Restez zen, succombez à la méditation
Catherine Makereel
mercredi 9 avril 2014, 15h01
Chez soi, au boulot, à l’école : on la pratique partout. Finie l’image d’une pratique mystique en lévitation, la méditation, emportée par le phénomène de la pleine conscience, est devenue hyper branchée.
l
Dépassés les cours de zumba ou les kilomètres sur le tapis roulant de la salle de fitness ! Aujourd’hui, le must pour décompresser, oublier le stress de la journée, se vider du bruit et de la fureur d’une société qui avance à toute vitesse, c’est la méditation. Ce qui était, il y a peu, l’apanage de quelques mystiques ou illuminés, est devenu un véritable phénomène de mode, pratiqué par de plus en plus d’Occidentaux désireux de retrouver un peu d’équilibre physique et mental dans notre monde de brutes. Les séances de pleine conscience (forme de méditation) pullulent sur les forums de bien-être, les livres sur la méditation font crouler les têtes de gondoles des librairies, les magazines y consacrent des dossiers entiers. On voit même débarquer la méditation dans les écoles, les hôpitaux ou les entreprises, mais surtout de plus en plus d’individus – mères de famille, chefs d’entreprise, chômeurs – s’y adonnent, chez eux, avec un bon coussin et quelques rudiments de respiration zen.
Pourquoi un tel succès ? D’après Fabrice Midal, fondateur de l’Ecole occidentale de méditation à Paris, la pratique a quitté la sphère religieuse pour se laïciser : « La méditation n’est plus quelque chose de mystique. C’est très concret et ça s’applique à chacun d’entre nous. Avec l’arrivée des CD, ça s’est largement démocratisé. Plus besoin de trouver un centre bouddhique ou un autre espace spécialisé. La méditation est une pédagogie à la portée de tous pour apprendre à porter son attention, de manière délibérée, au moment présent. Pour faire du sport, il faut être en bonne condition physique. Pour faire de la musique, il faut un certain talent, mais pour méditer, il suffit de savoir respirer. Ça ne requiert pas des années de pratique ni de longs exercices de technique posturale. Une chaise et un peu de calme suffisent. »
Par ailleurs, de plus en plus d’études scientifiques tendent à démontrer que cette pratique aurait des effets bénéfiques sur le cerveau, la concentration, la créativité, la résistance au stress, et même sur le traitement de certaines maladies. « La méditation aurait par exemple un impact sur les rechutes de la dépression », affirme Fabrice Midal.
Même le monde de l’entreprise s’y met. Aux Etats-Unis, des sociétés comme Google ont introduit des programmes de pleine conscience pour leurs employés. De plus en plus de directeurs d’entreprises, sous le joug de la pression, de l’immédiateté et de la performance, réfléchissent à la manière d’utiliser la pleine conscience pour agir plus librement et sereinement face aux prises de décision. Mais pour la majorité des pratiquants, la méditation serait une manière de mieux se recentrer, d’apprendre à dissocier ses pensées ou ses émotions du moment présent, pour être plus disponible aux autres et au monde. Si certains y voient un simple phénomène de mode comme a pu l’être le yoga, d’autres y voient une planche de salut à notre société débordée.
Quels sont les bienfaits de la méditation ?
