Cher Thanh un texte
FONDAMENTAL pour essayer de répondre a ta question /Serait ce chez cet auteur (Dont je ne te cache pas que la pensée et la vie me répugne profondément: Fasciste en Roumanie, Nihiliste et dandy scuicidaire mort quasi centenaire) que tu as trouvé ton gout des aphorismes "A Tiroir" (dans son cas tiroir caisse car ses livres se vendaient bien ::30: :
Dieu comme Etre du néant au sein du néant de l’Etre chez Cioran Revue de philosophie et de sciences humaines
Cioran propose tout au long de son œuvre et en dehors de toute foi spontanée ou conventionnelle des conceptions de Dieu protéiformes et iconoclastes, transgressives et subversives. Ainsi, dans cette perspective, la coïncidence de Dieu et du néant qui radicalise certaines doctrines héritées d’un curieux syncrétisme entre hérésiarques gnostiques basilidiens, mystique eckhartienne et
tradition bouddhique initiée par Nagarjuna, où tout principe divin aspire à la plénitude incommensurable du vide. Dans l’extrait qui suit, Cioran énonce une conception de Dieu qu’il dit être indépendante de la foi, mais qui se confond avec le néant lui-même considéré comme l’étape ultime d’un cheminement mystique
qu’il veut pleinement voué à la réitération permanente de son inaccomplissement.Dieu signifie la dernière étape d’un cheminement, point extrême de la solitude, point insubstantiel auquel il faut bien donner un nom, attribuer une
existence fictive. Il remplit en somme une fonction : celle du dialogue.
Même l’incroyant aspire à converser avec
le “Seul”, car il n’est pas facile de s’entretenir avec le néant. (Entretiens, Gallimard, 1995, p. 222)
La pensée de Cioran ne surgissant qu’en équilibre instable, elle est recherche d’un équilibre précaire, sans cesse menacé par l’entropie au sein même de la permanence du déséquilibre qui crée l’illusion de la réalité et celle de la stabilité du moi et du monde. Au détour d’un paradoxe, d’un aphorisme, au faîte d’une contradiction, la pensée cioranienne cultive le doute,
l’ironie et le cynisme, l’élégance du dandysme et la passion de la futilité dans un vision du monde où l’inessentiel se substitue aux pesanteurs de la profondeur. La nécessité d’une telle démarche associée à
une écriture fragmentaire qui se fait moyen tout autant que fin, est mise en lumière par ce fragment issu de La tentation d’exister :
Je vous ai recommandé la dignité du scepticisme : voilà que je rôde autour de l’Absolu. Technique de la contradiction ? Rappelez-vous plutôt le mot de
Flaubert : « Je suis un mystique et je ne crois en rien ». (La Tentation
d’exister, Gallimard, 1956, p. 121)
Cette citation de Flaubert fait également écho à la pensée de Maître Eckhart, le grand mystique des bords du Rhin du treizième siècle, pensée qu’il développe dans Traités et Sermons1 et qui affirme que l’action la plus haute à laquelle puisse s’élever l’âme consiste à atteindre le détachement absolu dont l’objet est le « pur néant », séjour naturel de Dieu. L’âme ne peut donc s’unir à Dieu au point de ne faire plus qu’Un avec Lui qu’en se renonçant à elle-même en tant que créature :
la divinisation de l’âme ne fait qu’un avec l’anéantissement en Dieu de la créature.
L’interprétation cioranienne de la mystique franchit un pas et se fait plus
subversive et négatrice en affirmant que pour tout mystique véritable, Dieu ou le divin se confondent avec le néant : « Sans Dieu tout est néant ; et Dieu ? Néant suprême. » (SA, p. 79) Cette sentence n’est pas sans rappeler l’aphorisme 55 de Par-delà le bien et le mal : « Sacrifier Dieu au néant, ce mystère paradoxal de la suprême cruauté était réservé à la génération qui grandit maintenant : nous en savons quelque chose2 ».
