Le pouvoir intérieur

« Nous sommes à la fois nous-même et la personne que nous croyons être. »

Le Pouvoir intérieur c’est nous-même, notre réelle identité. Cet être que nous sommes connaît les réponses, a confiance en lui et vit dans la joie et l’harmonie.
Il s’exprime à travers notre créativité, intuition, inspiration, notre passion et tout ce qui vient du cœur et nous fait vibrer. Il est la partie divine qui nous habite mais bien souvent nous n’avons pas conscience de son existence. En fait, nous avons oublié qui nous sommes.




Au cœur de la joie de vivre déployez vos ailes.
Devenez comme le papillon qui prend son envol suite à sa transformation. Il se manifeste par nos cinq sens, notre capacité à voir pour admirer le beau autour de nous, à entendre pour apprécier une agréable musique, à sentir pour humer les excellents parfums, à goûter pour prendre plaisir à déguster nos mets préférés et à toucher pour ressentir la fraîcheur d’une douce brise sur notre peau.
Il suffit de s’arrêter pour entendre son message et ressentir sa présence.

Si nous croyons être une personne triste, malheureuse ou qui a peur, nous devenons cette personne.
Nous jouons parfaitement le rôle que nous nous sommes attribué. Lors de différentes expériences de notre vie, nous recueillons des informations qui déterminent la personnalité et les caractéristiques de notre personnage. Elles nous permettent d’identifier nos points forts ou faibles, ce que nous pouvons accomplir ou pas et les émotions qui nous affectent. Peu à peu notre personnage prend forme et nous impose des limites que nous devons respecter pour ne pas se retrouver en position de « danger ». C’est ainsi que les croyances limitatives naissent et que la peur s’installe et nous restreint.

Les croyances

Les croyances que nous entretenons façonnent les particularités de notre personnage. Si nous croyons être forts nous le sommes et le contraire est aussi vrai. Si nous croyons que nous allons réussir, nous réussirons mais si nous croyons que nous n’y arriverons pas, et bien, nous n’y arriverons pas.

Nous créons notre vie à partir de nos croyances. Elles déterminent les situations que nous allons vivre, les personnes que nous attirons vers nous et les limites que nous nous imposons. À l’origine de nos perceptions et attitudes, elles sont le reflet de notre vie sociale, amoureuse et professionnelle. Notre vie est le miroir de ce que nous croyons.

Croyances liées aux émotions

Lors de sa première journée d’école Maxime prend l’autobus scolaire. Il tente de trouver un siège à bord mais personne ne veut qu’il s’installe à côté de lui. Une émotion intense de rejet l’habite et Maxime éclate en sanglots.

Cette expérience et l’émotion du rejet vécue peuvent amener Maxime à développer différentes croyances telles que « Je suis rejeté » ou « Personne ne m’aime » selon sa perception. Ses croyances face au monde extérieur s’installent.
Dans ce cas-ci, si Maxime développe la croyance « Je suis rejeté », il ressentira souvent cette émotion et peut traduire différents événements par des situations de rejet.

Pourtant neutres, bien des événements de notre vie sont vécus selon nos croyances. En effet si nous croyons être rejetés, nous adopterons le rôle de la personne rejetée, et serons appelés à vivre constamment cette émotion.
Il faut interrompre ce cercle sans fin qui nous emprisonne dans un tourbillon émotionnel répétitif afin que naisse à la personne que nous sommes vraiment.

L’acceptation

Tout changement passe par l’acceptation. Il faut tout d’abord s’accepter tel que l’on est. Cela veut dire de s’aimer tel que l’on est sans vouloir se changer.
L’amour de soi ouvre la porte à l’amour sous toutes ses formes et l’amour des autres. Il apporte paix et joie en nous et autour de nous.
Acceptez votre corps tel qu’il est. Appréciez-le pour sa beauté et son utilité. Ce qu’il vous permet de faire ou d’accomplir. Il est indispensable et vous permet d’exister sur terre. Il est parfait pour vous.

