Samatha, Vipassanâ et Terre Pure.
A propos du Traité sur le Soûtra de la Vie Infinie du Bodhisattva Vasubandhu.
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(Fiche Wikipédia sur le Bodhisattva Vasubandhu ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vasubandhu).
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Le Bodhisattva Vasubandhu dans son Traité sur le Soûtra de la Vie Infinie, nous encourage bien sûre à réciter le Nom du Bouddha (Amitabha) afin de renaître, le moment venu, dans sa Terre Pure (et ainsi échappé définitivement non seulement aux 3 Mauvaises Destinées mais aussi au Samsara). Mais il nous encourage aussi à cultiver l'observation correcte de ce monde et de notre existence dans ce monde, selon la Vérité enseignée par le Bouddha Shakyamuni et ce, afin de développer notre Vision Profonde ou Vue Juste (Vipassanâ).
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Que peut-on comprendre par là et qu'est ce que cela peut nous apporter dans le cadre de notre Foi ?
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Tout d'abord, réciter le Nom du Bouddha (Amitabha) est une forme classique de méditation visant à développer l'Attention, la Concentration et le Calme Mental ou Quiétude (Samatha). Quand vous récitez le Nom du Bouddha, que ce soit à voix haute, à voix basse, dans votre tête, que vous l'écriviez, devant une image du Bouddha ou pas, petit à petit, la concentration, l'attention, viennent, l'esprit cesse de divaguer, il n'y a plus qu'une seule activité mentale, une seule pensée : la prononciation du Nom du Bouddha. Le calme mental se fait, c'est Samatha.
Alors, l'Esprit est capable de commencer à travailler efficacement, débarrassé des errements et agitations habituels émotionnels, sur le passé, sur le futur etc... L'eau du lac devient calme, au repos, la boue est retombée au fond, l'eau est claire, transparente et on peut regarder au plus profond, au delà de l'apparence trouble habituelle qui limite la vue.
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Alors peut s'engager la deuxième phase, Vipassanâ, le Regard Profond, la Vision Profonde, la Vue Juste, Correcte, Lucide, l'étude attentive de la réalité, en nous comme en dehors de nous. Et on peut, à partir de ce moment là, vérifier si ce que le Bouddha Shakyamuni nous dit sur ce monde (et notre existence au sein de celui ci) comme étant profondément et intrinsèquement « Dukkha » est vrai ou pas. Est ce que le Bouddha dit vrai quand il nous parle des 4 Nobles Vérités, des 3 (ou 4) Caractéristiques de l'Existence ? Est ce que dans nos vies, au quotidien, on peut constater qu'il dit vrai ? Que le monde, le Réel, notre vie, sont bien telles qu'il les décrit ? Pénibles, insatisfaisantes, douloureuses, frustrantes, malheureuses, instables...
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Si l'on est « de bonne foi », honnête avec soi-même, on peut difficilement lui donner tort quand au diagnostique qu'il fait. Personne ne peut nier la réalité expérimentée par chacun d'entre nous de la naissance, de la maladie, de la vieillesse, du deuil, de la mort, des désirs et aversions, de l'impermanence, des dépendances et que tout cela est « in fine » très pénible et déplaisant, si on prend la peine de se poser quelques instants pour y prêter attention.
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S'en suivent deux conséquences particulièrement importantes :
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1) On développe sa confiance en ce que dit le Bouddha Shakyamuni. Le crédit que l'on apporte à ce qu'il dit. Puisque l'on peut vérifier par soi-même la véracité de tous ce qu'il énonce (comme il nous y a fortement invité d'ailleurs). On admet, convaincu par notre expérience, notre vécu, que le Bouddha est honnête, sincère, clairvoyant, lucide, qu'il ne se trompe pas et ne cherche pas à nous tromper. Conclusion : on a tout intérêt à prêter une grande attention à ce qu'il dit, surtout à notre époque ou il devient de plus en plus difficile de savoir qui croire à propos de tout. Ses paroles ne nous aideraient guère si il se contentait d'un constat certes juste, réaliste, mais guère agréable, loin s'en faut. Mais il nous fournit aussi une solution, une résolution salvatrice à notre situation des plus inconfortable.
