Je transmet :
Il y a plus d'un demi-million d'animaux errants aux Philippines, et c'est juste l'histoire de l'une d'entre eux. Tengteng était un chaton errant agé de 1 mois qui vivait précairement sur les terrains de l'Université des Philippines à Diliman. Ceux qui l'ont connu ont parlé d'un chaton qui bénéficiait d'actes aléatoires de bonté comprenant des dons de nourriture, d'eau, et même un nouveau collier pour qu'elle se snete plus jolie. Elle a apprécié ces moments passagers mais heureux avec des étudiants qui lui ont donné une caresse ou deux, un frottement sur le ventre, et des tapotements sur sa tête. Les seules photographies connues de Tengten sont celles que vous voyez au-dessus. On peut indiquer que Tengteng n'avait pas la vie aussi dure que d'autres animaux errants aux Philippines, mais elle était sans source régulière de nourriture, d'une maison et d'une famille pour la protéger.
Tengteng, comme tous les animaux, était une enfant de dieu. Mais sa vie s'est terminée brusquement quand le 13 avril un étudiant de dseconde physique appelé Joseph Carlo Candare lui a pris la vie et s'en est vanté sur le Web. Sur son entrée de blog pour ce jour, M. Candare a de façon moqueuse appelé la mort de Tengteng "un Crime accidentel". Cependant, par d'autres comptes, le massacre de Tengteng était une attaque délibérée et sanguinaire alimentée par la haine viscérale et sadique de M. Candare pour les chats.
Combien de haine, pourriez-vous demander ?
M. Candare a été décrit prenant son élan en courant, sautant dans l'air, et puis retombant sur Tengteng avec toute la puissance de son poids et de son élan. Tengteng, qui ne devait pas peser plus de deux livres, a été écrasée sous le poids développé de l'homme. C'était un acte conscient, et M. Candare a eu des occasions suffisantes de changer d'avis. Cependant, un peu de vie a été laissée à Tengteng, et les dernières onces de force qu'elle a eue lui ont permis de chercher seule refuge dans un taudis où finalement elle est morte quelques temps plus tard. Le langage figuré horrifie, mais nous avons été épargnés des bruits de la mort qui doivent avoir été à glacer le sang. Le cri perçant atroce d'un chaton, l'écrasement de ses os, le rire du vainqueur, c'était un moment triomphant pour un mais inutilement tragique pour les autres.
Pourquoi devrions-nous nous inquiéter ?
Certains ont argué du fait que nous nous inquiétons trop d'un chaton qui n'appartenait a personne. Certains ont indiqué qu'il y avait beaucoup d'animaux errants ; pourquoi s'inquiêter de celui-ci ? Tous les animaux méritent le respect. Quand nous traitons sans respect un animal, cela en indique plus à notre sujet que l'animal. Ce n'est pas combien des animaux sont maltraités, mais c'est la connaissance qu'un crime le plus honteux a été commis sur un être sans défense et sensible qui nous incombe d'agir. De tels actes, de quelque manière qu'iils soient singuliers, offensent notre sens de la décence et de la droiture. S'il y a un animal maltraité, alors c'est un de trop. Quand nous sommes confrontés à la cruauté, nous devons la condamner. Les actes de cruauté viles envers des animaux, comme le massacre de Tengteng sont simplement inacceptables. Il faut le mettre à la lumière et la compassion veut que l'on se lève et que nous parlions au nom de ceux qui se font tuer par la force brutale.
Pourquoi parler pour ça ?
