Susokukan taiyô : "Les grandes lignes de la contemplation du compte des respirations"
samedi 20 mars 2010, par Buddhachannel Fr.
Langues :
Dans ce texte intitulé "Les grandes lignes de la contemplation du compte des respirations" (Susokukan taiyô), Jiun Sonja (1718-1804), décrit brièvement la méditation sur la respiration telle qu’elle fut pratiquée pendant des siècles et encore aujourd’hui en Extrême-Orient. Cette méditation se divise en deux parties, d’abord, le décompte des respirations (jap. susoku), généralement de un à dix, que l’on suit pendant plusieurs mois ou plusieurs années, avant de s’exercer à l’attention à la respiration (jap. zuisoku), la deuxième phase de cette méditation.
La méditation sur la respiration (skt. ânâpâsmrti, jap. ampan) et la contemplation de l’impur (skt. ashuba-bhâvânâ, jap. fujôkan, où l’on visualise la décomposition d’un cadavre) furent parmi les premières méthodes de méditation utilisées en Chine. Elles ne sont pas reprises dans la tradition zen qui les rangent dans les techniques relevant du Petit Véhicule, néanmoins le décompte des respirations y est parfois utilisé comme technique préparatoire à la méditation elle-même (systématiquement dans le zen rinzai japonais).
Jiun Sonja, est l’une des grandes figures du bouddhisme japonais. Moine de la tradition shingon, il fonda le courant dit de "la discipline de la vraie loi" (jap. Shôbôritsu). Son oeuvre est essentiellement consacrée aux préceptes bouddhiques, au kesa (la robe bouddhique), et aux études sanskrites. Il étudia trois années le zen sôtô sous la direction du maître Daibai au temple de Shôanji, dans la province de Shinano.
Nous déconseillons de pratiquer la technique décrite par Jiun sans l’aide d’un enseignant qualifié.
Au printemps de l’année kanoe-saru [1], au temple d’Amidaji à Ukyô [2], pour la communauté, je parlais de la méthode de la contemplation d’ânâpâna [3]. A ce moment-là, Jôchi demanda qu’en soit fait un résumé écrit. Ceci répond à sa demande.
En donnant les deux méthodes d’ambroisie, le grand saint vénéré du monde [4] a secouru les quatre groupes de disciples [5]. La première est la méthode de la contemplation de l’impur [6] ; la seconde, la méthode de la contemplation du compte des respirations. Pour tout simplement couper court à la maladie du désir, la contemplation de l’impur est essentielle. Plus généralement, pour dompter toutes les passions, on s’exercera à la contemplation du compte des respirations. Le compte des respirations possède seize vertus extraordinaires. Tout d’abord, on assoira calmement l’esprit ; prenant soit le demi-lotus, soit le lotus complet, on arrangera convenablement sa posture. On connaîtra la phase de régression, la phase d’arrêt, la phase d’avancement et la phase de vérification. D’abord, on commence à compter de un jusqu’à dix. Avoir entre-temps des pensées dispersées correspond à la phase de régression. Par la honte et le repentir, on perséverera encore. Sans se disperser de un jusqu’à dix, demeurer toujours à l’aise dans l’assise correspond à la phase d’arrêt, mais une fois arrêté, il faut encore avancer. On compte deux comme s’il s’agissait d’un, on compte trois comme s’il s’agissait d’un. Si l’on parvient à compter jusqu’à quatre et cinq comme s’il s’agissait d’un, on sait que cette assise est paix et joie. On parviendra ensuite à prendre sept, huit, neuf et dix comme la première respiration. L’assise est parfaitement paisible, il s’agit de la phase d’arrêt dans la progression graduelle. A partir de ce moment là, on délaissera le compte des respirations pour pratiquer l’attention à la respiration. Lorsqu’on expire, on sait qu’on expire, lorsqu’on inspire, on sait qu’on inspire, on reconnaît pleinement toutes les respirations qu’elles soient longues ou courtes, rugueuses ou fines, profondes ou superficielles. C’est la phase d’avancement. Lorsque cette phase d’avancement s’unifie avec l’assise dans la tranquillité on atteindra une phase d’arrêt. Une fois arrêté, on ne s’arrête pas là mais on avance encore. Quelque chose apparaît, une vision ou une sensation. Dans la sensation, les sensations de légèreté, de lourdeur, de chaleur, de froideur s’élèvent à partir du parcours du souffle vital et emplissent tout le corps. Cette sensation est dû à la préservation du pouvoir de la concentration. Toutes les parties du corps sont unifiées avec la concentration. Dans la vision, on voit la couleur blanche comme origine. Le bleu, le jaune, le rouge, etc., s’élèvent à partir du parcours du souffle et emplissent tout le corps. Puis jusqu’à un dhanus, deux dhanus [7], un krosha [8], un yojana [9], une fois atteint la phase d’avancement, on dit qu’on voit le monde entier. Atteint la phase de vérification, on meurt ici, on naît là-bas, il est dit que tous obtiennent la liberté.