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2) Ensuite, on développe son désintérêt, son détachement croissant pour ce monde et cette existence, qui nous apparaissent de moins en moins désirables, séduisants, on se désenchante. Nous développons une vue correct, juste, honnête, du monde, de la réalité, de nous même, de notre situation, dans tout son caractère déplaisant, pénible, peu glorieux et insatisfaisant. Ce qui est des plus utile, car nous allons tous mourir un jour et quitter définitivement tout cela, qu'on le veuille ou non, tout ce à quoi nous tenons, personne n'y échappe, même les plus intelligents, les plus sages, les plus forts, les plus rusés, les plus riches, les plus puissants ou influents, tous finissent implacablement par goûter à la mort. Et le tombeau est l'ultime juge de paix, pour tous.
Alors autant nous préparer à partir en ayant le moins de regrets possibles, de toute façon ils ne nous serviraient à rien. C'est crucial, car c'est notre désir de rester dans ce monde, ou à défaut d'y revenir, basé sur une vision trompeuse faussement séduisante de ses attraits, qui nous maintient dans le Samsara et dans une souffrance constante. Tout cette séduction trompeuse qui ne nous veut aucun bien, c'est le jeu de Mâra.
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Pour ceux qui suivent la Voie de la Terre Pure (sous ses différentes formes), quelles sont les conséquences particulières ?
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1) Nous croyons de plus en plus le Bouddha, quand il nous parle de la Terre Pure, Amitabha et de ses 48 vœux, même si nous ne sommes pas encore capable de les percevoir avec nos yeux.
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2) Nous ne pouvons que trouver désirable la Terre Pure que le Bouddha Amitabha à conçu pour nous accueillir, nous recueillir, en comparaison de cette existence pénible. Les 3 Sûtras de la Terre Pure et le Traité de Vasubandhu nous la décrive.
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Foi (confiance) dans l'existence d'un tel lieu et de son créateur et désir de rejoindre la Terre Pure de Joie Paisible dés que possible s'en trouvent renforcés !
Et c'est précisément ce dont nous avons besoin pour y aller renaître : la confiance dans les 3 Sûtras du Bouddha Shakyamuni sur la Terre Pure, le désir intense, sincère, exprimer clairement, d'aller y renaître, dégoûtés du Samsara et la gratitude à l'égard du Bouddha Amitabha qui nous offre un tel cadeau si facile d'accès, par pure bonté vu qu'il n'en tire aucun bénéfice personnel si ce n'est la joie de savoir qu'il nous sauve en nous accueillant auprès de Lui !
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Et une fois là bas, une fois devenus des bodhisattvas et des bouddhas compétents, forts, sages, aptes, efficaces, habiles, débarrassés de toutes les faiblesses, limitations et handicaps de notre nature actuelle, dépourvus de tous désirs égoïstes car tous auront été comblés et dépassés, il ne nous restera plus qu'une chose à faire : retourner inlassablement dans le Samsara pour montrer le chemin de la Terre Pure de Joie Paisible à tous les êtres en souffrance encore prisonniers. Et goûter la joie permanente de les délivrer et de les accueillir dans la Béatitude Sereine, là ou plus jamais ils ne souffriront ou ne feront souffrir quiconque et toujours à portée d'oreille du rire joyeux du Bouddha !
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On peut voir la méthode de la Terre Pure ainsi. Le moyen habile énoncé par le Bouddha Shakyamuni et adapté à notre époque inévitable de décadence de la Loi, pour réaliser sa promesse de tous nous délivrer, pour toujours.
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Écrit ce jour 21 Novembre 2022 comme cela m'est venu.