Vous ne devez pas. Je reproduis l'accueil du blog de M. Candare pour votre lecture. Ici, vous pouvez lire ses propres mots, sa confession indivuelle comme assassin en série de chats, son insincère douleur de conscience et sa menace non voilée d'en tuer plus dans un mois (texte original en itallyque) (traduction entre parenthèses) :
"Un crime accidentel. Premier jour. Le moment du déjeuner est venu. Sur notre sortie du vieux NIP j'ai vu le chat que j'ai presque tué mardi dernier. Maintenant chacun sait que je déteste des chats. C'est un sentiment inexplicable vers eux. Comme de la haine interne. Hindi ko talaga alam kung bakit pero anumang pagpipigil sa sarili ay hindi sapat upang mapangibabawan ang panggigil ko sa mga pusa. (Je ne sais vraiment pas pourquoi mon sang-froid n'est pas assez pour surmonter ma haine des chats) que je l'ai tirée par sa queue et je l'ai jeté. Alors comme un certain pro lutteur j'ai sauté sur lui et mes pieds ont écrasé son torse. Un claquement ! Je l'ai bien senti ! Mais le chat n'était pas mort.. Il courrait pour sa vie et juste comme j'étais sur le point de le rattraper là-dessus quelqu'un a hurlé : "Pwede bang pabayaan mo yung pusa?!" (Pouvez-vous laisser le chat tranquille ?). C'était instantané et involontaire. Je me suis arrêté sur ma lancée. Personne ne m'a jamais arrêté en assaillant des chats. Bien je devine qu'il y a toujours une première fois pour tout. Le chat est parti. Ou au moins c'est ce que j'ai pensé. Ainsi nous sommes allés déjeuner Mel, Jayson, Tracy et moi. Après le déjeuner, balik na sa kung anumang naiwang gawain (nous sommes retourné sur quelque travail non fini que nous avions). Puis Tracy et Mel m'ont demandé : "Hui Jc napatay mo yung pusa" (Hé, JC, tu as tué ce chat). Des heures plus tard, habang abala sa XRD (tandis qu'on travaillé au "XRD"), un type est entré. Tanong niya: " Sinong pumatay dun sa pusa?" (Il a demandé, qui a tué ce chat ?) Coup ! C'était moi. Coupable comme charge. I n'ai pas vu qu'il mourait pero sabi ni Myles [mais Myles a dit] qu'il a craché du sang ou au moins quelque chose qui y ressemblait. Je n'ai pas réalisé que je lui avais donné un coup mortel. Ce n'est pas la première fois que j'ai tué un chat mais cette fois c'était différent. Ainsi je pense que quelqu'un le possèdait. Bien il était trés bien aimé dans NIP de ce que j'ai entendu et j'ai juste achevé sa vie. Donc là je suis désolé. Et je n'en frapperai pas encore un pendant peut-être environ un mois. On se sent bien quand on le bat (un chat), mais vous sentez soudainement quelque chose d'étrange quand il s'éteint de manière permanente. C'est comme je me sens en ce moment. Et peut-être pour les jours suivants. Dang, suis-je un assassin en série de chat ?"
A qui faisons-nous appel ?
Nous faisons appel aux hauts fonctionnaires de l'université des Philippines (UP), à savoir le Dr. Sergio Cao, Chancelier de l'UP, Dr. Arnel Salvador, le Directeur de l'Institut National de Physiques à l'UPDiliman (U.P.) et au Dr. César Saloma, doyen de l'université de Science de l'UP.
Ces messieurs, dans leurs capacités respectives, ont l'autorité pour rendre des choses justes à l'université. Ils peuvent condamner, rejeter, et punir ceux qui pratiquent la cruauté animale dans les rangs de l'université. Ils sont des gardiens de la longue et illustre histoire de l'université. La conduite et la sûreté du corps d'étudiant sont sous leur portée. Nous, donc, invitons ces messieurs à appliquer la seule punition juste et appropriée pour M. Candare qui est une expulsion immédiate de l'université et pour aider à chercher l'attention médicale appropriée pour M. Candare.
Je demande mille signatures. Si vous êtes d'accord avec l'esprit de cette pétition, signez-svp le et offrez votre avis au bénéfice de ces messieurs instruits. Je signalerai des mises à jour quand des développements se produiront. Je vous remercie de l'aide pour engendrer une société des Philippines plus compatissante.