Être dans le présent
Voilà qui paraît facile mais n’est pourtant pas si évident. Pris par ses pensées et ses émotions, on pense souvent être présent quand on ne l’est pas du tout. Méditer, c’est entrer en rapport avec ce que l’on est. Etre là, simplement. « Porter attention à sa respiration peut aider à s’ancrer dans le présent, souligne Fabrice Midal. Des pensées arrivent, on les regarde, on les laisse passer et on revient dans le présent. On apprend ainsi à faire la différence entre nos pensées, nos émotions, et le moment présent. » Débarrassé du chaos émotionnel et du bavardage mental, on apprend à être plus disponible à soi et aux autres. « C’est plus qu’un outil anti-stress, témoigne Marie-Laure, chef d’entreprise et mère de famille. Ça permet de développer une intelligence plus directe, plus corporelle, moins intellectuelle. Au fur et à mesure, on acquiert plus de confiance en soi parce qu’on se connaît mieux. Ce n’est pas un exercice d’intériorisation mais au contraire, on apprend à s’ouvrir. On reprend prise sur sa vie. »
Être dans la détente
« Dans notre vie professionnelle, on passe son temps à penser, à se concentrer, mais la méditation, c’est le contraire : c’est un temps où on peut se laisser être, analyse Laurent, autre adepte de la méditation. On apprend à être ouvert, attentif. C’est un moment où l’on n’est pas dans la concentration mais dans le détachement. Les pensées et les émotions sont présentes, mais on ne s’y accroche pas, on s’en détache. » C’est dans cette optique que certaines écoles introduisent la méditation à l’école. « Il n’y a pas d’âge pour méditer et même les enfants ont cette capacité, explique Laurence, dont la benjamine, de 4 ans, commence chaque journée par quelques minutes de silence dans sa classe. On demande tellement de rendement aux enfants aujourd’hui que leur offrir un petit espace où ils peuvent ne plus être dans la performance, ça peut être vital. L’école a pu mesurer les bénéfices de cette pratique en termes d’attention notamment. »
Être bienveillant
Apprendre à ne plus s’identifier à ses pensées et à ses émotions apporterait un meilleur sens de l’humour et un rapport plus tendre vis-à-vis de soi et des autres. « Ça permet de surmonter toute forme de découragement, souligne Fabrice Midal. Ça donne de l’allant et un sentiment de confiance parce qu’on voit mieux ce que l’on est. On en acquiert un plus grand sens de douceur envers soi. On se parle souvent à soi avec beaucoup de violence. On est plus dur envers soi qu’on oserait l’être avec les autres. La méditation nous questionne. Loin d’indiquer un repli sur soi, elle nous permet de découvrir que nous sommes plus libres que nous ne le pensons. » Entre les adeptes de la méditation en entreprise, qui prétendent qu’elle rend les « managers plus calmes, plus empathiques et plus altruistes » (Bill George, professeur de pratiques managériales à la Harvard Business School), et ceux qui lui confèrent un rôle politique et social à une époque en manque de cohésion et de lien, il est fort probable que la méditation poursuive son irrésistible ascension.
Catherine Makereel
mercredi 9 avril 2014, 15h01
Chez soi, au boulot, à l’école : on la pratique partout. Finie l’image d’une pratique mystique en lévitation, la méditation, emportée par le phénomène de la pleine conscience, est devenue hyper branchée.
l
Dépassés les cours de zumba ou les kilomètres sur le tapis roulant de la salle de fitness ! Aujourd’hui, le must pour décompresser, oublier le stress de la journée, se vider du bruit et de la fureur d’une société qui avance à toute vitesse, c’est la méditation. Ce qui était, il y a peu, l’apanage de quelques mystiques ou illuminés, est devenu un véritable phénomène de mode, pratiqué par de plus en plus d’Occidentaux désireux de retrouver un peu d’équilibre physique et mental dans notre monde de brutes. Les séances de pleine conscience (forme de méditation) pullulent sur les forums de bien-être, les livres sur la méditation font crouler les têtes de gondoles des librairies, les magazines y consacrent des dossiers entiers. On voit même débarquer la méditation dans les écoles, les hôpitaux ou les entreprises, mais surtout de plus en plus d’individus – mères de famille, chefs d’entreprise, chômeurs – s’y adonnent, chez eux, avec un bon coussin et quelques rudiments de respiration zen.
Pourquoi un tel succès ? D’après Fabrice Midal, fondateur de l’Ecole occidentale de méditation à Paris, la pratique a quitté la sphère religieuse pour se laïciser : « La méditation n’est plus quelque chose de mystique. C’est très concret et ça s’applique à chacun d’entre nous. Avec l’arrivée des CD, ça s’est largement démocratisé. Plus besoin de trouver un centre bouddhique ou un autre espace spécialisé. La méditation est une pédagogie à la portée de tous pour apprendre à porter son attention, de manière délibérée, au moment présent. Pour faire du sport, il faut être en bonne condition physique. Pour faire de la musique, il faut un certain talent, mais pour méditer, il suffit de savoir respirer. Ça ne requiert pas des années de pratique ni de longs exercices de technique posturale. Une chaise et un peu de calme suffisent. »
Par ailleurs, de plus en plus d’études scientifiques tendent à démontrer que cette pratique aurait des effets bénéfiques sur le cerveau, la concentration, la créativité, la résistance au stress, et même sur le traitement de certaines maladies. « La méditation aurait par exemple un impact sur les rechutes de la dépression », affirme Fabrice Midal.