Acceptez-vous qualités, défauts, forces ou faiblesses tels qu’ils sont. Apprenez à aimer tous les aspects de votre personnalité qui font de vous la personne que vous la personne que vous êtes. Il n’y a pas de bons ou mauvais choix, seulement différentes façons d’expérimenter la vie.

Acceptez vos expériences telles qu’elles sont. Il est important de regarder en face ce que nous vivons. Parfois, pour nous protéger, nous refusons de voir les réels impacts que certains événements ont sur nous. Cependant, il est nécessaire de prendre conscience des émotions suscitées afin de s’en libérer. Il ne s'agit pas ici de chercher des émotions cachées, mais bien de reconnaître leur existence et de les accueillir si elles se manifestent.

Si l’événement ne peut être changé, nous pouvons modifier notre façon de le percevoir et l’impact qu’il a sur nous en reconnaissant et démystifiant les émotions liées. Bien qu’elles puissent parfois être douloureuses, les expériences de notre vie nous aident à grandir et à évoluer. En acceptant ses expériences, nous éliminons l’impact négatif des émotions liées sur nous et par conséquent favorisons l’équilibre et la paix intérieure.

Acceptez votre passé tel qu’il est. Votre histoire est une expérience qui vous sera toujours utile. Apprenez à l’utiliser pour avancer et créer la vie que vous voulez vraiment.
Acceptez votre vie. Chaque jour nous offre la possibilité d’embellir notre vie. Nous pouvons faire des choix qui nous amèneront à ce que nous souhaitons. Nous attirons vers nous ce à quoi nous portons notre attention. Si nous voyons le beau, nous invitons le beau et le contraire est aussi vrai. Si nous sommes insatisfaits, nous provoquons des situations d’insatisfactions et ainsi de suite.

Il est maintenant temps de regarder, accepter et remercier la vie

De plus, certains événements « non acceptés » de notre vie sont à l’origine des croyances limitatives entretenues. En effet, lors de situations vécues, nous avons ressenti des émotions douloureuses sur lesquelles nous appuyons nos croyances. Si nous en sommes affectés, c’est que l’événement n’est pas accepté.

Aussi longtemps que nous refuserons d’accepter cet événement, nous provoquerons des situations similaires, certes avec différents acteurs, mais qui éveilleront en nous la ou les mêmes émotions.

L’acceptation de cet événement déclencheur amène, d’une part, la guérison des émotions, croyances et peurs liées et d’autre part, la fin du « pattern » développé.

Nous ne pouvons pas effacer un événement mais pouvons faire en sorte de ne plus en être affecté.

Voilà ce qu’est le pouvoir intérieur.

Josée Lemieux
Naturothérapeute - Approches énergétiques, Québec - Canada
courriel : info@ centreequilibredesoi.com

site web : www.centreequilibredesoi.com

http://www.energie-sante.net/fr/HP100_le-pouvoir-interieur.php

Le pouvoir de la pensée positive ...
Merci pour ce partage Lotuszen

"Nous ne pouvons pas effacer un événement mais pouvons faire en sorte de ne plus en être affecté."
Nous pouvons aussi dédier notre ressenti au bonheur de tous les êtres.
Tout à fait d'accord, sinon...Merci pour cette Parole!

Bonjour LotusZen,

En effet le pouvoir de notre pensée est beaucoup plus puissant que nous le pensons, et l'estime de soi en résulte; L'estime de soi va influencer généralement inconsciemment tout ce qu'une personne dit, pense ou fait.

Je pense qu'en effet, comme tu le dis si bien dans ton message, une personne qui a une bonne estime de soi est en harmonie avec elle-même ainsi qu'avec tous ceux qui l'entourent, connaissant une vie épanouie et sereine.

Bon week end

Nicole

Au cœur de la joie de vivre déployez vos ailes.
Devenez comme le papillon qui prend son envol suite à sa transformation. Il se manifeste par nos cinq sens, notre capacité à voir pour admirer le beau autour de nous, à entendre pour apprécier une agréable musique, à sentir pour humer les excellents parfums, à goûter pour prendre plaisir à déguster nos mets préférés et à toucher pour ressentir la fraîcheur d’une douce brise sur notre peau.
Il suffit de s’arrêter pour entendre son message et ressentir sa présence.