La méthode du compte des respirations se pratique des mois et des années durant et quand les pensées dispersées n’apparaissent plus on suit l’attention à la respiration. La longue se reconnaît par elle-même, la courte se reconnaît par elle-même, la rugueuse se reconnaît par elle-même, la fine se reconnaît par elle-même, les respirations chaude et froide se reconnaissent tout autant par elles-mêmes. A partir de là, on atteint une vision ou une sensation. En s’amplifiant, tout le corps s’en trouve empli, on éprouve cette sensation, cette règle de la quiétude apparaît. Lorsque l’intérieur et l’extérieur sont unifiés, le rayonnement respiratoire atteindra un hasta, deux hasta, quatre hasta [10], un krosha, un yojana. Il est dit qu’il remplit même jusqu’à la totalité du réel. Lorsque l’intérieur et l’extérieur sont harmonisés, un seul instant présent pénètre jusqu’aux confins du passé et du futur. Il est dit que l’on voit, que l’on ressent même l’ainsi-venu qui a réalisé l’éveil dans un passé immensément lointain.
Ci-dessus résumé.
Notes :
[1] 1800.
[2] Quartier de Kyôto.
[3] ânâpâna, skt. "expiration et inspiration", la méditation sur la respiration.
[4] Le Bouddha Shâkyamuni.
[5] Les moines, les moniales, les laïques hommes, les laïques femmes.
[6] La méditation sur la décomposition du corps humain.
[7] Unité de longueur indienne (environ 1,50 m).
[8] Unité de longueur indienne valant 2 000 dhanus.
[9] Unité de longueur indienne valant quatre krosha.
[10] Unité de longueur indienne valant 1/4 de dhanus.
Source : Jiun sonja hôgô shû, "Recueil des sermons du vénérable Jiun", Sammitsudô, Kyôto, pp. 344-345.
Traduit du japonais (bungo) par Eric Rommeluère. Version de mars 2006.
Ce texte vient de Un Zen Occidental
Cet article ne peut pas être reproduit en totalité ou en partie sans l’accord préalable de Un Zen Occidental
www.buddhachannel.tv
samedi 20 mars 2010, par Buddhachannel Fr.
Langues :
Dans ce texte intitulé "Les grandes lignes de la contemplation du compte des respirations" (Susokukan taiyô), Jiun Sonja (1718-1804), décrit brièvement la méditation sur la respiration telle qu’elle fut pratiquée pendant des siècles et encore aujourd’hui en Extrême-Orient. Cette méditation se divise en deux parties, d’abord, le décompte des respirations (jap. susoku), généralement de un à dix, que l’on suit pendant plusieurs mois ou plusieurs années, avant de s’exercer à l’attention à la respiration (jap. zuisoku), la deuxième phase de cette méditation.
La méditation sur la respiration (skt. ânâpâsmrti, jap. ampan) et la contemplation de l’impur (skt. ashuba-bhâvânâ, jap. fujôkan, où l’on visualise la décomposition d’un cadavre) furent parmi les premières méthodes de méditation utilisées en Chine. Elles ne sont pas reprises dans la tradition zen qui les rangent dans les techniques relevant du Petit Véhicule, néanmoins le décompte des respirations y est parfois utilisé comme technique préparatoire à la méditation elle-même (systématiquement dans le zen rinzai japonais).
Jiun Sonja, est l’une des grandes figures du bouddhisme japonais. Moine de la tradition shingon, il fonda le courant dit de "la discipline de la vraie loi" (jap. Shôbôritsu). Son oeuvre est essentiellement consacrée aux préceptes bouddhiques, au kesa (la robe bouddhique), et aux études sanskrites. Il étudia trois années le zen sôtô sous la direction du maître Daibai au temple de Shôanji, dans la province de Shinano.
Nous déconseillons de pratiquer la technique décrite par Jiun sans l’aide d’un enseignant qualifié.
Au printemps de l’année kanoe-saru [1], au temple d’Amidaji à Ukyô [2], pour la communauté, je parlais de la méthode de la contemplation d’ânâpâna [3]. A ce moment-là, Jôchi demanda qu’en soit fait un résumé écrit. Ceci répond à sa demande.