Cette citation fait encore écho à celle-ci extraite de la partie des Exercices
d’admiration consacrée à Caillois : « Le néant n’est en définitive que la
version plus pure de Dieu, et c’est pourquoi y ont plongé avec tant de frénésie les mystiques, aussi bien du reste que les incroyants à fond religieux.» Ce que Cioran dit ensuite de Caillois, nul doute qu’il puisse se l’appliquer à lui-même: « Caillois ne jalouse pas les premiers, et il lui répugnerait sans doute de se classer parmi les seconds » (Exercices d’admiration, Gallimard, 1986, p. 140).
Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que Cioran se soit très vite reconnu des affinités avec
cette religion de l’épure, stylisée au maximum puisque sans Dieu, qu’est le bouddhisme. Dans deux entretiens accordés la même année 1982 à Léo Gilet et Luis Jorge Halfen, Cioran affirme s’être détaché du bouddhisme de la même façon qu’il a dépassé son engouement passionnel pour la pensée de Nietzsche :
Le bouddhisme m’a pendant très longtemps intéressé ; c’est que le bouddhisme vous permet d’accéder à une religion sans avoir la foi.
Le bouddhisme est une religion qui ne préconise que la connaissance. On nous enseigne que nous ne sommes que des composés, que ces composés se dissolvent, qu’ils n’ont pas de réalité, on nous démontre notre non réalité. Et ensuite on dit : maintenant tirez les conséquences. [...] Jusqu’au jour où je me suis rendu compte que c’était une imposture. Même à l’heure actuelle je suis d’accord avec toutes les constatations négatives du bouddhisme : nous ne sommes pas réels, tout cela
c’est des mensonges,
tout est illusion... Mais la voie que préconise le
bouddhisme m’est inaccessible. Le renoncement au désir, la destruction du moi, la victoire sur le moi. Si vous restez attachés à votre moi, le bouddhisme est une impossibilité. Donc, il faut triompher de son moi. Mais j’ai constaté que je ne pouvais triomphér du mien. Et que j’étais obsédé par moi-même comme nous tous.
[...] mais la vision du Bouddha sur la mort, sur la vieillesse, sur la
souffrance, c’est une expérience que j’ai vécue et que je vis encore. C’est ma réalité quotidienne. Mais les solutions que préconise le Bouddha ne sont pas les miennes, puisque je ne peux pas renoncer au désir. Je ne peux renoncer à rien.
[...] Je suis un bouddhiste uniquement pour ce qui est procès-verbal sue la
souffrance, la vieillesse et la mort. Mais quand le Bouddha dit : maintenant il faut renoncer au désir, triompher du moi, je ne peux pas. Et je ne peux pas parce que j’ai vécu dans la littérature et que tout ce que j’ai écrit, au fond, tourne autour du moi. Que ce soit mon moi ou le moi en général. Et, ça le bouddhisme c’est exactement le contraire. Et ensuite tout de même, la grande idée du bouddhisme, c’est le renoncement. Et je dois dire que, quand je regarde autour de moi, je vois très peu de gens qui soient capables de renoncer. Et moi-même, à vrai dire, j’ai constaté que j’en suis incapable. (Entretiens, p. 82)
Dans cette seconde citation, Cioran explique pourquoi il s’est détaché du
bouddhisme et comment l’acceptation de son caractère « frénétique » l’a poussé à aller jusqu’à
se détacher de l’exigence du détachement pourtant si profondément ancrée en lui :
Je me suis beaucoup occupé du bouddhisme, à un certain moment. Je me croyais bouddhiste, mais en définitive je me leurrais. J’ai finalement compris que je n’avais rien de bouddhiste, et que j’étais prisonnier de mes contradictions, dues à mon tempérament. J’ai alors renoncé à cette orgueilleuse illusion, puis je me suis dit que je devais m’accepter tel que j’étais, qu’il ne valait pas la peine de parler tout le temps de détachement, puisque je suis plutôt un frénétique. (Entretiens, p. 83)
Ce renoncement au bouddhisme le mène à une position radicale à la fois
solipsiste et nihiliste qui envisage la disparition de l’humanité comme un
bienfait non seulement pour elle même mais aussi au regard de l’Absolu :
Je ne suis pas un égoïste. Ce n’est vraiment pas le mot qui convient. Je suis
compatissant. La souffrance des autres a sur moi un effet direct. Mais si
l’humanité disparaissait demain cela me serait égal. La disparition de l’homme est une idée qui ne me déplaît pas. (Entretiens, p. 103)On peut donc parler à la suite de Sylvie Jaudeau3 de la pensée cioranienne comme
d’une
théologie négative qui voit dans la Création le premier acte de sabotage et dans la naissance une catastrophe et une faute de goût que même la mort ne peut effacer et dont le nihilisme apparent n’est qu’un moyen de totale remise en cause ontologique à travers le jeu critique, obsessionnel et ironique, d’une
ontothéologie fictive qui se sait aussi illusoire que puissamment métaphorique.