Ce texte est t-il samsarique ? Car a ma connaissance les plaisirs sensoriels détruise l'attention est résulte de l'ignorance.

Morgan.P a écrit:

Au cœur de la joie de vivre déployez vos ailes.
Devenez comme le papillon qui prend son envol suite à sa transformation. Il se manifeste par nos cinq sens, notre capacité à voir pour admirer le beau autour de nous, à entendre pour apprécier une agréable musique, à sentir pour humer les excellents parfums, à goûter pour prendre plaisir à déguster nos mets préférés et à toucher pour ressentir la fraîcheur d’une douce brise sur notre peau.
Il suffit de s’arrêter pour entendre son message et ressentir sa présence.

Ce texte est t-il samsarique ? Car a ma connaissance les plaisirs sensoriels détruise l'attention est résulte de l'ignorance.

Bonjour Morgan,
Je laisserai avec sagesse le Dalaï Lama te répondre
" Le pratiquant authentique du Dharma n'éprouve pas la nécessité de s'isoler de la société à laquelle il appartient. Ne soyez jamais pressé de prendre l'ordination monastique"
En d'autres termes pour moi, celà signifie justement savoir estimer à sa juste valeur chaque moment du moment présent. Et savoir apprécier les odeurs, les couleurs, le toucher ou le gôut, dons de l'Univers, c'est savoir vivre pleinement.
Les retraites monastiques et spirituelles ont leur place dans le monde laïque, leur but étant de permettre à chacun de faire voeux de silence afin de se retrouver.
En résumé, je pense qu'il y a un temps pour tout et que l'un n'empèche pas l'autre.

Bonne journée

Nicole

Merci nicole

Personnellement mon attention reste mon bien le plus précieux est la pratique ma appris a revenir dessus sur n'importe quel évènements sans ce dire que c'est bien ou mal , résonner avec sont attention c'est résonner comme le bouddha est sans ce poser de question nous savons que nous marchons sur la libération.

Après comme tu dis il est difficile de garder l'attention dans la vie mondaine et difficile de la garder touletemps dans une vie ascétique , donc profiter sans avidité des sens donc raisonnablement peut être une solution pour continuer le chemin dans la voie du milieux sans trop de souffrance , mes il faudra savoir que plus on avance dans le chemin est plus on mettras un termes a l'ignorance est que tout ces plaisirs et souffrance cesseront d'être.

Morgan.P a écrit: Merci nicole

Personnellement mon attention reste mon bien le plus précieux est la pratique ma appris a revenir dessus sur n'importe quel évènements sans ce dire que c'est bien ou mal , résonner avec sont attention c'est résonner comme le bouddha est sans ce poser de question nous savons que nous marchons sur la libération.

Après comme tu dis il est difficile de garder l'attention dans la vie mondaine et difficile de la garder touletemps dans une vie ascétique , donc profiter sans avidité des sens donc raisonnablement peut être une solution pour continuer le chemin dans la voie du milieux sans trop de souffrance , mes il faudra savoir que plus on avance dans le chemin est plus on mettras un termes a l'ignorance est que tout ces plaisirs et souffrance cesseront d'être.

Bonjour,

Comme dit Soeur Emmanuelle

"Vivre, c'est agir. Vivre, c'est se battre et deviens ce que tu es. " Crois en toi, comme moi en toi. Crois en l'autre comme en toi¨"

La vie n'est pas un long fleuve tanquille, mais le Chemin que nous devons prendre afin d'apprendre... et sans nos 5 sens, nous ne le pourrions pas.

Il est vrai que chacun a son propre Chemin... alors Bonne route et crois en toi et en l'autre comme en toi.

