La Dyspraxie
La dyspraxie est un trouble développemental qui affecte le contrôle, la coordination et la planification d’un geste moteur. L’enfant qui en souffre se voit donc incapable de réaliser une séquence de gestes de façon harmonieuse et efficace.
Les manifestations
Au quotidien
Difficulté à planifier un mouvement;
Difficulté à reproduire un mouvement;
Difficulté à effectuer les petits gestes du quotidien (s’habiller, lacer ses chaussures, se moucher, utiliser une clé, tracer des traits, couper des aliments, etc.);
Difficulté à assembler des objets (casse-tête, Lego, Meccano, etc);
Difficulté à s’orienter dans l’espace, sur une feuille, dans un plan, sur une carte, etc.;
Chutes et maladresse souvent observées;
Pauvreté dans la précision des gestes;
Malhabile dans certaines activités sportives (saut à la corde, jeux de balles et ballons, danse);
Hypersensibilité ou hyposensibilité au toucher;
Difficulté de latéralisation (difficulté à reconnaître la gauche et la droite).
En contexte scolaire
Mauvaise préhension du crayon;
Productions écrites mal organisées sur la feuille;
Un tracé difficile pour certaines lettres;
Calligraphie parfois illisible;
Difficulté avec le décodage de lettres, de chiffres;
Apprentissage difficile des algorithmes mathématiques (suite d’opérations permettant de donner la réponse à un problème);
Difficulté en géométrie.
Finalement, les différentes manifestations de la dyspraxie nous amènent souvent à croire que l’enfant est maladroit, immature, paresseux et qu’il ne s’applique pas à la tâche alors qu’au contraire, les ressources cognitives qu’il déploie pour accomplir de simples gestes sont immenses comparativement aux autres enfants de son âge. Après avoir déployé tous ses efforts et mobilisé toute son attention sur la production de certains gestes, il ne lui reste souvent plus d’énergie pour demeuré centré sur la tâche.
Approche et traitements au CENOP
Malgré la nature persistante de ce trouble, il est primordial d’offrir à l’enfant qui en souffre une rééducation qui lui permettra d’évoluer, de s’outiller et d’apprendre à pallier les difficultés motrices qui le limitent et ce, dans les différentes sphères de sa vie.
Ainsi, une fois le diagnostic de dyspraxie posé et la nature du trouble explicitée, la rééducation peut alors être orientée selon les besoins et les caractéristiques de l’enfant. Ce trouble qui affecte principalement la sphère motrice de l’enfant nécessite bien souvent un suivi en ergothérapie. Cette rééducation peut entre autres viser l’amélioration du graphisme, l’organisation dans l’espace, le développement des concepts verbaux afin de favoriser l’acquisition des notions spatiales et la décomposition de gestes complexes en gestes simples.
Il faut savoir que l’intervention rééducative a ses limites, d’où l’importance de la mise en place de mesures palliatives qui aident les jeunes à tirer profit de leur environnement comme par exemple l’usage d’un traitement de texte, l’utilisation d’un ordinateur, la présence de supports ergonomiques, etc.
La nature et les causes de la dyspraxie, souvent méconnues des parents et des intervenants, confrontent ces derniers à une incompréhension des problèmes de l’enfant. Un volet de la rééducation vise donc à bien informer les parents des implications et des conséquences de ce trouble dans la vie de leur enfant pour leur fournir les outils nécessaires au plein épanouissement de ce dernier.
La dyspraxie est un trouble développemental qui affecte le contrôle, la coordination et la planification d’un geste moteur. L’enfant qui en souffre se voit donc incapable de réaliser une séquence de gestes de façon harmonieuse et efficace.
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Au quotidien
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Difficulté à reproduire un mouvement;
Difficulté à effectuer les petits gestes du quotidien (s’habiller, lacer ses chaussures, se moucher, utiliser une clé, tracer des traits, couper des aliments, etc.);
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Difficulté à s’orienter dans l’espace, sur une feuille, dans un plan, sur une carte, etc.;
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Un tracé difficile pour certaines lettres;
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Difficulté avec le décodage de lettres, de chiffres;
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Difficulté en géométrie.
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Malgré la nature persistante de ce trouble, il est primordial d’offrir à l’enfant qui en souffre une rééducation qui lui permettra d’évoluer, de s’outiller et d’apprendre à pallier les difficultés motrices qui le limitent et ce, dans les différentes sphères de sa vie.
Ainsi, une fois le diagnostic de dyspraxie posé et la nature du trouble explicitée, la rééducation peut alors être orientée selon les besoins et les caractéristiques de l’enfant. Ce trouble qui affecte principalement la sphère motrice de l’enfant nécessite bien souvent un suivi en ergothérapie. Cette rééducation peut entre autres viser l’amélioration du graphisme, l’organisation dans l’espace, le développement des concepts verbaux afin de favoriser l’acquisition des notions spatiales et la décomposition de gestes complexes en gestes simples.
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