
Parinirvana de Kyabjé Trulshik Rinpotché
Kyabjé trulshik rinpotché (1924-2011) Kyabjé Trulshik Rinpotché, dont le souvenir nous emplit de tant de
gratitude, fut l’un des derniers grands maîtres à avoir achevé une
formation complète, comprenant étude et pratique, selon la tradition du
bouddhisme tibétain, dans l’extraordinaire environnement culturel du
Tibet avant son invasion par le régime communiste chinois. Proche
disciple de certains des plus grands pratiquants bouddhistes de son
siècle, tels que Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpotché et Kyabjé Dudjom
Rinpotché, il fut l’un des maîtres les plus respectés de Sa Sainteté le
Dalaï Lama, détenteur d’une lignée monastique importante, et héritier
d’un grand nombre d’instructions et transmissions précieuses.
Kyabjé Trulshik Rinpotché, Ngawang Tcheukyi Lodreu, était la
réincarnation de Shadeu Trulshik de Dzarong, et une manifestation
de Vajrapāni et de Mañjuśrī. Depuis le temps du Bouddha, afin de faire
le bien des êtres, tant en Inde qu’au Népal et au Tibet, il s’est
manifesté dans une succession de renaissances, comme Ananda, disciple
du Bouddha, le grand maître indien Āryadeva, Theunmi Sambhota, l’un des
ministres du roi Songtsen Gampo, et auteur des premiers textes sur la
grammaire tibétaine, les Trente strophes (sum cu pa) et la Théorie des
signes (rtags kyi ’jug pa); le grand abbé Śāntarakshita, le grand
traducteur Vairotsana ; au Népal, Phamthingpa Vāgīśvarakīrti (Ngawang
Trakpa) ; au Tibet, Retchungpa, le proche disciple de Milarepa, le
maître Mélong Dorjé; l’omniscient Longchenpa; le grand accompli Lèkyi
Dorjé de Lhodrak, et Shadeu Trulshik Kunga Rintchen. Il ne s’agit là
que de quelques unes des vies précédentes de Kyabjé Trulshik Rinpotché
; on en trouve d’avantage dans la prière qui retrace ses renaissances
successives. Pour autant, l’ampleur véritable des activités d’un être
éveillé est inimaginable, même pour les grands bodhisattvas, sans
parler des êtres ordinaires tels que nous.
Son père dans cette vie, Tenzin Tcheudar, appartenait à une famille
dont l’origine remonte à un membre du clan indien des Licchavi, qui fut
emporté à Lateu, au Tibet, par la protectrice Palden Lhamo déguisée en
ourse. Sa mère, Jamyang Wangmo, était née dans une famille descendant
de Eunré Dharma Sengué, neveu du grand fondateur de l’école Droukpa
Kagyu, Tsangpa Gyarepa. Cette famille habitait encore la demeure de
Eunré dans la région de Nakartsé, près du lac Yamdrok Taklung, dans le
Tsang inférieur. Et c’est là, au dessus de la maison familiale, dans la
grotte où Eunré avait pratiqué, que Kyabjé Trulshik Rinpotché naquit,
le dixième jour du neuvième mois de l’année du rat de bois (6 novembre
1924), donnant lieu à de nombreux signes miraculeux.
A l’âge de quatre ans, Kyabjé Trulshik Rinpotché se rendit dans un
endroit appelé Dzarong Phou, dans le district de Shelkar à Lateu, a la
demande de Dzatrul Rinpotché (Ngawang Tenzin Norbu), qui était un
proche disciple de son prédécesseur Trulshik Donga Lingpa, également
connu sous le nom de Shadeu Kunzang Thongdreul Dorjé. Alors qu’il se
trouvait là, les souvenirs d’événements de sa vie passée lui revinrent
spontanément à l’esprit. Il les raconta en détail, à l’immense surprise
de Dzatrul Rinpotché, qui en avait été lui-même témoin. Convaincu que
le petit garçon était indubitablement l’incarnation de Trulshik Donga
Lingpa, Dzatrul Rinpotché le reconnut et l’intronisa officiellement, le
guida en tant que maître racine, lui donnant la transmission de tous
les enseignements qu’il avait reçu de son prédécesseur.