Il était question de charges criminelle "The Philippine Animal Welfare Society" (Paws) est en train de réunir les attestations des témoins qui ont vue ce qu'il s'est passé. Oui Mr Candare a violé les dispositions de la Loi du Bien-être Animal des Philippines, Loi de la République 8485. L'avocat volontaire de PAWS dressera l'acte légal contre Mr Candare
05/02/09
J'ai nommé Mr Candare John au poste initial car il s'est présenté comme tel sur un autre blog, mais quelqu'un m'a corrigé. Son vrai nom est Joseph Carlo Cadare
Vous pouvez exprimer votre mécontentement sur cette atrocité, mais s'il vous plait aucune menace personnelle à l’ egard de Mr Candare. Je dois soumettre cette pétition au Officiels de l'UP, je la veux claire et propre. Des commentaires aideront à l'impact de cette pétition. Merci
PETITION : http://www.thepetitionsite.com/petition/144299696
Il y a plus d'un demi-million d'animaux errants aux Philippines, et c'est juste l'histoire de l'une d'entre eux. Tengteng était un chaton errant agé de 1 mois qui vivait précairement sur les terrains de l'Université des Philippines à Diliman. Ceux qui l'ont connu ont parlé d'un chaton qui bénéficiait d'actes aléatoires de bonté comprenant des dons de nourriture, d'eau, et même un nouveau collier pour qu'elle se snete plus jolie. Elle a apprécié ces moments passagers mais heureux avec des étudiants qui lui ont donné une caresse ou deux, un frottement sur le ventre, et des tapotements sur sa tête. Les seules photographies connues de Tengten sont celles que vous voyez au-dessus. On peut indiquer que Tengteng n'avait pas la vie aussi dure que d'autres animaux errants aux Philippines, mais elle était sans source régulière de nourriture, d'une maison et d'une famille pour la protéger.
Tengteng, comme tous les animaux, était une enfant de dieu. Mais sa vie s'est terminée brusquement quand le 13 avril un étudiant de dseconde physique appelé Joseph Carlo Candare lui a pris la vie et s'en est vanté sur le Web. Sur son entrée de blog pour ce jour, M. Candare a de façon moqueuse appelé la mort de Tengteng "un Crime accidentel". Cependant, par d'autres comptes, le massacre de Tengteng était une attaque délibérée et sanguinaire alimentée par la haine viscérale et sadique de M. Candare pour les chats.
Combien de haine, pourriez-vous demander ?
M. Candare a été décrit prenant son élan en courant, sautant dans l'air, et puis retombant sur Tengteng avec toute la puissance de son poids et de son élan. Tengteng, qui ne devait pas peser plus de deux livres, a été écrasée sous le poids développé de l'homme. C'était un acte conscient, et M. Candare a eu des occasions suffisantes de changer d'avis. Cependant, un peu de vie a été laissée à Tengteng, et les dernières onces de force qu'elle a eue lui ont permis de chercher seule refuge dans un taudis où finalement elle est morte quelques temps plus tard. Le langage figuré horrifie, mais nous avons été épargnés des bruits de la mort qui doivent avoir été à glacer le sang. Le cri perçant atroce d'un chaton, l'écrasement de ses os, le rire du vainqueur, c'était un moment triomphant pour un mais inutilement tragique pour les autres.
Pourquoi devrions-nous nous inquiéter ?
Certains ont argué du fait que nous nous inquiétons trop d'un chaton qui n'appartenait a personne. Certains ont indiqué qu'il y avait beaucoup d'animaux errants ; pourquoi s'inquiêter de celui-ci ? Tous les animaux méritent le respect. Quand nous traitons sans respect un animal, cela en indique plus à notre sujet que l'animal. Ce n'est pas combien des animaux sont maltraités, mais c'est la connaissance qu'un crime le plus honteux a été commis sur un être sans défense et sensible qui nous incombe d'agir. De tels actes, de quelque manière qu'iils soient singuliers, offensent notre sens de la décence et de la droiture. S'il y a un animal maltraité, alors c'est un de trop. Quand nous sommes confrontés à la cruauté, nous devons la condamner. Les actes de cruauté viles envers des animaux, comme le massacre de Tengteng sont simplement inacceptables. Il faut le mettre à la lumière et la compassion veut que l'on se lève et que nous parlions au nom de ceux qui se font tuer par la force brutale.
Pourquoi parler pour ça ?
