Pourquoi CAMINO... mon chemin spirituel, méditer et agir?

il y avait toujours eu des souffrances sur la Terre et qu'il y en aura encore.

Prendre conscience de ça, c'est faire un pas (un petit pas mais un pas quand même) vers la paix.

CAMINO chemine

http://www.acse.info/images/Petit-camino.pdf


et voici une belle idée pour fêter Noel en famille :



JOUONS POUR APPRENDRE A
COOPERER...









Venez découvrir les jeux coopératifs de
société, seul ou en famille, adhérent ou non, de 3 à 99 ans.

Le Centre de ressources organise des
animations découverte des jeux coopératifs.
Elles ont lieu au local du
Centre de ressources. L'entrée est libre.

Pour 2007, le Centre de ressources sur
la non-violence vous accueille de 9h00 à 12h00 les samedi :

• 
  
  
  
  24 novembre
  
  15 décembre
  

Les
jeux coopératifs, un outil privilégié pour mieux vivre ensemble :
délivrés de la tension liée à la peur de perdre, dans le plaisir de
jouer avec et non contre les autres, les joueurs explorent
d’autres manières de « faire ensemble » : s’exprimer, argumenter,
écouter, respecter l’avis de chacun, reconnaître et apprécier les
compétences et la personnalité de chacun, prendre des décisions d’un
commun accord…


Les jeux
coopératifs sont des outils d'apprentissage de la vie en société sans
violence.
A la différence des jeux compétitifs où
l'enjeu est de gagner face à un adversaire, les jeux coopératifs amènent les
joueurs à devenir partenaires pour atteindre un objectif commun.
Soit l'on gagne ensemble, soit l'on perd
ensemble ! Ces jeux
développent l'esprit de dialogue, de confiance, d'entraide et de solidarité.


Centre de ressources sur la
non-violence de Midi-Pyrénées

11 allée de Guérande (accès allée de Monturon)

31 770 COLOMIERS

Tel : 05 61 78 66 80

crnv.midi-pyrenees@wanadoo.fr













voici qui peut permettre de changer les états d'esprit de façon positive et comprise de tous petits et grands

Karma Jungney a écrit:

il y avait toujours eu des souffrances sur la Terre et qu'il y en aura encore.

Prendre conscience de ça, c'est faire un pas (un petit pas mais un pas quand même) vers la paix.

LA PAIX ?
Peut on la desirer pour soi même, alors qu'elle n'existe nulle part ?
n'est ce pas être indifferent ou fataliste, que de chercher la Paix que pour soi même?

il y a Frere-ami Karma Jungney, la souffrance, et ses causes qu'on connait trop bien

l'egoisme des hommes cet orgueil, ce desir de pouvoir qui a produit ce monde de brutes dont ce capitalisme hais
n'est qu'une facette...

il y a la cessation de la souffrance et le chemin pour y parvenir,
comment concilier ce chemin...(camino) ...
avec cette paix interieure ?

Ce chemin passe pour moi, par l'Action (non violente) en vue d'élever les consciences ...
et pas seulement la méditation
je sais que j'ai du travail à faire sur moi même...
par la méditation

oui...Mediter et Agir
Méditer pour Agir

Pour un autre monde possible

merci à vous toutes et tous de vouloir m'aider
je ne sais si quelqu'un pourra le faire
car vous êtes encore trop attachés à ce monde materiel
moi aussi peut être...?

Pour trouver cette paix interieure, dois je quitter cet environnement qui m'est néfaste et me retirer dans un centre ?
Est ce mon chemin?
Camino ...


j'en appelle à l'aide des Bouddhas et Bodditsattvas

O Bouddhas, Bodhisattvas, et disciples
du passé, présent et futur :
possédant de remarquables qualités
immensément aussi vaste que l'océan,

qui regardez tous les êtres sensibles désemparés
comme votre enfant unique;
je vous prie de considérer la justesse de mon cri
d'angoisse....

dimanche 21 octobre 2007




Le
« bouddhisme engagé » fait partie du renouveau spirituel caractérisant
le bouddhisme en Asie du Sud-Est, et tout particulièrement en
Thaïlande, depuis quelques décennies. Sont directement impliqués des
moines de forêt, des nonnes, des responsables d’entreprises et diverses
personnalités. Parmi ces dernières le plus connu est sans aucun doute
Sulak Sivaraksa.















