Bouddhisme en Mongolie
Anciennes pratiques et traditions religieuses en Mongolie
Le Bouddhisme en Mongolie est essentiellement le Bouddhisme tibétain de l'école Gelugpa. Traditionnellement, les Mongols adoraient le ciel (le ciel bleu clair) et leurs ancêtres suivaient les anciennes pratiques de l’Asie du nord issues du chamanisme, dans lequel les intermédiaires de l'homme entraient en transe et communiquaient avec quelques-unes des innombrables infinités d’esprits chargés de la fortune et du malheur de l’homme.
Bien que les empereurs de la dynastie des Yuan aient converti le pays au Bouddhisme tibétain au 14ème et au 15 ème siècle, les Mongols sont toutefois revenus à leurs vieilles habitudes chamanistes après l'écroulement de leur empire.
Introduction du bouddhisme en Mongolie
Et en 1578, Altan Khan, un chef militaire mongole ayant l’ambition d'unir les Mongols en s’inspirant de la carrière de Gengis, a invité à un sommet le chef de la secte montante des bonnets jaunes du bouddhisme tibétain. Ils ont ainsi formé une alliance qui a donné une légitimité à Altan Khan et une sanction religieuse pour ses prétentions impériales et qui a aussi fourni à l'école bouddhiste de la protection et du soutien matériel.
Altan Khan a donné au chef tibétain le titre de Dalaï Lama (Océan Lama) que ses successeurs détiennent toujours. Altan Khan est mort peu après, mais durant le siècle suivant, la secte jaune s’est répartie à travers la Mongolie, aidée en partie par les efforts des opposants aristocrates mongols pour acquérir la sanction religieuse et un soutien de masse après leur dernier échec dans la tentative de réunir tous les mongols en un seul Etat.
Les monastères (momg.datsan) ont été construits à travers toute la Mongolie, souvent situés à la jonction des voies commerciales et des routes migratoires ou encore situés dans des pâturages d'été, où un grand nombre d'éleveurs se réunissaient pour des rituels et sacrifices chamaniques.
Les moines bouddhistes ont mené une longue lutte contre les chamanes autochtones et ont réussi d’une certaine manière en reprenant les taxes et leurs fonctions de guérisseurs et de devins, et marginalisant les chamanes de la culture et de la religion mongoles.
Le développement du bouddhisme en Mongolie
Au début du 20ème siècle, la Mongolie extérieure avait 583 monastères et temples, qui contrôlaient environ 20 pour cent de la richesse du pays et presque toutes les villes de la Mongolie se sont développées sur les sites des monastères. Ikh Huree, tout comme Oulan-Bator était alors connu et était le siège du Bouddha vivant par excellence en Mongolie (la Gegen Jebtsundamba, également connu sous le nom Gegen Bogdo et plus tard comme Bogd Khan) et qui s'est classé troisième dans la hiérarchie ecclésiastique après le Dalaï Lama et le Panchen Lama.
Les deux monastères contenaient environ 13.000 et 7.000 moines, et le nom mongol prérévolutionnaire de la colonie connue par les étrangers comme Urga, Ikh Huree qui signifie «grand monastère». Avant le Bouddhisme, la religion indigène de la Mongolie était le chamanisme qui portait spécifiquement sur les rituels et les divinités de la nature.
Il y a encore des éléments du Bouddhisme moderne de la Mongolie qui affichent le début de l'amalgame entre le bouddhisme et les pratiques chamaniques locales comme la danse du bouddhisme mongol: la tsam. En plus de cela, le monachisme bouddhiste tibétain a eu un impact important sur le développement précoce du Bouddhisme mongol.
Importance de la communauté bouddhiste dans la vie politique en Mongolie
La communauté monastique bouddhiste a toujours joué un rôle politique important en Europe centrale et dans le sud de l’Asie y compris le Sangha bouddhiste en Mongolie.
L'autorité bouddhiste et l'État se sont soutenus mutuellement, et la doctrine de la réincarnation a rendu cela possible pour les réincarnations de bouddhas vivants qui seraient à découvrir idéalement dans les familles des grands seigneurs mongols, jusqu'à ce que cette pratique ait été interdite par l'empereur Qianlong.