Bonne journée

Nicole

Ortho a écrit:"Nous ne pouvons pas effacer un événement mais pouvons faire en sorte de ne plus en être affecté."
Nous pouvons aussi dédier notre ressenti au bonheur de tous les êtres.
Tout à fait d'accord, sinon...Merci pour cette Parole!

Tout à fait d'accord, le Bonheur, c'est de s'aimer! La vie est belle quand on s'aime, on sourit à la Vie et la Vie nous sourit.

Bonne journée

Nicole

Merci nicole

Il y a certain maître qui disent que pour y arriver il faut avoir foie en soi , mes la croyance est je pense tout comme mes pensée une illusion qui mène a espérer a attendre quelque chose, je pense donc je suis ! Si je pense que la vie est belle je crée tout simplement une facette.

Tout est impermanent , insatisfaction est non intrinsèque la seul vérités est l'équanimité devant tout les choses donc le chemin est le même pour tous le 2ien chemin est celui du samsâra a voir laquelle prendre

Morgan.P a écrit:Merci nicole

Il y a certain maître qui disent que pour y arriver il faut avoir foie en soi , mes la croyance est je pense tout comme mes pensée une illusion qui mène a espérer a attendre quelque chose, je pense donc je suis ! Si je pense que la vie est belle je crée tout simplement une facette.

Tout est impermanent , insatisfaction est non intrinsèque la seul vérités est l'équanimité devant tout les choses donc le chemin est le même pour tous le 2ien chemin est celui du samsâra a voir laquelle prendre

Cher Morgan,

Fais simplement attention à ne pas prendre ta foi en la vacuité comme seul but ultime.

On a demandé au Dalaï Lama si l'attachement à un dogme pouvait être une entrave à la libération ultime...

Le Dalaï Lama répondit " La réponse diffère selon la perspective. Reflète-t-elle un point de vue général ou plus particulièrement une approche bouddhiste? dans ce dernier cas, l'attachement au concept de vacuité est un obstacle assez dangereux. sans parler de celui qu'on aurait pour la doctrine. Cette forme d'attachement, prendre la vacuité pour une entité absolue, est une vue que nous qualifions d'irréparable."

Comprends moi, je ne suis pas dans ta tête ni dans tes souliers, je ne sais donc pas ce qui te pousse et te motive. Simplement je me fais du soucis lorsque tu dis" Si je pense que la vie est belle, je crée simplement une facette." Je trouve dommage que tu n'utilises pas la Pensée Positive pour simplement pouvoir mieux vivre, en sachant se poser la question " Qu'est-ce qui va Bien?"

Bonne réflexion Nicole

Bonjour nicole

merci pour tes réponses,

Comme je les énoncée mes pensées sont l'oeuvre de mon "moi" car celui-ci est attacher a ces opinions tout comme tu est attacher a les tiennes, si nous pratiquons alors il n'y a plus rien , ce que je veut dire par la c'est qu'avec la vacuité nous saison d'être ou ne pas être , nous contemplons simplement la véritable nature des choses est je n'essaie pas de m’appuyer que sur mes opinions mes simplement des choses que j'ai pu lire est comprendre par la pratique que l'attachement ou l'aversion au sens dont la pensée qui fait partie des sens dans le bouddhisme est la cause de notre souffrance est que la pratique nous sert a justement lâcher prise sur notre mental est percevoir les sens d'une manière plus équanime donc sans jugement , est percevoir la vie d'une manière positif est un jugement , si tu a l’occasion de pratiquer le lâcher prise tu verras de par toi même que les évènements sont impermanent par conséquent on ne peut pas les saisir.

Lorsque qu'on a compris que rien est saisissable pas même le bonheur ni obtenir quelques choses de la vacuité donc plus aucune croyance en rien comme je le disait on contemple tout simplement la Paix suprême est la libertés , le bonheur suprême etc...