S’engager pour la paix


Manifestation en Thaïlande
en faveur des birmans




Le « bouddhisme engagé » fait partie du renouveau
spirituel caractérisant le bouddhisme en Asie du Sud-Est, et tout
particulièrement en Thaïlande, depuis quelques décennies. Sont
directement impliqués des moines de forêt, des nonnes, des responsables
d’entreprises et diverses personnalités. Parmi ces dernières le plus
connu est sans aucun doute Sulak Sivaraksa qui, toutes proportions
gardées, peut être considéré comme le « Aung San Suu Kyi thaïlandais ».

Sulak Sivaraksa




Sulak est en effet le plus actif militant de ce
pays, critique du régime en place et théoricien du « bouddhisme
engagé » au sein de l’INEB (Réseau International des Bouddhistes
Engagés) dont il est l’initiateur. Agé de soixante-sept ans il a,
pendant trente-cinq ans, combiné une ouvre intellectuelle provocatrice
avec un infatigable travail sur le terrain en Thaïlande. Il a mis en
place des projets de développement rural, de nombreuses organisations
non gouvernementales ayant pour objet d’explorer, en Thaïlande et dans
le monde, des modèles de développement soutenables, enracinés dans la
tradition, et fondés sur l’éthique et la culture spirituelle.
Régulièrement, Sulak a été persécuté par les diverses dictatures
qui ont gouverné la Thaïlande à de nombreuses reprises depuis 1932. Il
a connu l’exil, la prison, les procès, les intimidations, et toutes les
difficultés inhérentes à une vie de contestation. Sulak a été nominé à
deux reprises, en 1993 et en 1994, pour le Prix Nobel de la Paix. Il
est venu en France à la fin de l’année 2000, dans le cadre d’un congrès
sur le bouddhisme à L’UNESCO, pour exposer son action qui consiste
essentiellement à inclure les principes bouddhiques de base, la
compassion et la sagesse, dans les comportements économiques, éducatifs
et politiques, dans un esprit de responsabilité globale. C’est ce qu’il
nomme le développement de « ariya vinaya », la conduite noble (ou la
conduite des esprits nobles).

Ariya Vinaya




« Dans la pensée et la pratique bouddhiques le
concept d’ariya fait référence à la qualité devant guider le chemin
vers l’Eveil et la vie noble. L’essence de vinaya réside dans la
compréhension de la vérité éternelle au sujet du noble chemin. Par
conséquent ariya vinaya est un processus dynamique de notre pensée et
de notre action, et le mode de vie menant à la plus haute réalisation.
C’est une révolution et un combat quotidien pour le changement à
l’intérieur de nous-même. Les implications de ce changement sont
pertinents à la fois pour l’individu et la société. Cette lutte
ininterrompue implique de reconnaître nos traits négatifs telles que
l’avidité, la haine et l’ignorance. En termes d’idéal, ariya vinaya est
une approche holistique de la paix, du développement, et de la vie en
société, fondée sur une conception bouddhique du monde (...)
Ariya vinaya est une vision bouddhique du monde qui est
particulièrement pertinente en raison des problèmes auxquels nous
sommes confrontés aujourd’hui. Les problèmes tels que la pauvreté, le
sous-développement, la violence structurelle, les guerres, la
transformation dans les relations entre l’homme et la nature, et les
conséquences du modèle de développement adopté, ne peuvent pas être
compris simplement en termes de politique gouvernementale. Il est
urgent de reconnaître la crise spirituelle qui engloutit l’humanité.
Par conséquent les réponses passeront nécessairement par des moyens
spirituels. Il n’est pas obligatoire que vinaya soit statique. C’est
également un processus continuel d’introspection qui doit provoquer de
nouveaux aperçus et fournir de nouvelles interprétations à nos valeurs
et traditions. Ceci permettra non seulement d’en préserver la
continuité mais également d’assurer leur pertinence pour notre époque
et les situations changeantes (...)