Au fil des siècles, les monastères ont acquis des richesses et des adeptes laïques; ils ont progressivement accru leur richesse et leur pouvoir tandis que ceux de la noblesse mongole diminuaient.
Certains nobles ont donné une partie de leur famille à charge et cela représentait le fondement de la richesse et du pouvoir dans l'ancienne Mongolie: les gens plutôt que la terre. Certains éleveurs se sont dévoués avec leur famille à servir les monastères soit par piété ou mû par la volonté d'échapper aux abus arbitraires de la noblesse. Dans certains domaines, les monastères et leurs Bouddhas vivants (dont le nombre s’élevait à 140 en 1924) représentaient aussi les autorités laïques.
Dans les années 1920, on comptait environ 110.000 moines, dont des enfants qui représentaient environ un tiers de la population masculine, même si beaucoup d'entre eux ne vivaient pas dans les monastères et ne se conformaient pas aux serments qu’ils ont faits. Environ 250.000 personnes, soit plus d'un tiers de la population totale, vivaient dans les territoires administrés par les monastères et les Bouddhas vivants ou étaient à charge des monastères par hérédité.
Avec la fin de la domination mandchoue en 1911, l'autorité religieuse bouddhiste et son clergé ont établi la seule structure politique disponible et l'État autonome a ainsi pris la forme d'une théocratie faiblement centralisé, dirigé par le Khoutoukhtou Jebtsundamba en Yehe Kuriye.
Au XXe siècle, le Bouddhisme a profondément pénétré la culture mongole, et le peuple a volontairement appuyé les lamas et les monastères. Les observateurs étrangers avaient généralement une opinion négative de moines mongols, les taxant de gens paresseux, ignorants, corrompus et débauchés, mais le peuple mongol n’y consentait pas.
Les Mongols en apparence ordinaire ont combiné un anticléricalisme cynique et réaliste, sensible aux fautes et à la vulnérabilité du moine ou des groupes de moines, avec une préoccupation profonde et constante des valeurs transcendantes du bouddhisme.
Source: http://www.comprendrebouddhisme.com/pays-bouddhistes/mongolie/bouddhisme-en-mongolie.html
Anciennes pratiques et traditions religieuses en Mongolie
Le Bouddhisme en Mongolie est essentiellement le Bouddhisme tibétain de l'école Gelugpa. Traditionnellement, les Mongols adoraient le ciel (le ciel bleu clair) et leurs ancêtres suivaient les anciennes pratiques de l’Asie du nord issues du chamanisme, dans lequel les intermédiaires de l'homme entraient en transe et communiquaient avec quelques-unes des innombrables infinités d’esprits chargés de la fortune et du malheur de l’homme.
Bien que les empereurs de la dynastie des Yuan aient converti le pays au Bouddhisme tibétain au 14ème et au 15 ème siècle, les Mongols sont toutefois revenus à leurs vieilles habitudes chamanistes après l'écroulement de leur empire.
Introduction du bouddhisme en Mongolie
Et en 1578, Altan Khan, un chef militaire mongole ayant l’ambition d'unir les Mongols en s’inspirant de la carrière de Gengis, a invité à un sommet le chef de la secte montante des bonnets jaunes du bouddhisme tibétain. Ils ont ainsi formé une alliance qui a donné une légitimité à Altan Khan et une sanction religieuse pour ses prétentions impériales et qui a aussi fourni à l'école bouddhiste de la protection et du soutien matériel.
Altan Khan a donné au chef tibétain le titre de Dalaï Lama (Océan Lama) que ses successeurs détiennent toujours. Altan Khan est mort peu après, mais durant le siècle suivant, la secte jaune s’est répartie à travers la Mongolie, aidée en partie par les efforts des opposants aristocrates mongols pour acquérir la sanction religieuse et un soutien de masse après leur dernier échec dans la tentative de réunir tous les mongols en un seul Etat.
Les monastères (momg.datsan) ont été construits à travers toute la Mongolie, souvent situés à la jonction des voies commerciales et des routes migratoires ou encore situés dans des pâturages d'été, où un grand nombre d'éleveurs se réunissaient pour des rituels et sacrifices chamaniques.