Morgan.P a écrit:Bonjour nicole

merci pour tes réponses,

Comme je les énoncée mes pensées sont l'oeuvre de mon "moi" car celui-ci est attacher a ces opinions tout comme tu est attacher a les tiennes, si nous pratiquons alors il n'y a plus rien , ce que je veut dire par la c'est qu'avec la vacuité nous saison d'être ou ne pas être , nous contemplons simplement la véritable nature des choses est je n'essaie pas de m’appuyer que sur mes opinions mes simplement des choses que j'ai pu lire est comprendre par la pratique que l'attachement ou l'aversion au sens dont la pensée qui fait partie des sens dans le bouddhisme est la cause de notre souffrance est que la pratique nous sert a justement lâcher prise sur notre mental est percevoir les sens d'une manière plus équanime donc sans jugement , est percevoir la vie d'une manière positif est un jugement , si tu a l’occasion de pratiquer le lâcher prise tu verras de par toi même que les évènements sont impermanent par conséquent on ne peut pas les saisir.

Lorsque qu'on a compris que rien est saisissable pas même le bonheur ni obtenir quelques choses de la vacuité donc plus aucune croyance en rien comme je le disait on contemple tout simplement la Paix suprême est la libertés , le bonheur suprême etc...

Bonsoir Cher Morgan,

Merci à toi. Chacun est en effet différent, chacun a sa route et chacun son point de départ... N'oublie simplement pas de voir profondément la fleur que tient le Bouddha en souriant et de garder le contact avec les graines de santé et de joie en toi et tout autour de toi .

Que ces graines t'apportent le bonheur et la sérénité de ton être

Nicole

Bonjour nicole

Merci pour tes réponses,

Personnellement je ne voie qu'une seul route est qui est la même pour tous reprendre tout simplement essence de notre conscience profonde, pour cela les sens doivent être abandonner pour laisser place a la pratique profonde du dharma sur le chemin du milieux jusqu’à l'illumination.

Morgan.P a écrit:Bonjour nicole

Merci pour tes réponses,

Personnellement je ne voie qu'une seul route est qui est la même pour tous reprendre tout simplement essence de notre conscience profonde, pour cela les sens doivent être abandonner pour laisser place a la pratique profonde du dharma sur le chemin du milieux jusqu’à l'illumination.

Cher Morgan,

Et c'est bien là où nos chemins divergent car je crois que si nous avons des sens c'est pour les utiliser... par ex: être dans le moment présent lorsque on marche, c'est bien prendre conscience de chacun de nos pas, de ce qui se passe dans notre corps ainsi qu'autour de nous.

Je t'ai parlé du Bouddha tenant une fleur. Lors d'une assemblée comptant env. 1250 moines et moniales, Il la tenait tout simplement, la leur montrant et ne disant rien. Tout le monde le regardait, se posant des questions dans un silence profond, tentant de comprendre le sens du geste du Bouddha. Soudain le Bouddha qui était sérieux jusque là eut un sourire; son sourire répondait à un autre sourire dans l'assemblée. Un moine, Mahakashyapa, souriait en effet à la fois au Bouddha et à la fleur.

Thich Nhat Hahn, (je tire l'histoire de son livre "La Sérénité de l'Instant) ajoute: "Pour moi, la signification de ce geste est très simple. Lorsque quelqu'un tient une fleur à la main et vous la montre, il veut évidemment que vous la voyez. Si vous continuez à penser, vous ne voyez pas la fleur. C'est tout le problème de la vie... "

Et pour moi, Thich Nhat Hahn nous enseigne que nos sens ont une raison d'être, celle de voir dans cette histoire tout simplement la fleur; il parle plus loin du sourire d'un enfant... Comment les voir si nous n'avons pas nos 5 sens? La méditation nous demande parfois de méditer sur notre respiration ; là aussi comment faire sans nos 5 sens? Ce qu'il faut c'est "Voir en profondeur"

Je t'avoue que ce livre est vraiment plein d'enseignement... ainsi que l'énonce le Dalaï Lama lui-même dans la préface " C'est un livre de grand mérite, capable de changer la vie, tant individuelle que collective:"

Bonne journée

Nicole

Il est aussi et avant tout question de réalité ultime dans cet enseignement sur la perception de la fleur dont Mahakasyapa fût le seul à en comprendre le sens parmi l'assemblée.