En donnant les deux méthodes d’ambroisie, le grand saint vénéré du monde [4] a secouru les quatre groupes de disciples [5]. La première est la méthode de la contemplation de l’impur [6] ; la seconde, la méthode de la contemplation du compte des respirations. Pour tout simplement couper court à la maladie du désir, la contemplation de l’impur est essentielle. Plus généralement, pour dompter toutes les passions, on s’exercera à la contemplation du compte des respirations. Le compte des respirations possède seize vertus extraordinaires. Tout d’abord, on assoira calmement l’esprit ; prenant soit le demi-lotus, soit le lotus complet, on arrangera convenablement sa posture. On connaîtra la phase de régression, la phase d’arrêt, la phase d’avancement et la phase de vérification. D’abord, on commence à compter de un jusqu’à dix. Avoir entre-temps des pensées dispersées correspond à la phase de régression. Par la honte et le repentir, on perséverera encore. Sans se disperser de un jusqu’à dix, demeurer toujours à l’aise dans l’assise correspond à la phase d’arrêt, mais une fois arrêté, il faut encore avancer. On compte deux comme s’il s’agissait d’un, on compte trois comme s’il s’agissait d’un. Si l’on parvient à compter jusqu’à quatre et cinq comme s’il s’agissait d’un, on sait que cette assise est paix et joie. On parviendra ensuite à prendre sept, huit, neuf et dix comme la première respiration. L’assise est parfaitement paisible, il s’agit de la phase d’arrêt dans la progression graduelle. A partir de ce moment là, on délaissera le compte des respirations pour pratiquer l’attention à la respiration. Lorsqu’on expire, on sait qu’on expire, lorsqu’on inspire, on sait qu’on inspire, on reconnaît pleinement toutes les respirations qu’elles soient longues ou courtes, rugueuses ou fines, profondes ou superficielles. C’est la phase d’avancement. Lorsque cette phase d’avancement s’unifie avec l’assise dans la tranquillité on atteindra une phase d’arrêt. Une fois arrêté, on ne s’arrête pas là mais on avance encore. Quelque chose apparaît, une vision ou une sensation. Dans la sensation, les sensations de légèreté, de lourdeur, de chaleur, de froideur s’élèvent à partir du parcours du souffle vital et emplissent tout le corps. Cette sensation est dû à la préservation du pouvoir de la concentration. Toutes les parties du corps sont unifiées avec la concentration. Dans la vision, on voit la couleur blanche comme origine. Le bleu, le jaune, le rouge, etc., s’élèvent à partir du parcours du souffle et emplissent tout le corps. Puis jusqu’à un dhanus, deux dhanus [7], un krosha [8], un yojana [9], une fois atteint la phase d’avancement, on dit qu’on voit le monde entier. Atteint la phase de vérification, on meurt ici, on naît là-bas, il est dit que tous obtiennent la liberté.
La méthode du compte des respirations se pratique des mois et des années durant et quand les pensées dispersées n’apparaissent plus on suit l’attention à la respiration. La longue se reconnaît par elle-même, la courte se reconnaît par elle-même, la rugueuse se reconnaît par elle-même, la fine se reconnaît par elle-même, les respirations chaude et froide se reconnaissent tout autant par elles-mêmes. A partir de là, on atteint une vision ou une sensation. En s’amplifiant, tout le corps s’en trouve empli, on éprouve cette sensation, cette règle de la quiétude apparaît. Lorsque l’intérieur et l’extérieur sont unifiés, le rayonnement respiratoire atteindra un hasta, deux hasta, quatre hasta [10], un krosha, un yojana. Il est dit qu’il remplit même jusqu’à la totalité du réel. Lorsque l’intérieur et l’extérieur sont harmonisés, un seul instant présent pénètre jusqu’aux confins du passé et du futur. Il est dit que l’on voit, que l’on ressent même l’ainsi-venu qui a réalisé l’éveil dans un passé immensément lointain.
Ci-dessus résumé.
Notes :
[1] 1800.
[2] Quartier de Kyôto.
[3] ânâpâna, skt. "expiration et inspiration", la méditation sur la respiration.
[4] Le Bouddha Shâkyamuni.
[5] Les moines, les moniales, les laïques hommes, les laïques femmes.
[6] La méditation sur la décomposition du corps humain.
[7] Unité de longueur indienne (environ 1,50 m).
[8] Unité de longueur indienne valant 2 000 dhanus.
[9] Unité de longueur indienne valant quatre krosha.
[10] Unité de longueur indienne valant 1/4 de dhanus.
Source : Jiun sonja hôgô shû, "Recueil des sermons du vénérable Jiun", Sammitsudô, Kyôto, pp. 344-345.