Vous ne devez pas. Je reproduis l'accueil du blog de M. Candare pour votre lecture. Ici, vous pouvez lire ses propres mots, sa confession indivuelle comme assassin en série de chats, son insincère douleur de conscience et sa menace non voilée d'en tuer plus dans un mois (texte original en itallyque) (traduction entre parenthèses) :
"Un crime accidentel. Premier jour. Le moment du déjeuner est venu. Sur notre sortie du vieux NIP j'ai vu le chat que j'ai presque tué mardi dernier. Maintenant chacun sait que je déteste des chats. C'est un sentiment inexplicable vers eux. Comme de la haine interne. Hindi ko talaga alam kung bakit pero anumang pagpipigil sa sarili ay hindi sapat upang mapangibabawan ang panggigil ko sa mga pusa. (Je ne sais vraiment pas pourquoi mon sang-froid n'est pas assez pour surmonter ma haine des chats) que je l'ai tirée par sa queue et je l'ai jeté. Alors comme un certain pro lutteur j'ai sauté sur lui et mes pieds ont écrasé son torse. Un claquement ! Je l'ai bien senti ! Mais le chat n'était pas mort.. Il courrait pour sa vie et juste comme j'étais sur le point de le rattraper là-dessus quelqu'un a hurlé : "Pwede bang pabayaan mo yung pusa?!" (Pouvez-vous laisser le chat tranquille ?). C'était instantané et involontaire. Je me suis arrêté sur ma lancée. Personne ne m'a jamais arrêté en assaillant des chats. Bien je devine qu'il y a toujours une première fois pour tout. Le chat est parti. Ou au moins c'est ce que j'ai pensé. Ainsi nous sommes allés déjeuner Mel, Jayson, Tracy et moi. Après le déjeuner, balik na sa kung anumang naiwang gawain (nous sommes retourné sur quelque travail non fini que nous avions). Puis Tracy et Mel m'ont demandé : "Hui Jc napatay mo yung pusa" (Hé, JC, tu as tué ce chat). Des heures plus tard, habang abala sa XRD (tandis qu'on travaillé au "XRD"), un type est entré. Tanong niya: " Sinong pumatay dun sa pusa?" (Il a demandé, qui a tué ce chat ?) Coup ! C'était moi. Coupable comme charge. I n'ai pas vu qu'il mourait pero sabi ni Myles [mais Myles a dit] qu'il a craché du sang ou au moins quelque chose qui y ressemblait. Je n'ai pas réalisé que je lui avais donné un coup mortel. Ce n'est pas la première fois que j'ai tué un chat mais cette fois c'était différent. Ainsi je pense que quelqu'un le possèdait. Bien il était trés bien aimé dans NIP de ce que j'ai entendu et j'ai juste achevé sa vie. Donc là je suis désolé. Et je n'en frapperai pas encore un pendant peut-être environ un mois. On se sent bien quand on le bat (un chat), mais vous sentez soudainement quelque chose d'étrange quand il s'éteint de manière permanente. C'est comme je me sens en ce moment. Et peut-être pour les jours suivants. Dang, suis-je un assassin en série de chat ?"
A qui faisons-nous appel ?
Nous faisons appel aux hauts fonctionnaires de l'université des Philippines (UP), à savoir le Dr. Sergio Cao, Chancelier de l'UP, Dr. Arnel Salvador, le Directeur de l'Institut National de Physiques à l'UPDiliman (U.P.) et au Dr. César Saloma, doyen de l'université de Science de l'UP.
Ces messieurs, dans leurs capacités respectives, ont l'autorité pour rendre des choses justes à l'université. Ils peuvent condamner, rejeter, et punir ceux qui pratiquent la cruauté animale dans les rangs de l'université. Ils sont des gardiens de la longue et illustre histoire de l'université. La conduite et la sûreté du corps d'étudiant sont sous leur portée. Nous, donc, invitons ces messieurs à appliquer la seule punition juste et appropriée pour M. Candare qui est une expulsion immédiate de l'université et pour aider à chercher l'attention médicale appropriée pour M. Candare.
Je demande mille signatures. Si vous êtes d'accord avec l'esprit de cette pétition, signez-svp le et offrez votre avis au bénéfice de ces messieurs instruits. Je signalerai des mises à jour quand des développements se produiront. Je vous remercie de l'aide pour engendrer une société des Philippines plus compatissante.
Il était question de charges criminelle "The Philippine Animal Welfare Society" (Paws) est en train de réunir les attestations des témoins qui ont vue ce qu'il s'est passé. Oui Mr Candare a violé les dispositions de la Loi du Bien-être Animal des Philippines, Loi de la République 8485. L'avocat volontaire de PAWS dressera l'acte légal contre Mr Candare
05/02/09
J'ai nommé Mr Candare John au poste initial car il s'est présenté comme tel sur un autre blog, mais quelqu'un m'a corrigé. Son vrai nom est Joseph Carlo Cadare
Vous pouvez exprimer votre mécontentement sur cette atrocité, mais s'il vous plait aucune menace personnelle à l’ egard de Mr Candare. Je dois soumettre cette pétition au Officiels de l'UP, je la veux claire et propre. Des commentaires aideront à l'impact de cette pétition. Merci
PETITION : http://www.thepetitionsite.com/petition/144299696
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