Kyabjé Trulshik Rinpotché étudia abondamment au monastère de Mindreul
Ling, éminent lieu dédié à l’étude de la tradition de l’Ancienne
Traduction. Ce fut également là que des enseignants Trikhen Chung
Rinpotché et Minling Khenchen Khyentsé Norbu Rinpotché, il reçut
l’ordination monastique complète, selon une tradition du Vinaya
remontant à Lachen Gongpa Rabsel. Il était considéré comme l’un des
principaux détenteurs de cette lignée, et bien connu pour sa discipline
très pure.
Il reçut et pratiqua également en grand détail de très nombreux
enseignements sur les sūtras, les tantras, et les autres branches de la
connaissance, qui lui furent transmis par plus de trente maîtres
importants de la tradition Nyingma, tels que Minling Dodzin Rinpotché,
la célèbre femme lama Shouksep Jetsun Rinpotché, Dudjom Rinpotché
Jikdrel Yéshé Dorjé, et Dilgo Khyentsé Rinpotché. Dans la tradition
Guélouk, il étudia auprès de maîtres tels que Lhundroup Tseundru
Rinpotché de Ganden, Phurchok Jamgueun Rinpotché, Gendun Tashi
Rinpotché de Drépoung, le détenteur du trône de Ganden, Ling Rinpotché,
Sa Sainteté le Dalaï Lama Tenzin Gyatso, et son tuteur adjoint Serkong
Rinpotché. Il étudia également avec Sakya Drolma Podrang Rinpotché,
Phuntsok Podrang Dakchen Rinpotché, Ngor Luding Khenchen Jamyang Tenpai
Nyima Rinpotché, et tout particulièrement avec le grand maître de
l’approche non sectaire Dzongsar Khyentsé Rinpotché Tcheukyi Lodreu.
Il ne fit pas qu’étudier ces enseignements, mais les mit également en
pratique. Kyabjé Trulshik Rinpotché effectua plusieurs strictes
retraites de trois ans, et consacra tout le temps possible à la
pratique et à l’étude. En tout, il a passé au moins une soixantaine,
d’années en retraite.
Sur les conseils de Dzatrul Rinpotché, il endossa la charge de Khenpo
du monastère de Dzarong Dongak Tcheuling, en y maintenant, préservant
et répandant les enseignements. En particulier, chaque année au Tibet,
et par la suite au Népal dans son monastère de Thoubten Tcheuling, il
guidait ses disciples, moines, moniales, laïcs, au cours de la retraite
saisonnière dédiée à la pratique des Trente sept pratiques des
Boddhisattvas, (composée par Dzatrul Rinpotché sur la base du texte de
Gyalsé Thogmé), aux préliminaires du cycle du Djowo Thougjé
Tchènpo, et au Zer Nga dans la tradition des trésors du Nord.
Lorsque le Tibet fut envahi dans les années 1950, Kyabjé Trulshik
Rinpotché quitta le pays, et établit un monastère dans la région isolée
du Solou Khoumbou au Népal, non loin du mont Everest, qui devint sa
principale résidence, où il veilla sur une grande et florissante
communauté de moines, de moniales et de pratiquants laïcs.
Quand Kyabjé Trulshik Rinpotché eut 38 ans, il reçut de Kyabjé Dudjom
Rinpotché les initiations, les transmissions par la lecture, et les
explications de l’intégralité du Nyingma Khama à Kalimpong dans le
nord-est de l’Inde. Il fut également le bienfaiteur pour l’organisation
de cet enseignement. Ce fut à cette occasion qu’il rencontra pour la
première fois Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpotché. Le tout premier
enseignement qu’il reçut de lui, en guise de premier lien, fut le
commentaire sur la Lettre à un ami, de Nāgārjuna. Il reçut de Dilgo
Khyentsé Rinpotché la transmission du cycle du Nyakluk Phourba, profond
trésor spirituel que celui-ci avait lui-même redécouvert, et il devint
par la suite son proche disciple. Kyabjé Trulshik Rinpotché considérait
Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpotché comme son unique maître quant au
sens ultime des enseignements. Tout en recevant les enseignements de
Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpotché, il lui transmit à son tour certains
enseignements rares dont il était détenteur. La relation mutuelle de
maître à disciple qu’ils développèrent fut extraordinaire, les
enseignements qu’ils se donnaient passant de l’un à l’autre comme on
verse l’eau d’un vase à l’autre. Kyabjé Trulshik Rinpotché reçut de
Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpotché une quantité considérable
d’enseignements, dont l’intégralité du Dam-ngak Dzeu et d’autres
collections importantes. Kyabjé Trulshik Rinpotché devint le
détenteur des oeuvres de Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpotché, et l’un
de ses plus éminents et proches disciples et fut ensuite chargé
d’identifier et d’introniser sa réincarnation.
Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpotché, bien avant son passage en parinirvāna,
transmettait régulièrement à Sa Sainteté le Dalaï Lama une série
d’enseignements importants de la tradition Nyingma, dont les textes
principaux des sections des Mahā, Anu et Ati des tantras intérieurs.
L’honneur de transmettre ce qu’il restait revint alors à Kyabjé
Trulshik Rinpotché, qui continua d’offrir à Sa Sainteté la transmission
des initiations et des enseignements, en particulier le Drouptap
Deujeu’i Poumzang, collection compilée par Minling Tertchen Rinpotché
(qui avait transmis les enseignements de la tradition Nyingma au grand
cinquième Dalaï Lama), et les œuvres majeures de Longchen Rabjampa
comme le Ngalso Khorsoum, les Sept trésors et le Nyingtik Yabshi. Outre
tous ces enseignements majeurs de la tradition Nyingma, Kyabjé Trulshik
Rinpotché était également le détenteur unique de certains enseignements
Guélougpas, qu’il transmit à Sa Sainteté.
Kyabjé Trulshik Rinpotché enseigna également à bien d’autres grands
maîtres. Par exemple, il fut l’un des maîtres de Sa Sainteté Sakya
Trinzin. Il transmit au Gyalwang Drukpa la collection du Rinchen
Terdzeu à Thoubten Tcheuling, et donna à Dilgo Khyentsé Yangsi
Rinpotché, Dudjom Yangsi Rinpotché, et à nombre d’autres détenteurs de
toutes les lignées de la tradition bouddhiste du Tibet, plusieurs
cycles majeurs d’enseignements au monastère de Shechen au Népal, dont
le Dam-ngak Dzeu, le Nyingma Kahma, and le Nyingtik Yabzhi.
Il continua à assurer la préservation et l’expansion des enseignements
et de la pratique bouddhistes, voyageant beaucoup dans de nombreux pays
du monde au cours des dernières années de sa vie. Il était considéré
par bien des lamas comme une figure unique, un point de référence pour
son érudition, son intégrité, son authenticité, sa désarmante
simplicité, mais surtout son expérience et sa réalisation profonde,
inégalée de nos jours.
Kyabjé Trulshik Rinpotché parcoura plusieurs fois l’Asie, voyageant au
Japon, en Thailande et en Malaisie, et se rendit également aux Etats
Unis. Il vint en Europe de très nombreuses fois, voyageant en Espagne,
au Portugal, en Grande Bretagne, en Finlande, en Belgique et aux
Pays-bas. Avec grande bonté, il accepta les invitations à venir en
France, où il se rendit pendant de nombreuses années, nous prenant tous
sous son aile, enseignant aux disciples chanceux dans les retraites de
trois ans, et les retraites parallèles à celles-ci, ainsi que dans des
enseignements publics. Il donna ainsi la transmission complète du
Drouptap Kuntu, ainsi que des enseignements et des initiations tirés
des trésors révélés par Kyabjé Kangyour Rinpotché, Kyabjé Dilgo
Khyentsé Rinpotché et Kyabjé Dudjom Rinpotché. Une fois, alors qu’il
donnait la transmission de la pratique de la Pluie de bénédictions
(Tsikdun Ladroup), révélée par Kyabjé Kangyour Rinpotché, qu’il avait
lui-même reçue de Kyabjé Dilgo Khyentsé Rinpotché, il fit remarquer
qu’il considérait également l’avoir directement reçue de Kyabjé
Kangyour Rinpotché en personne, du fait que lorsqu’il avait rencontré
Kyabjé Kangyur Rinpotché et entendu sa voix pour la première fois (à
Kalimpong pendant la transmission du Kahma par Kyabjé Dudjom
Rinpotché), il avait reçu la bénédiction de ses corps, parole et
esprit, et leurs esprits s’étaient alors mêlés.