Même le monde de l’entreprise s’y met. Aux Etats-Unis, des sociétés comme Google ont introduit des programmes de pleine conscience pour leurs employés. De plus en plus de directeurs d’entreprises, sous le joug de la pression, de l’immédiateté et de la performance, réfléchissent à la manière d’utiliser la pleine conscience pour agir plus librement et sereinement face aux prises de décision. Mais pour la majorité des pratiquants, la méditation serait une manière de mieux se recentrer, d’apprendre à dissocier ses pensées ou ses émotions du moment présent, pour être plus disponible aux autres et au monde. Si certains y voient un simple phénomène de mode comme a pu l’être le yoga, d’autres y voient une planche de salut à notre société débordée.
Quels sont les bienfaits de la méditation ?
Être dans le présent
Voilà qui paraît facile mais n’est pourtant pas si évident. Pris par ses pensées et ses émotions, on pense souvent être présent quand on ne l’est pas du tout. Méditer, c’est entrer en rapport avec ce que l’on est. Etre là, simplement. « Porter attention à sa respiration peut aider à s’ancrer dans le présent, souligne Fabrice Midal. Des pensées arrivent, on les regarde, on les laisse passer et on revient dans le présent. On apprend ainsi à faire la différence entre nos pensées, nos émotions, et le moment présent. » Débarrassé du chaos émotionnel et du bavardage mental, on apprend à être plus disponible à soi et aux autres. « C’est plus qu’un outil anti-stress, témoigne Marie-Laure, chef d’entreprise et mère de famille. Ça permet de développer une intelligence plus directe, plus corporelle, moins intellectuelle. Au fur et à mesure, on acquiert plus de confiance en soi parce qu’on se connaît mieux. Ce n’est pas un exercice d’intériorisation mais au contraire, on apprend à s’ouvrir. On reprend prise sur sa vie. »
Être dans la détente
« Dans notre vie professionnelle, on passe son temps à penser, à se concentrer, mais la méditation, c’est le contraire : c’est un temps où on peut se laisser être, analyse Laurent, autre adepte de la méditation. On apprend à être ouvert, attentif. C’est un moment où l’on n’est pas dans la concentration mais dans le détachement. Les pensées et les émotions sont présentes, mais on ne s’y accroche pas, on s’en détache. » C’est dans cette optique que certaines écoles introduisent la méditation à l’école. « Il n’y a pas d’âge pour méditer et même les enfants ont cette capacité, explique Laurence, dont la benjamine, de 4 ans, commence chaque journée par quelques minutes de silence dans sa classe. On demande tellement de rendement aux enfants aujourd’hui que leur offrir un petit espace où ils peuvent ne plus être dans la performance, ça peut être vital. L’école a pu mesurer les bénéfices de cette pratique en termes d’attention notamment. »
Être bienveillant
Apprendre à ne plus s’identifier à ses pensées et à ses émotions apporterait un meilleur sens de l’humour et un rapport plus tendre vis-à-vis de soi et des autres. « Ça permet de surmonter toute forme de découragement, souligne Fabrice Midal. Ça donne de l’allant et un sentiment de confiance parce qu’on voit mieux ce que l’on est. On en acquiert un plus grand sens de douceur envers soi. On se parle souvent à soi avec beaucoup de violence. On est plus dur envers soi qu’on oserait l’être avec les autres. La méditation nous questionne. Loin d’indiquer un repli sur soi, elle nous permet de découvrir que nous sommes plus libres que nous ne le pensons. » Entre les adeptes de la méditation en entreprise, qui prétendent qu’elle rend les « managers plus calmes, plus empathiques et plus altruistes » (Bill George, professeur de pratiques managériales à la Harvard Business School), et ceux qui lui confèrent un rôle politique et social à une époque en manque de cohésion et de lien, il est fort probable que la méditation poursuive son irrésistible ascension.