Bonjour,
je n'ai pas beaucoup de temps ce matin, mais pour répondre rapidement je pense que nous devons utiliser nos 5 sens mais sans attachement.
Par stratégie on peut considérer nos émotions comme des "ennemies" mais en réalité c'est bien l'attachement qui est le problème.
Nos 5 perceptions font partie des 8 consciences.
Nous savons que nous avons une perception incomplète des phénomènes.

Il faut cultiver l'attitude d'offrande.

Ainsi on offre nos joies et nos plaisirs de la même façon que l'on offre et accepte les souffrances.
Par la méditation on acquiert une distance entre les émotions et nos réactions.

Bonjour

Merci pour vos réponses clair

Pour nicole , pour ce qui est question des sens , si on entend un son on sent une odeur comme par exemple j'avais mis de l'encens a mes séances mon attention c'est porter vers ce plaisirs est plus vers ma concentration.

Pema , comment réussir a désirer quelques choses sans s'y attacher ?

Quand ceci apparaît , cela apparaît. C'est inévitable ?

Les facteurs qui conduisent à la cessation de la souffrance
reprennent les mêmes termes dans le sens inverse.
Comme le principe d’interdépendance évolue selon un cycle,
donc sans début ni fin, il serait plus exact de le représenter comme
dans la figure 1 ci-dessous.

1. Avijjā = la non-connaissance ou ignorance de la
souffrance, de sa cause, de sa cessation et du chemin qui conduit à sa
cessation (les Quatre Nobles Vérités). Avijjā signifie également,
selon l’Abhidhamma, ignorer ce qui s’est passé avant et ce qui se
passera après (passé et avenir), ignorer ce qui s’est passé à la fois
avant et après, et ignorer le principe d’interdépendance.

332. Sankhāra = les formations karmiques : formations
physiques ou actions délibérées ; formations verbales ou propos
délibérés ; formations mentales ou pensées. Selon l’Abhidhamma
cela inclut également les formations méritoires ou bon kamma
(puññā bhisankhara), les formations non méritoires ou mauvais
kamma (apuññā bhisankhara) et les formations figées ou immobiles
ou kamma méritoire spécial (āneñjā bhisankhāra)
7
.
3. Viññāna = la conscience qui passe par l’œil, l’oreille, le
nez, la langue, le corps et le mental, donc conscience « sensorielle ».
Cela inclut la conscience qui lie les événements entre eux
(patisandhi viññāna). Ce sont les six formes de conscience.
4. Nāmarūpa = les phénomènes mentaux et physiques : ils
se composent de nāma (le nom ou l’esprit) c’est-à-dire les
sensations, la perception, l’intention, le contact et l’attention
8
– ou
encore, selon l’Abhidhamma, les khanda des sentiments, de la
perception et des formations mentales – ; et de rūpa (le corps ou la
matérialité), c’est-à-dire les quatre éléments – la terre, l’eau, l’air et
le feu – ainsi que toutes les formes qui en sont issues.

5. Salāyatana = les six bases des sens : l’œil, l’oreille, le nez,
la langue, le corps et le mental.

6. Phassa = le contact ou la reconnaissance sensorielle liée
aux yeux, aux oreilles, au nez, à la langue, au corps et au mental.

7. Vedanā = l'appréciation des sensations : sentiments de
plaisir, de douleur ou neutres provenant des contacts sensoriels liés
aux yeux, aux oreilles, au nez, à la langue, au corps et au mental.

8. Tanhā = la soif du désir : désir de voir, d’entendre, de
sentir, de goûter, désir de sensations corporelles et désir d’objets
mentaux. Ce sont les six aspects de la soif du désir.

7
Aneñjābhisankhāra : c’est la base de l’état imperturbable résultant de la
capacité de l’esprit parfaitement concentré à atteindre les jhāna sans forme
ou états d’absorption.
8
Vedanā, saññā, cetanā, phassa, manasikāra.