Ayant déjà bien dépassé les quatre-vingt ans, Kyabjé Trulshik Rinpotché
continua inlassablement son activité éveillée pour le bien des êtres,
et à aider tous ceux qui venait à le rencontrer, avec une énergie et un
enthousiasme que les ans ne parvenaient pas à entamer. Au cours des
dernières années de sa vie, en dépit d’une santé de plus en plus
fragile, il continua à donner des instructions à ses disciples, en Asie
et en Europe et put passer du temps au monastère de Thoubten Tcheuling
pour y guider l’importante communauté de moines, de moniales et de
retraitants.
Il entreprit également la construction d’un nouveau monastère, Dzarong
Mindreul Thoubten Dongak Tcheuling, au dessus de Sitapaila, en dehors
de Kathmandou, dirigeant lui-même chaque cérémonie liée aux différentes
étapes de la construction, comme la consécration du sol, le dépôt de
vases particuliers, de représentations, de diagrammes et de mantras
dans les piliers et poutres du temple principal, etc. Il a souvent
déclaré que ce monastère était construit afin d’aider à dissiper les
obstacles de par le monde, et en particulier ceux des populations des
régions himalayennes, d’où le choix particulier de ce site, depuis
lequel on peut voir les trois importants stoupas de la vallée de
Kathmandou, Swayambhūnāth, Namo Bouddha, et Boudhanāth. La colline sur
laquelle est bâtie le monastère, et qui domine toute la vallée, est
liée au Bouddha Vairocana, la proche colline de Swayambhūnāth est liée
à Vajrasattva, celle que surmonte le monastère de Tergar est liée à
Ratnasambhava, la colline située derrière est liée à Amitābha, et au
nord, la haute colline boisée de Nāgārjuna est liée à Amogasiddhi.
C’est là, juste au dessus du monastère, dans sa résidence de Phakmai
Gatsal (le Jardin de la noble Tāra) que le 2 septembre 2011, il
s’éteignit paisiblement, à l’âge de quatre-vingt-sept ans.
Quiconque établit un lien avec ce grand maître, qu’il l’ait rencontré
ou non, sera guidé par lui jusqu’à l’Eveil. C’est pour cela qu’il est
de la plus haute importance de lui adresser ses prières, et mêler son
esprit au sien. Les prières et pratiques que nous faisons ne sont pas
destinées au bien de Kyabjé Trulshik Rinpotché ; elles sont faites pour
notre propre bien, de manière à ce que nous puissions continuer à
bénéficier de son activité éveillée. Kyabjé Trulshik Rinpotché est un
être éveillé, qui s’est manifesté par compassion sur cette terre afin
de nous guider jusqu’à ce que nous puissions ne faire plus qu’un avec
son esprit éveillé.
Kyabjé Trulshik Rinpotché disait toujours que sa pratique principale était fondée sur le quatrain de Śāntideva :
Aussi longtemps qu'existera l’espace,
Aussi longtemps qu’il y aura des êtres,
Puissé-je, moi aussi, demeurer,
Pour dissiper la douleur du monde.
Sachant que c’était là la prière principale de Kyabjé Trulshik
Rinpotché, nous pouvons être confiants qu’il reviendra promptement pour
continuer son activité éveillée pour le bien de tous les êtres.
En se
fondant sur la biographie de Kyabjé Trulshik Rinpotché écrite par son
neveu et principal assistant, Kousho Ngawang Tsephel, cette version a
été adaptée et mise à jour par Jigmé Khyentsé Rinpotché et Péma Wangyal
Rinpotché en septembre 2011. Traduit par le Comité de traduction
Padmakara.
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