Les moines bouddhistes ont mené une longue lutte contre les chamanes autochtones et ont réussi d’une certaine manière en reprenant les taxes et leurs fonctions de guérisseurs et de devins, et marginalisant les chamanes de la culture et de la religion mongoles.
Le développement du bouddhisme en Mongolie
Au début du 20ème siècle, la Mongolie extérieure avait 583 monastères et temples, qui contrôlaient environ 20 pour cent de la richesse du pays et presque toutes les villes de la Mongolie se sont développées sur les sites des monastères. Ikh Huree, tout comme Oulan-Bator était alors connu et était le siège du Bouddha vivant par excellence en Mongolie (la Gegen Jebtsundamba, également connu sous le nom Gegen Bogdo et plus tard comme Bogd Khan) et qui s'est classé troisième dans la hiérarchie ecclésiastique après le Dalaï Lama et le Panchen Lama.
Les deux monastères contenaient environ 13.000 et 7.000 moines, et le nom mongol prérévolutionnaire de la colonie connue par les étrangers comme Urga, Ikh Huree qui signifie «grand monastère». Avant le Bouddhisme, la religion indigène de la Mongolie était le chamanisme qui portait spécifiquement sur les rituels et les divinités de la nature.
Il y a encore des éléments du Bouddhisme moderne de la Mongolie qui affichent le début de l'amalgame entre le bouddhisme et les pratiques chamaniques locales comme la danse du bouddhisme mongol: la tsam. En plus de cela, le monachisme bouddhiste tibétain a eu un impact important sur le développement précoce du Bouddhisme mongol.
Importance de la communauté bouddhiste dans la vie politique en Mongolie
La communauté monastique bouddhiste a toujours joué un rôle politique important en Europe centrale et dans le sud de l’Asie y compris le Sangha bouddhiste en Mongolie.
L'autorité bouddhiste et l'État se sont soutenus mutuellement, et la doctrine de la réincarnation a rendu cela possible pour les réincarnations de bouddhas vivants qui seraient à découvrir idéalement dans les familles des grands seigneurs mongols, jusqu'à ce que cette pratique ait été interdite par l'empereur Qianlong.
Au fil des siècles, les monastères ont acquis des richesses et des adeptes laïques; ils ont progressivement accru leur richesse et leur pouvoir tandis que ceux de la noblesse mongole diminuaient.
Certains nobles ont donné une partie de leur famille à charge et cela représentait le fondement de la richesse et du pouvoir dans l'ancienne Mongolie: les gens plutôt que la terre. Certains éleveurs se sont dévoués avec leur famille à servir les monastères soit par piété ou mû par la volonté d'échapper aux abus arbitraires de la noblesse. Dans certains domaines, les monastères et leurs Bouddhas vivants (dont le nombre s’élevait à 140 en 1924) représentaient aussi les autorités laïques.
Dans les années 1920, on comptait environ 110.000 moines, dont des enfants qui représentaient environ un tiers de la population masculine, même si beaucoup d'entre eux ne vivaient pas dans les monastères et ne se conformaient pas aux serments qu’ils ont faits. Environ 250.000 personnes, soit plus d'un tiers de la population totale, vivaient dans les territoires administrés par les monastères et les Bouddhas vivants ou étaient à charge des monastères par hérédité.
Avec la fin de la domination mandchoue en 1911, l'autorité religieuse bouddhiste et son clergé ont établi la seule structure politique disponible et l'État autonome a ainsi pris la forme d'une théocratie faiblement centralisé, dirigé par le Khoutoukhtou Jebtsundamba en Yehe Kuriye.
Au XXe siècle, le Bouddhisme a profondément pénétré la culture mongole, et le peuple a volontairement appuyé les lamas et les monastères. Les observateurs étrangers avaient généralement une opinion négative de moines mongols, les taxant de gens paresseux, ignorants, corrompus et débauchés, mais le peuple mongol n’y consentait pas.
Les Mongols en apparence ordinaire ont combiné un anticléricalisme cynique et réaliste, sensible aux fautes et à la vulnérabilité du moine ou des groupes de moines, avec une préoccupation profonde et constante des valeurs transcendantes du bouddhisme.
Source: http://www.comprendrebouddhisme.com/pays-bouddhistes/mongolie/bouddhisme-en-mongolie.html
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