Dans une perspective bouddhique,

la signification de liberté est beaucoup plus large

que l’interprétation occidentale.




Il n’y a aucun doute que les valeurs de démocratie,
liberté et égalité sont ancrées dans nos anciennes traditions. Dans une
perspective bouddhique la signification de liberté est beaucoup plus
large que l’interprétation occidentale. La notion bouddhique inclut le
fait d’être libéré de l’avidité, de la haine et de l’ignorance. Mais de
quelle façon pouvons-nous traduire la libération individuelle en termes
de liberté collective au sein de nos sociétés ? C’est ici que je
reconnais les obstacles humains au nom de la religion, de la culture et
des systèmes sociaux. De ce contexte naissent la nécessité et la
signification de la justice. Cette idée de justice est fondamentale et
pertinente pour comprendre le sens de la liberté et de l’égalité dans
une société. L’oligarchie aux Etats-Unis, la démocratie de l’élite en
Occident, et l’Inde en tant que plus grande démocratie au monde, sont
de pauvres reflets de notre idée de justice dans une démocratie
politique. Le combat, par conséquent, ne peut être défini en termes de
modernité contre tradition. Dans le combat pour réaliser la liberté,
l’égalité et la justice nous rétablissons tout simplement la vérité et
la base de vie qui fut déniée à l’humanité ordinaire. Il y a une forme
de sacré dans notre reconnaissance de la vérité. La reconnaissance de
la souffrance est le début de la connaissance. »

Conclusions




Sulak Sivaraksa vise dans toutes ses actions à
impliquer largement tous les responsables religieux, au sujet desquels
il est tout particulièrement critique. Lors d’une récente conférence
aux Nations Unies il déclarait : « Les responsables religieux peuvent
aisément être la proie de l’illusion et de l’arrogance. Fréquemment ces
personnalités succombent à la séduction de l’Etat, de l’argent ou de la
gloire, et ainsi ferment-ils les yeux sur les souffrances des pauvres
et des personnes marginales. Ils affichent parfois un mode de vie
luxueux et ostentatoire. Tout simplement, ils ne vivent pas ce qu’ils
prêchent. Si nous devenons de bons compagnons pour de tels responsables
religieux ils peuvent redécouvrir les vertus d’humilité et de
simplicité et peuvent s’efforcer de réduire leur hypocrisie. Ils
peuvent même acquérir un niveau élevé sur le plan éthique et religieux,
refusant de faire des courbettes au pouvoir politico-économique. »
Divers groupes d’étude et d’action sont directement affiliés à
l’INEB, International Network of Engaged Buddhists, ces groupes ayant
pour but de replacer les valeurs bouddhiques au sein des activités de
la société en impliquant directement les communautés laïques et
monastiques, chacune dans leur rôle respectif. De nombreux autres
organismes (associations interreligieuses, de développement, de chefs
d’entreprises, etc. ) collaborent également à ses actions. Tout ceci
contribuant à créer un véritable mouvement de régénération au sein du
bouddhisme en Thaïlande qui, pour de nombreuses raisons (entre autres
du fait de son statut de « religion d’Etat »), s’enlise lentement dans
la sclérose.



Extrait d’un texte de Michel-Henri Dufour

www.buddhachannel.tv


Un site français sur le bouddhisme engagé : Karuna

merci mon coeur d'avoir déniché pour moi ce site .... que je mets dans mes (hyper) favoris




C'st un pas de plus que tu me permets de faire vers Camino ... mon chemin spirituel

Je clique sur la première pagehttp://karuna.anussati.org/spip.php?rubrique1 et lit ceci...

En fait, participer à tout le système de consommation c’est déjà
risquer, à chaque instant, de violer les trois premiers préceptes !
Quant au quatrième, s’abstenir de paroles mensongères ou incorrectes,

c’est particulièrement difficile dans un monde fondé sur la
communication publicitaire et la propagande politique...