Traduit du japonais (bungo) par Eric Rommeluère. Version de mars 2006.
Ce texte vient de Un Zen Occidental
Cet article ne peut pas être reproduit en totalité ou en partie sans l’accord préalable de Un Zen Occidental
www.buddhachannel.tv
Mar 14 Mai 2024, 21:22 par Disciple laïc
» Les voeux de Bodhisattva
Ven 10 Mai 2024, 09:24 par Mila
» Jour de ROUE important dans le calendrier Bouddhiste
Ven 10 Mai 2024, 09:20 par Mila
» Saga Dawa 2024 ( du 9 mai au 6 juin 2024 )
Ven 10 Mai 2024, 09:09 par Mila
» Bertrand Piccard, son dernier livre ( 2021 )
Lun 06 Mai 2024, 09:41 par Pema Gyaltshen
» Blessé au visage , un orang-outan se soigne avec un pansement végétal
Sam 04 Mai 2024, 20:17 par Mila
» Découvrez les Bienfaits du Bouddhisme Tibétain pour une Vie Équilibrée
Lun 29 Avr 2024, 12:52 par Puntsok Norling
» Drouptcheu de Keuntchok Tchidu
Dim 21 Avr 2024, 12:02 par Mila
» Citation de Richard Gere ( Article du journal : AuFéminin )
Ven 19 Avr 2024, 15:31 par arcane 17
» Cinquantenaire de la fondation de Palden Shangpa La Boulaye
Ven 05 Avr 2024, 19:05 par Nangpa
» Bonne Nouvelle chrétienne et Bonne Nouvelle bouddhiste
Lun 01 Avr 2024, 10:34 par Algo
» Les problèmes de la méditation de pleine conscience
Lun 01 Avr 2024, 09:31 par Pema Gyaltshen
» Qu’entend-on vraiment par « tout vient de l’esprit » ?
Sam 23 Mar 2024, 11:38 par Nidjam
» Bouddhisme vajrayāna : Instructions sur le Mahāmudrā
Ven 22 Mar 2024, 15:02 par Nidjam
» Méditation : Qu'est ce que l'esprit sans réfèrence ?
Ven 22 Mar 2024, 14:11 par Nidjam
» Des arbres , pour l'Arbre .
Dim 17 Mar 2024, 11:35 par Mila
» Bouddha n'était pas non violent...
Jeu 14 Mar 2024, 01:02 par Pieru
» Lankavatara Sutra ----------------------------------------------------
Lun 11 Mar 2024, 13:52 par heyopibe
» Mauvaise compréhension - besoin d'explication
Ven 08 Mar 2024, 18:51 par Nidjam
» Bonjour à tous de la part de Pieru
Jeu 07 Mar 2024, 13:53 par Pieru
» Le Discours entre un Roi et un Moine : Les Questions de Milinda
Ven 01 Mar 2024, 13:23 par Nidjam
» Le Bonheur est déjà là , par Gyalwang Drukpa Rimpoché
Jeu 29 Fév 2024, 18:39 par Nidjam
» Une pratique toute simple : visualisez que tout le monde est guéri ....
Jeu 29 Fév 2024, 18:06 par Nidjam
» Drapeaux de prière - l'aspiration à un bien-être universel
Jeu 29 Fév 2024, 17:30 par Puntsok Norling
» Déterminisme: Le Choix est-il une illusion ?
Jeu 29 Fév 2024, 17:28 par Nidjam
» Initiations par H.E. Ling Rimpoché
Ven 23 Fév 2024, 08:54 par Mila
» Bonne année Dragon de Bois à toutes et à tous
Sam 10 Fév 2024, 23:02 par Karma Trindal
» Bouddhisme/-Science de l'esprit : Identité et non-identité
Ven 09 Fév 2024, 12:56 par heyopibe
» Déclaration commune concernant la réincarnation de Kunzig Shamar Rinpoché
Lun 05 Fév 2024, 12:16 par Nangpa
» Les souhaits de Maitreya , par le 12e Kenting Taï Situ Rimpoché
Lun 05 Fév 2024, 09:28 par heyopibe
» L'Interdépendance selon les enseignements du Lamrim
Lun 05 Fév 2024, 09:27 par heyopibe
» Qu'est-ce que l'essence de la voie du Dharma ?
Mar 09 Jan 2024, 19:52 par Puntsok Norling
» Quelles sont les règles respectées dans les temples bouddhistes tibétain
Ven 05 Jan 2024, 10:48 par Nangpa
» Toute l'équipe de L'Arbre des Refuges vous souhaite ses Meilleurs Voeux pour 2024!