349. Upādāna = l’attachement : attachement aux objets des
sens (kāmupādāna), c’est-à-dire à ce qui est vu, aux sons, aux
odeurs, aux goûts, aux sensations corporelles ; également
attachement aux opinions (ditthupādāna), aux règles et aux pratiques
(sīlabbat-upādāna), et attachement à l’idée d’un « moi »
(attavādupādāna).
10. Bhava = le devenir : ce sont les conditions qui conduisent à
la naissance. Egalement les domaines d’existence : la sphère des sens
(kāmabhava), la sphère de la forme (rūpabhava) et la sphère du sansforme (arūpabhava).
Autre définitions possibles :
Kammabhava 9:

domaine de l’action ou des actions entraînant
une renaissance. Ceci inclut les actions méritoires
(puññābhisankhāra), les mauvaises actions (apuññā bhisankhara) et
les actions neutres (āneñjābhisankhāra).
Upapattibhava : les sphères de renaissance. Ceci inclut la sphère
des sens, la sphère de la forme et celle du sans-forme ; la sphère de
la perception et celle de la non-perception ; et la sphère de ce qui
n’est ni perception ni non-perception.

11. Jāti = la naissance : c’est l’apparition des khandha et des
bases des sens. Toutefois, quand on explique le principe
d’interdépendance comme se déroulant à la vitesse de la pensée, jāti
est interprété comme « l’apparition de tous les phénomènes »

12. Jarāmarana = le vieillissement et la mort : jāra représente
le processus du vieillissement, l’affaiblissement des facultés, tandis
que marana représente la dissolution des khandha ou principe de vie,
donc la mort. On l’interprète aussi comme la dissolution et la
disparition de tous les phénomènes.

Ignorance - formations mentales - conscience sensorielle -
phénomènes physiques et mentaux - bases des sens – contact -
appréciation des sensations - soif du désir - attachement - devenir Õ
naissance - souffrance – foi / confiance - joie - félicité - tranquillité -
contentement - concentration - connaissance et compréhension claire
des choses telles qu’elles sont - désillusion - extinction des passions -
libération - destruction des poisons du mental.

Nous ne sommes pas obligé de "désirer" les choses.

Mais nous ne sommes pas obligé de les rejeter non plus.

Du moins dans la vision du Vajrayana, on utilise tout.
Du point de vue du Hinayana ce sera plutôt une attitude
de voeux et de renoncement il est vrai.

Le problème c'est que souvent l'occidental veut garder ses attachements mais sans souffrir...et ce n'est pas possible !

L'attachement est une racine de souffrance.
Or le Bouddhisme est radical, il faut trancher la méprise !




Les choses agréables ne sont pas néfastes si on ne s'y attache pas.
C'est bien l'attachement qui cause la souffrance.

Tout passe par la pensée ( sens ) qui suit le désir par la suite pour obtenir les sensation agréable liée a ce désir après vient avidité etc... du fait de l'attachement , toute nos action que sa soit pour nos intérêts égotique ou pour les autres passent par le désir même marcher est un désir si on ne ce concentre pas sur le présent , donc comment être dans le présent si on désir jouir des plaisirs sans s'y attacher , l'attention en serait ébranlée pour laisser place a la destruction

Oui mais là vous jouez un peu sur le mot "désir"...
Marcher, manger etc, je ne considère pas comme désir dans le sens attachement.

Nous avons les antidotes pour contrer les DIX ACTES NUISIBLES et les "Paramittas" pour baliser notre route.

C'est vrai que le bonheur peut distraire de notre quête, mais il faut rester vigilant et toujours dédier nos "mérites".
Se faire plaisir n'a rien de négatif, sauf si c'est au détriment d'autrui.

Merci

Enfin nos mérites on doit aussi lâcher saisie sur cela en fin de compte.