Une autre page magnifique ...
http://karuna.anussati.org/spip.php?article16

Quand un éclair déchire la nuit.
ELIE WIESEL, Prix Nobel de la Paix en 1986

"Tant
qu’un dissident est en prison, notre liberté ne sera pas vraie. Tant
qu’un enfant a faim, nos vies seront remplies d’angoisse et de honte.

et cette superbe citation ... d'un très grand sage , lachement assassiné par la connerie humaine...

« Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde »


Mahatma Gandhi

et enfin dans le forum de la part du créateur du site

Tout bouddhisme socialement
engagé ne nécessite aucune autre justification que celle d’être une
amplification d’éthique bouddhiste traditionnelle, une éthique sociale
amenée par les besoins et potentialités de la société contemporaine...


L’analyse révolutionnaire du Bouddha de la condition humaine comporte
des implications sociales qui sont beaucoup plus radicales que tout ce
qui est imaginable dans la mentalité séculière. Ken Jones (The Social
Face of Buddhism)

J'adhère totalement ! merci mon coeur pour ce très beau cadeau

En fait, participer à tout le système de consommation c’est déjà
risquer, à chaque instant, de violer les trois premiers préceptes !
Quant au quatrième, s’abstenir de paroles mensongères ou incorrectes,

c’est particulièrement difficile dans un monde fondé sur la
communication publicitaire et la propagande politique...

Moi ça me fait bien rire de culpabiliser les personnes en les accusant de participer à un système de consommation duquel il est impossible de sortir si ce n'est en s'isolant comme ermite dans la forêt. Alors si on est en accord avec ces mots, étaignons nos ordinateurs, jetons nos GSM, retournons au puit faire la lessive, ne nous nourrissons plus si ce n'est de plante que nous trouverons dans les bois, cessons de nous réjouir des émissions de télévision qui apportent de l'argent à la recherche médical, etc etc

Je n'adhère pas du tout pour ma part aux discours de personnes désireux de culpabiliser d'autres personnes. Ca me rappelle trop une certaine religion complètement rétrograde qui fait aujourd'hui plus de bien que de mal.

Il faut rester lucide. Nous vivons dans un monde que l'homme a voulu comme tel. Assumons nos actes du passé car nous sommes tous responsables de ce qu'il est advenu. Et mépriser celui avec qui on n'est pas d'accord, mépriser un système, c'est se mépriser soi-même. Quoi qu'il en soit, je ne pense pas que c'est la société de consommation qui est responsable de la souffrance mais bien la perception que nous avons de cette société de consommation. Les désirs, les frustrations, les insatisfaction que l'on génère par rapport à tous ces produits de consommation ne sont que le fruit de notre vision erronée. Et c'est ça qu'il faut tenter de modifier. Et pas en allant crier systématiquement que le monde est pourri, simplement en se posant, en respirant, en réfléchissant sur soi.

Je rappelle une célèbre citation du dalai lama: le désarmement extérieur passe avant tout par le désarmement intérieur.

Je n'ai rien contre toi Nicolas, comme beaucoup ici qui t'aimons et t'apprecions mais ne pouvons hélas pas grand chose pour t'aider

j'espere que quand tu reviendras, et je sais que tu reviendras tu liras cette page dont voici le lien... http://karuna.anussati.org/spip.php?article30#forum552

et les autres de ce merveilleux site (c'est mon lieu de retraite)
que Floraison m'a fait découvrir

Je sais qu'on ne fait pas boire un ane qui n'a pas soif ( je n'ai rien contre les anes, j'aime beaucoup ces animaux,
tetus et affectueux , mais qui si ils on ne les prend pas dans le sens du poil deviennent hargneux et ruent
dans les brancards un peu comme moi loll )

mais permets moi d'insister, car je sais que TOI tu es sensible aux souffrances de ce monde

