Ce
végétal atteint plusieurs mètres de hauteur. Sa tige est simple et
dégarnie de branches à la base et sa ramure est plus ou moins
développée. L’arbre est constitué de plusieurs grandes parties : les
racines, le tronc, les branches et les feuilles.
L’arbre naît
Les fleurs sont le point de départ de la reproduction des arbres qui se terminera par la fructification (fruits et graines).
La graine germée et racinée donnera naissance à de jeunes plants. Elevés en pépinière, ils seront conduits au stade de baliveau,
c’est-à-dire de jeune arbre réservé. Ils pourront ensuite être
transplantés, pour donner après plusieurs années, des arbres
d’alignement.
L’arbre se développe
Le développement de l’arbre s’effectue à partir de bourgeons, comme
la plupart des végétaux, mais sa croissance est assurée par une couche
de cellules embryonnaires située directement sous l’écorce : le cambium.
Le cambium génère chaque année une nouvelle couche de bois.
→ Le nombre de cernes permet de déterminer l’âge d’un arbre.
• les cernes périphériques correspondent aux cernes les plus récents. Ils forment l’aubier, la partie vivante du bois où un réseau de vaisseaux conduit la sève.
• les cernes internes sont les plus anciens et forment le duramen, peu ou pas physiologiquement fonctionnel.

Dans le milieu naturel, l’arbre est une formidable usine de
production de matière organique avec ses organes spécialisés, ses
mécanismes régulateurs, ses systèmes de production et de régénération.
Il participe activement au cycle des éléments majeurs que sont l’eau,
l’oxygène et l’azote.
La connaissance des principaux facteurs climatiques permet une intervention positive de l’homme sur l’arbre en milieu urbain
: il est ainsi possible de tirer un meilleur profit de la lumière ou de
l’exposition aux vents dominants. Actuellement, l’humidité interne d’un
végétal peut être maîtrisée en freinant l’évapotranspiration du
feuillage en période de sécheresse.
L’absorption de l’eau et des éléments nutritifs se faisant par
l’intermédiaire des radicelles et le sol étant revêtu très souvent d’un
imperméabilisant de type enrobé, il est alors essentiel de maintenir en
bon état le chevelu racinaire, partie vitale de l’arbre.
La fertilisation et l’amélioration physique du sol ne sont pas des opérations à négliger en milieu urbain.
L’arbre meurt
La longévité naturelle des arbres varie selon les espèces. Par
exemple, le tremble vit une cinquantaine d’années alors qu’un chêne
peut dépasser les 500 ans.
A la plantation, si les exigences culturales des arbres sont respectées
( exposition climatique, nature du sol), un maximum de chances seront
accordées pour la reprise du végétal.
Mais les arbres peuvent être malades et la liste des parasites
extérieurs qui les attaquent est longue. Les champignons également
peuvent causer des dommages notamment en envahissant le bois,
provoquant des déformations ou sa pourriture à cœur.
D’autres maladies physiologiques peuvent apparaître :
- de type alimentaire, provoquées par l’absence d’éléments minéraux dans le milieu (carences),
- de type pollution à cause par exemple des produits présents dans l’atmosphère comme les pluies acides.
Physiologie
L’arbre est constitué de trois parties distinctes :
En plus, les racines, les branches et le tronc permettent à l’arbre de stocker des réserves.
L’arbre, comme tout être vivant, doit s’alimenter pour se
développer. L’arbre se nourrit notamment de dioxyde de carbone, qu’il
absorbe grâce à ses feuilles. La photosynthèse lui permet de
transformer ce CO2 en sucres, éléments indispensables à la croissance.
Les déchets de cette opération sont rejetés dans l’atmosphère : il
s’agit de l’oxygène. C’est ainsi que l’arbre participe à l’amélioration de la qualité de l’air de la ville, en absorbant du CO2 et en rejetant de l’oxygène.

De même, l’arbre transpire : il rejette dans l’atmosphère sous forme
de vapeur, l’eau absorbée par les racines. Il contribue ainsi au rafraîchissement de l’air et en plus, fournit de l’ombre, ce qui est particulièrement appréciable en été.
Au-delà des qualités paysagères, l’arbre en ville participe à l’amélioration du cadre de vie et de la qualité de l’environnement…
De façon générale, l’arbre n’est pas un bois inerte mais un être vivant qui tient une place importante dans la ville. Tout
traumatisme physique aura des répercussions sur sa physiologie, pouvant
provoquer des dépérissements voire la mort de l’arbre. La
silhouette et l’état global de l’arbre s’en trouvent généralement
affectés, ce qui n’est pas sans conséquence sur la qualité de
l’environnement : les agressions physiques portent préjudice à l’arbre et plus généralement à la qualité paysagère du patrimoine arboré.

