asanga se demande ce qu'il peut faire, il se met alors a faire des prosternations. "Son maitre passe et dit que fais tu?" Je fais des prosternations dit asanga" "C'est bien dit le maitre mais il faut faire une bonne pratique." Asanga decouragé s'en va et trouve un chien a moitié mort, plein de vers pris d'une enorme compassion il enleve les vers un à un et sauve l'animal. Là celui ci se transforme en Bouddha Maitreya. Et asanga lui dit " mais ou etais tu pendant toutes ces années ou j'ai pratiqué?" Le Bouddha lui repond " j'ai toujours été à tes côtés.

La moral de cette histoire est qu'il faut pratiquer avec amour et compassion.Si nous lisons les textes sans coompassion çà ne sert a rien.Lorsque nous develloppons la compassion ,nos negativités diminuent. et c'est une bonne pratique.Nos courts moments de reelles compassion purifient nos negativités.Si un acte est dicté par une motivation negative, ne le posons pas.

Ce sont nos négativités qui nous empechent de voir le Bouddha à nos côtés tout le temps. Nous devons dévellopper la compassion de la taille d'un arbre et non d'un bonsai comme nous le faisons pour le moment.Nous aurons encore beaucoup de vies et il faut que nous considérions les êtres comme des mères. Il faut essayer encore et encore. Cette attitude est un homage au Bouddha plus que l'etude des textes.

Les autres religions doivent être respectées.Nous devons les considérer comme des frères et soeurs. Nous devons garder un coeur d'enfant comme un enfant de 6 ans ravi de voir sa mère.Nous devons en tant que Bouddhistes regarder et considérer tous les êtres comme nos mères et ceci pour toutes nos vies.

Nous avons en nous une prédisposition naturelle à la compassion par exemple quand nous voulons aider les autres. Malheureusement après nous les jugeons.

(ouvrage interessant à lire ceux de shantideva sur la compassion, et les textes du "lojong" je ne connais pas l'orthographe de ce mot)

Avant de s'endormir il est important d'éprouver de la compassion, celle ci agirat pendant notre sommeil.Il est aussi important de regretter sincerement ce que l'on a fait de mal. Il faut changer son etat d'esprit et arreter de penser "je".Tous les êtres sont egaux.Donnez de l'importance aux autres.Les considérer comme plus important que soi même.