Lun 29 Avr 2024, 12:52 par Puntsok Norling
» Drouptcheu de Keuntchok Tchidu
Dim 21 Avr 2024, 12:02 par Mila
» Citation de Richard Gere ( Article du journal : AuFéminin )
Ven 19 Avr 2024, 15:31 par arcane 17
» Cinquantenaire de la fondation de Palden Shangpa La Boulaye
Ven 05 Avr 2024, 19:05 par Nangpa
» Bonne Nouvelle chrétienne et Bonne Nouvelle bouddhiste
Lun 01 Avr 2024, 10:34 par Algo
» Les problèmes de la méditation de pleine conscience
Lun 01 Avr 2024, 09:31 par Pema Gyaltshen
» Qu’entend-on vraiment par « tout vient de l’esprit » ?
Sam 23 Mar 2024, 11:38 par Nidjam
» Bouddhisme vajrayāna : Instructions sur le Mahāmudrā
Ven 22 Mar 2024, 15:02 par Nidjam
» Méditation : Qu'est ce que l'esprit sans réfèrence ?
Ven 22 Mar 2024, 14:11 par Nidjam
» Les voeux de Bodhisattva
Dim 17 Mar 2024, 11:43 par Mila
» Des arbres , pour l'Arbre .
Dim 17 Mar 2024, 11:35 par Mila
» Bouddha n'était pas non violent...
Jeu 14 Mar 2024, 01:02 par Pieru
» Lankavatara Sutra ----------------------------------------------------
Lun 11 Mar 2024, 13:52 par heyopibe
» Mauvaise compréhension - besoin d'explication
Ven 08 Mar 2024, 18:51 par Nidjam
» Bonjour à tous de la part de Pieru
Jeu 07 Mar 2024, 13:53 par Pieru
» Le Discours entre un Roi et un Moine : Les Questions de Milinda
Ven 01 Mar 2024, 13:23 par Nidjam
» Le Bonheur est déjà là , par Gyalwang Drukpa Rimpoché
Jeu 29 Fév 2024, 18:39 par Nidjam
» Une pratique toute simple : visualisez que tout le monde est guéri ....
Jeu 29 Fév 2024, 18:06 par Nidjam
» Drapeaux de prière - l'aspiration à un bien-être universel
Jeu 29 Fév 2024, 17:30 par Puntsok Norling
» Déterminisme: Le Choix est-il une illusion ?
Jeu 29 Fév 2024, 17:28 par Nidjam
» Initiations par H.E. Ling Rimpoché
Ven 23 Fév 2024, 08:54 par Mila
» Jour de ROUE important dans le calendrier Bouddhiste
Ven 23 Fév 2024, 08:42 par Mila
» Bonne année Dragon de Bois à toutes et à tous
Sam 10 Fév 2024, 23:02 par Karma Trindal
» Bouddhisme/-Science de l'esprit : Identité et non-identité
Ven 09 Fév 2024, 12:56 par heyopibe
» Déclaration commune concernant la réincarnation de Kunzig Shamar Rinpoché
Lun 05 Fév 2024, 12:16 par Nangpa
» Les souhaits de Maitreya , par le 12e Kenting Taï Situ Rimpoché
Lun 05 Fév 2024, 09:28 par heyopibe
» L'Interdépendance selon les enseignements du Lamrim
Lun 05 Fév 2024, 09:27 par heyopibe
» Amitābha: Le Grand Soutra de la Vie Infinie
Lun 29 Jan 2024, 22:53 par Disciple laïc
» Qu'est-ce que l'essence de la voie du Dharma ?
Mar 09 Jan 2024, 19:52 par Puntsok Norling
» Quelles sont les règles respectées dans les temples bouddhistes tibétain
Ven 05 Jan 2024, 10:48 par Nangpa
» Toute l'équipe de L'Arbre des Refuges vous souhaite ses Meilleurs Voeux pour 2024!