Il nous faut lutter , pour y mettre fin, et nous serrer les coudes TOUS ENSEMBLE

C'est cela mon chemin...camino, et je pense finallement que je ne pourrais pas quitter ce monde l'esprit en PAIX
que si j'ai la saisfaction d'avoir fait tout mon possible pour y arriver

OM MANI PADME HUM Nicolas

Bonsoir Floraison,

Cette action vient du groupe CAMINO?
Quels peuvent être les thèmes abordés?

pour toi soeuramie Karma Trindal et vous tous amis belges, un complémént d'informations et une liste de personnes à contacter dans votre "plat pays" qui .......n'est pas le mien (clin d'oeil à Jacques BREL)

http://www.wsf.be/article.php3?id_article=406

Je te remercie beaucoup ma soeuramie!

:mer'

20 novembre 2007

Une bonne journée, pour me changer l'esprit... dans l'action...

Je réponds ici à Karma Younten qui a évoqué sur le fil des 14 entrainements le site de notre ami commun Jean Dornac...

http://www.altermonde-sans-frontiere.com/

karma younten zongmo a écrit:Faire là où l'on est avec ce que l'on est
sont autant de graines semées au passage qui un jour, peuvent aussi
porter fleurs et fruits d'une autre compréhension possible par la
simple intervention inhabituelle en contexte global

Le site que
tu évoques, j'y ai mis pendant presque un an des poésies qui
n'intéressaient pratiquement personne, posé quelques articles,
intervenue en différents sujets, agacé beaucoup de part ma différence
d'attitude pacifique... ce qu'il en advient ne m'appartient pas et
pense même qu'ils sont bien là, en référence d'un autre Monde meilleur
possible auquel j'adhère en coeur et des causes justes pour lesquelles
je ferai tout ce qui m'est possible pour le bien d'autrui, sans pour
autant tendre à ressembler à un état d'être qui ne me correspond pas

Il
me semble important aussi être et faire avec les autres et leurs
différences en belle nécessité au regard du Monde actuel et l'urgence
qui appelle bonne volonté à se manifester

Et vivre au présent en perspective d'un futur à construire

Vraiment, ta route de coeur est belle Michel,

KYZ.

La découverte du site Altermonde que j'évoque, a été pour moi une de mes premières étapes de mon engagement
sur ce chemin (camino) début 2004 l'année de mes 49 ans =7*7 ans (je crois beaucoup au chiffre 7 et aux multiples de ce chiffre 7)

et je m'y étais beaucoup investi jusqu' à ce que je découvre le bouddhisme début 2006 par ce livre de Thich Nhat Hanh "changer l'avenir , pour une vie harmonieuse" et les 5 entrainements à la pleine conscience, qui m'ont révélé une base spirituelle très forte à mon engagement militant.

je me suis aussi apercu que beaucoup de militants d'Altermonde ou d'ailleurs en étaient encore à faire de "l'anticlericalisme primaire" et rejetaient comme mauvaise toute forme de spiritualité en confondant les textes sacrés avec ce que l'une des religion est devenue... Jean a eu énormement de mal a parler de Jesus et des évangiles

et j'ai acquis la conviction qu'il pouvait y avoir dans ces textes sacrés, un moteur très puissant à notre combat contre le capitalisme comme ce merveilleux "Tu ne peux aimer Dieu et l'argent " (Luc 16-1)

j'ai donc pris de plus en plus des positions que certains ont jugées "papistes"... loll ce qui m'a amené par dépit à m'éloigner d'Altermonde que je ne dénie pas, bien au contraire, je pense qu'Alermonde est un tres bon outil qui est plus que jamais necessaire, mais je regrette ces divisions qu'il y a , les mêmes que dans la réalité et qui ont été la cause de l'echec des collectifs du 29 mai après pourtant cette si belle victoire du Non au referendum de 2005

"D'autres mondes sont possibles" d'après la devise, oui mais c'est là ou le bat blesse, ces "autres mondes" les diverses sensibilités partisanes qui en sont les composantes ne sont pas capables de s'unir, pour mettre à bas ce monde ci... faudrait il dire d'autres mondes ou UN autre monde ,( qui ne soit pas celui de l'égoisme, de l'avidité du désir de posseder toujours plus et pour cela écraser l'autre)