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végétal atteint plusieurs mètres de hauteur. Sa tige est simple et
dégarnie de branches à la base et sa ramure est plus ou moins
développée. L’arbre est constitué de plusieurs grandes parties : les
racines, le tronc, les branches et les feuilles.
L’arbre naît
Les fleurs sont le point de départ de la reproduction des arbres qui se terminera par la fructification (fruits et graines).
La graine germée et racinée donnera naissance à de jeunes plants. Elevés en pépinière, ils seront conduits au stade de baliveau,
c’est-à-dire de jeune arbre réservé. Ils pourront ensuite être
transplantés, pour donner après plusieurs années, des arbres
d’alignement.
L’arbre se développe
Le développement de l’arbre s’effectue à partir de bourgeons, comme
la plupart des végétaux, mais sa croissance est assurée par une couche
de cellules embryonnaires située directement sous l’écorce : le cambium.
Le cambium génère chaque année une nouvelle couche de bois.
→ Le nombre de cernes permet de déterminer l’âge d’un arbre.
• les cernes périphériques correspondent aux cernes les plus récents. Ils forment l’aubier, la partie vivante du bois où un réseau de vaisseaux conduit la sève.
• les cernes internes sont les plus anciens et forment le duramen, peu ou pas physiologiquement fonctionnel.

Dans le milieu naturel, l’arbre est une formidable usine de
production de matière organique avec ses organes spécialisés, ses
mécanismes régulateurs, ses systèmes de production et de régénération.
Il participe activement au cycle des éléments majeurs que sont l’eau,
l’oxygène et l’azote.
La connaissance des principaux facteurs climatiques permet une intervention positive de l’homme sur l’arbre en milieu urbain
: il est ainsi possible de tirer un meilleur profit de la lumière ou de
l’exposition aux vents dominants. Actuellement, l’humidité interne d’un
végétal peut être maîtrisée en freinant l’évapotranspiration du
feuillage en période de sécheresse.
L’absorption de l’eau et des éléments nutritifs se faisant par
l’intermédiaire des radicelles et le sol étant revêtu très souvent d’un
imperméabilisant de type enrobé, il est alors essentiel de maintenir en
bon état le chevelu racinaire, partie vitale de l’arbre.
La fertilisation et l’amélioration physique du sol ne sont pas des opérations à négliger en milieu urbain.
L’arbre meurt
La longévité naturelle des arbres varie selon les espèces. Par
exemple, le tremble vit une cinquantaine d’années alors qu’un chêne
peut dépasser les 500 ans.
A la plantation, si les exigences culturales des arbres sont respectées
( exposition climatique, nature du sol), un maximum de chances seront
accordées pour la reprise du végétal.
Mais les arbres peuvent être malades et la liste des parasites
extérieurs qui les attaquent est longue. Les champignons également
peuvent causer des dommages notamment en envahissant le bois,
provoquant des déformations ou sa pourriture à cœur.
D’autres maladies physiologiques peuvent apparaître :
- de type alimentaire, provoquées par l’absence d’éléments minéraux dans le milieu (carences),
- de type pollution à cause par exemple des produits présents dans l’atmosphère comme les pluies acides.
Physiologie
L’arbre est constitué de trois parties distinctes :
- Les racines
D’une part, elles permettent d’ancrer l’arbre dans le sol et d’autre part, elles y puisent l’eau et les sels minéraux, nécessaires au développement du végétal. - Les branches
Elles sont à l’origine de la genèse et du développement du feuillage,
siège de la photosynthèse. La photosynthèse permet à l’arbre de
transformer le CO2 puisé dans l’atmosphère en sucres, nécessaires à son
développement.
De plus, les branches portent les organes reproducteurs (fleurs ou cônes). - Le tronc
Il sert de liaison fonctionnelle entre les branches et les racines.
En plus, les racines, les branches et le tronc permettent à l’arbre de stocker des réserves.
L’arbre, comme tout être vivant, doit s’alimenter pour se
développer. L’arbre se nourrit notamment de dioxyde de carbone, qu’il
absorbe grâce à ses feuilles. La photosynthèse lui permet de
transformer ce CO2 en sucres, éléments indispensables à la croissance.
Les déchets de cette opération sont rejetés dans l’atmosphère : il
s’agit de l’oxygène. C’est ainsi que l’arbre participe à l’amélioration de la qualité de l’air de la ville, en absorbant du CO2 et en rejetant de l’oxygène.

De même, l’arbre transpire : il rejette dans l’atmosphère sous forme
de vapeur, l’eau absorbée par les racines. Il contribue ainsi au rafraîchissement de l’air et en plus, fournit de l’ombre, ce qui est particulièrement appréciable en été.
Au-delà des qualités paysagères, l’arbre en ville participe à l’amélioration du cadre de vie et de la qualité de l’environnement…
De façon générale, l’arbre n’est pas un bois inerte mais un être vivant qui tient une place importante dans la ville. Tout
traumatisme physique aura des répercussions sur sa physiologie, pouvant
provoquer des dépérissements voire la mort de l’arbre. La
silhouette et l’état global de l’arbre s’en trouvent généralement
affectés, ce qui n’est pas sans conséquence sur la qualité de
l’environnement : les agressions physiques portent préjudice à l’arbre et plus généralement à la qualité paysagère du patrimoine arboré.

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