Mer 03 Jan 2024, 12:14 par Nutts
» Le Singe
Sam 30 Déc 2023, 21:38 par Karma Trindal
» Le Buffle
Ven 29 Déc 2023, 23:24 par petit_caillou
» Le Tigre
Ven 29 Déc 2023, 23:21 par petit_caillou
» Le Lapin (ou Chat)
Ven 29 Déc 2023, 23:18 par petit_caillou
» Le Coq
Ven 29 Déc 2023, 23:15 par petit_caillou
» La Chèvre (ou Mouton)
Ven 29 Déc 2023, 23:12 par petit_caillou
» Le Dragon
Lun 25 Déc 2023, 14:14 par petit_caillou
» Le Serpent
Lun 25 Déc 2023, 14:09 par petit_caillou
» Le Cochon
Lun 25 Déc 2023, 13:59 par petit_caillou
» L'année du Dragon de bois 2024
Sam 23 Déc 2023, 00:04 par petit_caillou
» Le Cheval
Ven 22 Déc 2023, 23:59 par petit_caillou
» Le Chien
Ven 22 Déc 2023, 23:54 par petit_caillou
» Le Rat
Ven 22 Déc 2023, 23:48 par petit_caillou
» L'Eco Dharma .................................................
Lun 27 Nov 2023, 15:28 par heyopibe
» Shantideva: Bodhicaryâvatâra
Sam 11 Nov 2023, 16:25 par Admin
» J'irai dormir chez vous (émission TV)
Ven 10 Nov 2023, 19:35 par Disciple laïc
» Dharma Appliqué: Présentation de la rubrique
Jeu 09 Nov 2023, 16:21 par Mila
» Le Bonheur National Brut
Jeu 09 Nov 2023, 11:34 par heyopibe
» Le champ d'application ...................................
Jeu 09 Nov 2023, 11:02 par heyopibe
» Les Quatre Nobles Vérités -------------------------------------
Mer 08 Nov 2023, 11:40 par heyopibe
» Sages paroles de Kandro Rimoché .
Mar 07 Nov 2023, 19:58 par Mila
» Tout ce qu'on sait sur la mort - Dialogue avec Stéphane Allix
Lun 06 Nov 2023, 19:26 par Nangpa
» Une annonce tardive ....Au Revoir , Léa ...
Jeu 02 Nov 2023, 12:55 par Mila
» Les 6 aspects de la Perception Correcte
Mer 01 Nov 2023, 12:37 par heyopibe
» Un milliardaire donne tout aux bonnes œuvres
Mer 01 Nov 2023, 10:25 par heyopibe
» Se préparer à la mort, conférence Louvain La Neuve
Lun 30 Oct 2023, 17:37 par Pema Gyaltshen
» Colloques Bardos Louvain La Neuve
Lun 30 Oct 2023, 17:34 par Pema Gyaltshen
» Quatorze versets sur la méditation
Lun 30 Oct 2023, 14:45 par Ortho
» KANNON, Bodhisattva de la compassion
Dim 29 Oct 2023, 14:06 par Mila
» La situation internationale et le Moyen-Orient
Dim 29 Oct 2023, 08:54 par Disciple laïc
» Chaine You Tube recommandée positive : The Dodo
Sam 28 Oct 2023, 22:33 par Disciple laïc
» ASBL L'Arbre des Refuges: Présentation du Projet
Lun 23 Oct 2023, 19:43 par Karma Trindal
» Boîte aux lettres " Besoin de prières"
Lun 23 Oct 2023, 19:28 par Karma Trindal
» Décès du Lama TEUNSANG après avoir traversé des mois de maladie.
Lun 23 Oct 2023, 19:23 par Karma Trindal
» Que sont nos amis devenus ?
Lun 23 Oct 2023, 19:20 par Karma Trindal
» Rencontres avec le Bouddha à travers les Udana
Dim 15 Oct 2023, 21:35 par Disciple laïc
» Deux conférences à propos de Karmapakshi
Ven 06 Oct 2023, 23:17 par Mila
» Rituel annuel, Drouptcheu de Karmapakshi , à Bruxelles
Ven 06 Oct 2023, 22:50 par Mila
» La Bonne nouvelle du Salut
Lun 02 Oct 2023, 08:03 par Disciple laïc
» On nait mis en boîte ! .....................
Dim 01 Oct 2023, 17:55 par Disciple laïc
» Médecines d'Asie - l'Art de l'équilibre 1ère et 2ème partie
Lun 18 Sep 2023, 10:52 par Mila
» Les derniers jours de Muhammad (et 3 autres ouvrage)
Jeu 14 Sep 2023, 22:31 par Disciple laïc
» Le bouddhisme face au monde contemporain
Jeu 14 Sep 2023, 22:23 par Disciple laïc
» Étudier "Le Chemin de la Grande Perfection"
Dim 03 Sep 2023, 18:50 par Puntsok Norling