L’expérience mystique cioranienne inaboutie et soumise à la tentation nihiliste lucide est soumise à l’écartèlement et se contente à une admiration velléitaire et fantasmatique de la « plénitude du vide » bouddhique.
La voie mystique n’est accessible qu’au très petit nombre de ceux qui se sont sentis appelés et ont répondus à cet appel. En cela, Cioran ne peut être considéré comme un mystique à part entière étant donné les spécificités de son scepticisme, sa vision tragique et la prégnance de ses humeurs noires. Son catastrophisme qui garde la marque de son impulsivité première est pourtant refroidi par la grâce de son style aphoristique teinté d’un
goût de la dérision et du sarcasme trop prononcé pour se plier à cet idéal de vie qui trouve sa continuité, son unité dans une foi aussi intense qu’ascétique. Or c’est précisément là, dans cet inaccomplissement sans cesse revendiqué et affiné, que réside le caractère irréductiblement original et subversif de l’itinéraire spirituel cioranien.
C’est aussi en cela que Georges Balan4 à la suite de Henri Amer5 parle de «
spiritualité de la décadence », cette dernière se comprenant comme un phénomène de régénération paradoxal qui se traduit finalement par l’émergence d’une forme nédite de spiritualité revitalisée. C’est ainsi que Cioran en organisant son inaccomplissement spirituel se forge, en contrepartie, une vocation de créateur exprimant par son
art du fragment, la tragédie d’une conscience écartelée par son incapacité à la délivrance, moteur de sa créativité. (.../...)
1 Johannes Eckhart, Sermons et traités, Paris, Gallimard, coll. « Tel », 1987.2
Friedrich Nietzsche, 1886, Par-delà le bien et le mal, Paris, Gallimard, 1978,
p. 99.3 Sylvie Jaudeau, Cioran ou le dernier homme, Paris, Ed. José Corti,
1990.
4 Georges Balan, Emil Cioran, Paris, Josette Lyon, coll. « Les maîtres à
penser du 20e siècle », 2002.5 Henry Amer, « Cioran : le docteur ès décadence »,
NRF, n°92, Gallimard, août 1960, p. 297-306.6 Rosa-Maria Péréda, « Cioran
l’étranger. Propos recueillis », Le Magazine Littéraire, février 1984, n° 204,
p. 80-84.7 Roger Bastide, Les Problèmes de la vie mystique (1931), Paris, PUF,
1996.8 P. Harvey, Le Bouddhisme, op. cit., pp. 132-133.9 A. W. Watts, Le
Bouddhisme zen, Paris, Paris, Payot, 1972, p. 76.
Pour citer cet article
Yann Porte, «Dieu comme Etre du néant au sein du néant de l’Etre chez Cioran»,
Le Portique, e-portique 2 - Varia , [En ligne], mis en ligne le 10 novembre
2006. URL :
http://leportique.revues.org/document853.html. Quelques mots à propos de : Yann Porte
Yann Porte, doctorant en philosophie à l’université de Metz. Sa thèse (sous la direction de Jean-Paul Resweber) porte sur l’écriture fragmentaire cioranienne conçue comme un dépassement ambivalent et paradoxal du nihilisme. Le jeu des écarts et des correspondances entre les pensées de Nietzsche et de Cioran ne cesse de le requérir.
Les partie en
GRAS sont un ajout de JCB je vous conseille la lecture de l'intégralité du texte.
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