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Illustration :
Statue représentant Vasubandhu. Bois sculpté, hauteur totale 186cm, début XIIIe siècle, probablement 1208. Temple Kōfuku-ji, pavillon octogonal nord, Nara, Japon.
A propos du Traité sur le Soûtra de la Vie Infinie du Bodhisattva Vasubandhu.
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(Fiche Wikipédia sur le Bodhisattva Vasubandhu ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/Vasubandhu).
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Le Bodhisattva Vasubandhu dans son Traité sur le Soûtra de la Vie Infinie, nous encourage bien sûre à réciter le Nom du Bouddha (Amitabha) afin de renaître, le moment venu, dans sa Terre Pure (et ainsi échappé définitivement non seulement aux 3 Mauvaises Destinées mais aussi au Samsara). Mais il nous encourage aussi à cultiver l'observation correcte de ce monde et de notre existence dans ce monde, selon la Vérité enseignée par le Bouddha Shakyamuni et ce, afin de développer notre Vision Profonde ou Vue Juste (Vipassanâ).
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Que peut-on comprendre par là et qu'est ce que cela peut nous apporter dans le cadre de notre Foi ?
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Tout d'abord, réciter le Nom du Bouddha (Amitabha) est une forme classique de méditation visant à développer l'Attention, la Concentration et le Calme Mental ou Quiétude (Samatha). Quand vous récitez le Nom du Bouddha, que ce soit à voix haute, à voix basse, dans votre tête, que vous l'écriviez, devant une image du Bouddha ou pas, petit à petit, la concentration, l'attention, viennent, l'esprit cesse de divaguer, il n'y a plus qu'une seule activité mentale, une seule pensée : la prononciation du Nom du Bouddha. Le calme mental se fait, c'est Samatha.
Alors, l'Esprit est capable de commencer à travailler efficacement, débarrassé des errements et agitations habituels émotionnels, sur le passé, sur le futur etc... L'eau du lac devient calme, au repos, la boue est retombée au fond, l'eau est claire, transparente et on peut regarder au plus profond, au delà de l'apparence trouble habituelle qui limite la vue.
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Alors peut s'engager la deuxième phase, Vipassanâ, le Regard Profond, la Vision Profonde, la Vue Juste, Correcte, Lucide, l'étude attentive de la réalité, en nous comme en dehors de nous. Et on peut, à partir de ce moment là, vérifier si ce que le Bouddha Shakyamuni nous dit sur ce monde (et notre existence au sein de celui ci) comme étant profondément et intrinsèquement « Dukkha » est vrai ou pas. Est ce que le Bouddha dit vrai quand il nous parle des 4 Nobles Vérités, des 3 (ou 4) Caractéristiques de l'Existence ? Est ce que dans nos vies, au quotidien, on peut constater qu'il dit vrai ? Que le monde, le Réel, notre vie, sont bien telles qu'il les décrit ? Pénibles, insatisfaisantes, douloureuses, frustrantes, malheureuses, instables...
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Si l'on est « de bonne foi », honnête avec soi-même, on peut difficilement lui donner tort quand au diagnostique qu'il fait. Personne ne peut nier la réalité expérimentée par chacun d'entre nous de la naissance, de la maladie, de la vieillesse, du deuil, de la mort, des désirs et aversions, de l'impermanence, des dépendances et que tout cela est « in fine » très pénible et déplaisant, si on prend la peine de se poser quelques instants pour y prêter attention.
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S'en suivent deux conséquences particulièrement importantes :
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1) On développe sa confiance en ce que dit le Bouddha Shakyamuni. Le crédit que l'on apporte à ce qu'il dit. Puisque l'on peut vérifier par soi-même la véracité de tous ce qu'il énonce (comme il nous y a fortement invité d'ailleurs). On admet, convaincu par notre expérience, notre vécu, que le Bouddha est honnête, sincère, clairvoyant, lucide, qu'il ne se trompe pas et ne cherche pas à nous tromper. Conclusion : on a tout intérêt à prêter une grande attention à ce qu'il dit, surtout à notre époque ou il devient de plus en plus difficile de savoir qui croire à propos de tout. Ses paroles ne nous aideraient guère si il se contentait d'un constat certes juste, réaliste, mais guère agréable, loin s'en faut. Mais il nous fournit aussi une solution, une résolution salvatrice à notre situation des plus inconfortable.