Pour le plaisirs

Mes je garde toujours a l'esprit que le fait de ce faire plaisirs est un conditionnement de l'ego " Je me fait plaisirs "

Quand on a la compréhension parfaite on va bien au-delà des plaisirs est des souffrance bien au-delà du simple " moi " a dire vrais on auras beau ce dire des mots mes cela ne reste que des mots pour rassurer l'ego , la seul chose avant d'avancée des prétexte est de pratiquer est ne pas regarder l'assiètes du voisin d'ou l’intérêts une fois élancée dans la voie du bouddha de continuer seul sans maître est ne pas s'identifier a lui est faire comme ceux qui on reçu l'éveil de partir méditer dans l’ermitage le plus profond en restant dans un état ou le corps est le mieux pour pratiquer donc ne pas tomber dans l’ascétisme.

Lorsque nous somme dans la pleine conscience alors est que nous avons traverser le moi il n'y a je pense plus de désirs-attachement a aider les être donc le " moi " liées au conditionnement de l'ignorance , aider les être est tout simplement une nature nous n'avons plus a chercher les sensation agréable ,il sont déjà la est on les partage sans quoi il n'aurait pas de sens , alors il n'y a plus d'ignorance nous somme dans l'instant présent nos action sont pure sans pensée ruminante ou obsessionnel concernant le bien des être.

Moi même quand je pratique dé foie j'entend les êtres autour de moi souffrir par leurs manque de sagesses , quand je m'apprête a quitter ma séance pour leurs expliquer , ma conscience me dit reste assis ne te laisse pas prendre par ces attachements , je reste assis est peu a peu la souffrance qui étais en moi au départ s'évanouie est je n'entend plus les personne je suis vraiment concentrer et par la suite je voit que au final s'y j'aurais intervenue cela n'aurait rien changer pourquoi ? Car c'est mon ego qui veut sauver les êtres est non ma véritable nature.

Alors je n'intervient pas est je continue a méditer pour développer ma conscience car au fond de moi je sait que il n'y a que comme ca que je peut vraiment les aider est quitter mon coussin ne ferait que retarder le bonheur que je pourrais offrir au autres par la suite.

Voilà l'avantage de pratiquer dans le bruits cela me permet de faire l’expérience de ce que mon esprit n'a pas réussie a filtrer par l'attention.

Pema Gyaltshen a écrit:Bonjour,
je n'ai pas beaucoup de temps ce matin, mais pour répondre rapidement je pense que nous devons utiliser nos 5 sens mais sans attachement.
Par stratégie on peut considérer nos émotions comme des "ennemies" mais en réalité c'est bien l'attachement qui est le problème.
Nos 5 perceptions font partie des 8 consciences.
Nous savons que nous avons une perception incomplète des phénomènes.

Il faut cultiver l'attitude d'offrande.

Ainsi on offre nos joies et nos plaisirs de la même façon que l'on offre et accepte les souffrances.
Par la méditation on acquiert une distance entre les émotions et nos réactions.

Cher ami,

Merci beaucoup d'avoir ainsi pris le temps de nous répondre; je te rejoins lorsque tu nous dis que le vrai ennemi en toutes choses est notre attachement.

Mais c'est diffcile tant nous avons été éduqués en Occident ainsi... le Moi, le je, le C'est à moi sont appris dès l'enfance: On s'identifie tellement à nos ressentis, à nos expériences, à nos émotions, et enfin à nos pensées qu'il nous est diffcile de larguer les amarres et de voguer librement sur la mer de la vie.

Mais j'apprends, j'essaye, et je réessaye... avec patience, petit à petit l'oiseau fait son nid! A force j'arriverai à acquérir cette distance entre mes émotions et mes réactions. Et c'est vrai que le Bouddhisme, par rapport aux autres religions, est le seul qui nous en montre le chemin.

Bonne journée et merci encore

Nicole

La méditation est précisément le moyen très concret pour acquérir cette distance...mais il faut du temps et de l'assiduité.
En effet nous devons transformer des années, même des vies, de vues fausses, donc il faut y consacrer les efforts et le temps nécessaire...nous en sommes tous là !