Mer 03 Jan 2024, 12:14 par Nutts
» Le Singe
Sam 30 Déc 2023, 21:38 par Karma Trindal
» Le Buffle
Ven 29 Déc 2023, 23:24 par petit_caillou
» Le Tigre
Ven 29 Déc 2023, 23:21 par petit_caillou
» Le Lapin (ou Chat)
Ven 29 Déc 2023, 23:18 par petit_caillou
» Le Coq
Ven 29 Déc 2023, 23:15 par petit_caillou
» La Chèvre (ou Mouton)
Ven 29 Déc 2023, 23:12 par petit_caillou
» Le Dragon
Lun 25 Déc 2023, 14:14 par petit_caillou
» Le Serpent
Lun 25 Déc 2023, 14:09 par petit_caillou
» Le Cochon
Lun 25 Déc 2023, 13:59 par petit_caillou
» L'année du Dragon de bois 2024
Sam 23 Déc 2023, 00:04 par petit_caillou
» Le Cheval
Ven 22 Déc 2023, 23:59 par petit_caillou
» Le Chien
Ven 22 Déc 2023, 23:54 par petit_caillou
» Le Rat
Ven 22 Déc 2023, 23:48 par petit_caillou
» L'Eco Dharma .................................................
Lun 27 Nov 2023, 15:28 par heyopibe
» Shantideva: Bodhicaryâvatâra
Sam 11 Nov 2023, 16:25 par Admin
» J'irai dormir chez vous (émission TV)
Ven 10 Nov 2023, 19:35 par Disciple laïc
» Dharma Appliqué: Présentation de la rubrique
Jeu 09 Nov 2023, 16:21 par Mila
» Le Bonheur National Brut
Jeu 09 Nov 2023, 11:34 par heyopibe
» Le champ d'application ...................................
Jeu 09 Nov 2023, 11:02 par heyopibe
» Les Quatre Nobles Vérités -------------------------------------
Mer 08 Nov 2023, 11:40 par heyopibe
» Sages paroles de Kandro Rimoché .
Mar 07 Nov 2023, 19:58 par Mila
» Tout ce qu'on sait sur la mort - Dialogue avec Stéphane Allix
Lun 06 Nov 2023, 19:26 par Nangpa
» Une annonce tardive ....Au Revoir , Léa ...
Jeu 02 Nov 2023, 12:55 par Mila
» Les 6 aspects de la Perception Correcte
Mer 01 Nov 2023, 12:37 par heyopibe
» Un milliardaire donne tout aux bonnes œuvres
Mer 01 Nov 2023, 10:25 par heyopibe
» Se préparer à la mort, conférence Louvain La Neuve
Lun 30 Oct 2023, 17:37 par Pema Gyaltshen
» Colloques Bardos Louvain La Neuve
Lun 30 Oct 2023, 17:34 par Pema Gyaltshen
» Quatorze versets sur la méditation
Lun 30 Oct 2023, 14:45 par Ortho
» KANNON, Bodhisattva de la compassion
Dim 29 Oct 2023, 14:06 par Mila
» La situation internationale et le Moyen-Orient
Dim 29 Oct 2023, 08:54 par Disciple laïc
» Chaine You Tube recommandée positive : The Dodo
Sam 28 Oct 2023, 22:33 par Disciple laïc
» ASBL L'Arbre des Refuges: Présentation du Projet
Lun 23 Oct 2023, 19:43 par Karma Trindal
» Boîte aux lettres " Besoin de prières"
Lun 23 Oct 2023, 19:28 par Karma Trindal
» Décès du Lama TEUNSANG après avoir traversé des mois de maladie.
Lun 23 Oct 2023, 19:23 par Karma Trindal
» Que sont nos amis devenus ?
Lun 23 Oct 2023, 19:20 par Karma Trindal
» Rencontres avec le Bouddha à travers les Udana
Dim 15 Oct 2023, 21:35 par Disciple laïc
» Deux conférences à propos de Karmapakshi
Ven 06 Oct 2023, 23:17 par Mila
» Rituel annuel, Drouptcheu de Karmapakshi , à Bruxelles
Ven 06 Oct 2023, 22:50 par Mila
» La Bonne nouvelle du Salut
Lun 02 Oct 2023, 08:03 par Disciple laïc
» On nait mis en boîte ! .....................
Dim 01 Oct 2023, 17:55 par Disciple laïc
» Médecines d'Asie - l'Art de l'équilibre 1ère et 2ème partie
Lun 18 Sep 2023, 10:52 par Mila