J'ai donc laissé Altermonde et me suis tourné vers les sites et forums proches des religions pour essayer de les toucher les convaincre et les amener à notre cause

en effet je me suis de plus en plus convaincu que la plupart des pratiquants, ne saisissaient pas le sens profond des textes sacrés qu'ils lisaient et qu'en s'impregnant des pensées profondes de Jesus, Bouddha, Mahomet... et des grands sages comme Gandhi, Martin Luther King, Abbé Pierre, Soeur Emmanuelle et bien d'autres ils en viendraient à condamner ce capitalisme et cette société de consommation... tout à fait contraire à l'esprit et aux pensées de ces grands sages.

voila voila...ma route et voila pourquoi un jour de juin 2007 j'ai atterri sur

Je pense également qu'Altermonde est miroir et dosimètre des dispositons d'esprits et tendances via les interventions, belle source d'information via les articles de qualité et profondément vérifiés avant publication, belle source formative et informative des priorités à ne pas laisser inaperçues au risque de laisser dériver certains comportements vers de moins en moins de liberté et de plus en plus d'injustice, participer à offrir un éclairage le plus proche possible de la réalité par autant d'études, d'évènements que de témoignages... Ceci sur le Monde entier

Présenter également la possibilité de progresser ensemble vers un mieux global en acceptant les différences

Au jour d'aujourd'hui, avec le départ de Jean du fait de sa santé, le site me semble avoir perdu le seul régulateur de coeur capable de maintenir une forme de tempérance et respect des uns par rapport aux autres, du moins ce que je constate à la lecture des interventions en lesquelles je ne vois que répétition de mêmes schémas sans chercher à tout poser avec soi-même et oser en profondeur tenter de changer ce qui peut conduire à améliorer, mais au contraire, perdurer et accroître une certaine mauvaise volonté à vouloir confronter les mots et les égos qui, nous le savons bien, ne mènent nulle part et font perdre notre précieux temps

Alors parfois venir y lire, peut-être quelquefois venir y poser un article de passage, et faire comme pratiquement les 3 000 lecteurs quotidiens, passer consommer de l'information sans jamais s'y impliquer, juste en qualité d'outil de progression qui à force de dilution, peut aussi porter de belles conséquences mais en tout cas, pas ici d'initiatives concrêtes et collectives vraiment pour le bien de tous et de chacun

Et continuer de cheminer en pensant qu'aujourd'hui est ainsi et continuer à tendre vers un à venir meilleur
Assez navrée que le but de Jean en qualité de non violence apolitique n'ait pas été perçu à sa juste valeur de coeur

La route est encore plus que très longue

KYZ.

OM MANI PEME HOUNG

Ces 6 ans ne sont surement pas perdus. Il y a de bonnes choses qui ont du en découler.

Et bien Karma Yéshé, merci d'être positive, mais j'ai quand même l'impression d'avoir perdu beaucoup de temps en tout cas le point positif c'est qu'aujourd'hui j'ai l'impression d'avoir retrouvé le temps. Quand aux bonnes choses ce sont les nouveaux amis que j'ai trouvé dans un contexte local (sans oublié mes amis de l'arbre aussi !), je me sens plus proche des gens. Le point noir c'est les anciens amis qui se disaient mes amis qui m'ont aujourd'hui tourné le dos... et ça ça fait quand même mal.

Tel est tout chemin de vie dont chaque pas est voyage libre et sans bagage

KYZ.

Oui, aujourd'hui je comprends KYZ. Merci.

Bien sûr, je ne peux pas juger ce que je ne connais pas mais par expérience je sais qu'avec le recul de chaque chose négative qui nous arrive sort une par de bonne chose. Et si pendant c'est 6 ans tu as été droit et juste, il est impossible que rien de positif n'en ressorte. Tôt ou tard cela t'apparaitra.

J'espère avoir fait de mon mieux...