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2) Ensuite, on développe son désintérêt, son détachement croissant pour ce monde et cette existence, qui nous apparaissent de moins en moins désirables, séduisants, on se désenchante. Nous développons une vue correct, juste, honnête, du monde, de la réalité, de nous même, de notre situation, dans tout son caractère déplaisant, pénible, peu glorieux et insatisfaisant. Ce qui est des plus utile, car nous allons tous mourir un jour et quitter définitivement tout cela, qu'on le veuille ou non, tout ce à quoi nous tenons, personne n'y échappe, même les plus intelligents, les plus sages, les plus forts, les plus rusés, les plus riches, les plus puissants ou influents, tous finissent implacablement par goûter à la mort. Et le tombeau est l'ultime juge de paix, pour tous.
Alors autant nous préparer à partir en ayant le moins de regrets possibles, de toute façon ils ne nous serviraient à rien. C'est crucial, car c'est notre désir de rester dans ce monde, ou à défaut d'y revenir, basé sur une vision trompeuse faussement séduisante de ses attraits, qui nous maintient dans le Samsara et dans une souffrance constante. Tout cette séduction trompeuse qui ne nous veut aucun bien, c'est le jeu de Mâra.
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Pour ceux qui suivent la Voie de la Terre Pure (sous ses différentes formes), quelles sont les conséquences particulières ?
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1) Nous croyons de plus en plus le Bouddha, quand il nous parle de la Terre Pure, Amitabha et de ses 48 vœux, même si nous ne sommes pas encore capable de les percevoir avec nos yeux.
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2) Nous ne pouvons que trouver désirable la Terre Pure que le Bouddha Amitabha à conçu pour nous accueillir, nous recueillir, en comparaison de cette existence pénible. Les 3 Sûtras de la Terre Pure et le Traité de Vasubandhu nous la décrive.
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Foi (confiance) dans l'existence d'un tel lieu et de son créateur et désir de rejoindre la Terre Pure de Joie Paisible dés que possible s'en trouvent renforcés !
Et c'est précisément ce dont nous avons besoin pour y aller renaître : la confiance dans les 3 Sûtras du Bouddha Shakyamuni sur la Terre Pure, le désir intense, sincère, exprimer clairement, d'aller y renaître, dégoûtés du Samsara et la gratitude à l'égard du Bouddha Amitabha qui nous offre un tel cadeau si facile d'accès, par pure bonté vu qu'il n'en tire aucun bénéfice personnel si ce n'est la joie de savoir qu'il nous sauve en nous accueillant auprès de Lui !
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Et une fois là bas, une fois devenus des bodhisattvas et des bouddhas compétents, forts, sages, aptes, efficaces, habiles, débarrassés de toutes les faiblesses, limitations et handicaps de notre nature actuelle, dépourvus de tous désirs égoïstes car tous auront été comblés et dépassés, il ne nous restera plus qu'une chose à faire : retourner inlassablement dans le Samsara pour montrer le chemin de la Terre Pure de Joie Paisible à tous les êtres en souffrance encore prisonniers. Et goûter la joie permanente de les délivrer et de les accueillir dans la Béatitude Sereine, là ou plus jamais ils ne souffriront ou ne feront souffrir quiconque et toujours à portée d'oreille du rire joyeux du Bouddha !
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On peut voir la méthode de la Terre Pure ainsi. Le moyen habile énoncé par le Bouddha Shakyamuni et adapté à notre époque inévitable de décadence de la Loi, pour réaliser sa promesse de tous nous délivrer, pour toujours.
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